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joseph toison
Pilier de forums
4897 réponses |
 Posté - 27 oct. 2002 : 00:24:37
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Nouveau venu dans les affaires de copropriété (je n'y avais trempé qu'il y a 35 ans, dans mon jeune âge...), j'ai beaucoup apprécié le site Universimmo (sans exclusive, bien sûr).
Et aussi, s'ajoutant à maintes autres sources, le Dictionnaire de la Copropriété très récemment édité : ce dictionnaire est pour le copro de base (ceci n'est pas péjoratif) très pédagogique [je comprends à la lecture de ce dictionnaire que son auteur est le Rédac'Chef du site].
Cette satisfaction est celle du groupe de copros qui vient d'essayer, sans succès final (a lutta continua...), de changer de syndic. Ce syndic, en effet, sans conteste, est en dehors des clous sur de nombreux plans, technique, juridique, comptable et financier.
Le poids d'un majoritaire (> à 50 % des tantièmes généraux), qui nous a suivi dans le refus d'approuver les comptes 2000/2001 (au demeurant présentés avec 6 mois et 3 semaines de reard...) et de donner le quitus, fait que - jusque fin mars prochain - nous gardons ce syndic.
"Donnons lui une dernière chance, nous l'avons aussi sur d'autres ensembles où il n'est pas si mauvais que chez vous, même si nous sommes bien d'accord que c'est pas vraiment une flèche et qu'il y a plein de trucs pendables ; il a promis de s'amender", a été l'argument final de ce majoritaire, un institutionnel. Des hésitants ont suivi : "c'est une aventure de changer de syndic, surtout quand ses comptes ne sont pas à jour ; et bravo pour votre bravoure et cette salve de semonce".
Aucune des observations/contestations de notre dossier, toutes également écrites (ce qui, en plus de frais de duplication, a demandé au total un très gros travail = environ 2 hommesxmois équivalent plein temps sur 3,5 mois, de l'appel d'offres à la présentation d'un successeur en AG), n'a été contestée ni par l'institutionnel, ni par les copros individuels (sauf 2 sur 153, influents et affidés du syndic - dont un ancien Président du CS).
Nous sommes arrivés aussi à faire adhérer la copro à l'ARC. On va voir si le syndic se dégrouille, ou pas, pour envoyer le formulaire et le chèque de cotisation... Il y a quelques années, il avait différé la concrétisation d'une adhésion votée et les sables avaient recouvert tout celà...
A ce stade, notre problème est le suivant, sachant que nous sommes maintenant ultraminoritaires au CS (je suis moi même dorénavant un simple copro troupier de base ; à part ça on a tenu le choc ...):
- préparer l'AG de mars 2003 et y représenter un successeur (avec actualisation de l'appel d'offres, s'il le faut),
- meubler le dossier, en faisant oeuvre de pédagogie, pour rallier les hésitants et - hic jacet lupus - le majoritaire à l'âme [et au vote] dilatoire (nous aurons entretemps les comptes d'un nouvel exercice [2001/2002 : 01.10.01 au 30.09.02], disponibles à l'examen critique).
Tout ceci avec des matériaux toujours bien étudiés, vérifiés, contre-vérifiés, loyaux, etc. Et en faisant gaffe aux chausse-trapes, voire aux intimidations ou même à plus (à quelques jours de l'AG, il y a eu 2 lettres anonymes avec menaces de mort - qui ont bien sûr donné lieu à plaintes). Le tout dans un milieu composé de gens bien propres sur eux, cadres moyens et sup. parisiens avec enfants et tout et tout. Ce qui ouvre l'hypothèse, calme, que dans la gestion passée il y aurait pu y avoir des choses de plus grande ampleur (pourrons nous explorer le passé, nonobstant les approbations et les quitus qui furent votés antérieurement ?).
Aussi, sous ma signature, ont été logées des questions très précises sur des forums du site (rubriques de la section "copropriétaires" des forums du site).
Nous avons quelques réponses déjà reçues de plusieurs Universimmonautes, mais il nous reste des points inconnus, majeurs.
Nous sollicitons donc vos contributions éclairées (ce "vous" = les Universimmonautes et Universimmo).
A+
JJ-T
PS : je vais peut être changer de nom sur le site et me baptiser "bouée de détresse", qu'en pensez-vous ? ; mon nom tel que vous le lisez est composé de mon dernier prénom et d'un nom de famille du côté de ma mère. Ceci par prudence, et il n'y a pas de parano...
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TR
Pilier de forums
2318 réponses |
Posté - 04 nov. 2002 : 09:09:08
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Un quitus ne décharge le syndic que pour ce qu'il a montré : par exemple, vous ne pouvez plus lui chercher des poux sur des frais de photocopie "gonflés". En revanche, s'il y a eu des dessous-de-table, vous pouvez poursuivre malgré le quitus!
Thoveyrat |
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pascal583
Contributeur débutant
12 réponses |
Posté - 21 nov. 2002 : 18:38:51
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bonjour
surtout ne pas donner le quitus memme sous la menace
faite un rapport d ativite du conseil a jointre a la convocation
de l assemble pour les faute comisse par votre syndic
igore les menaces,notre conseil les a vecus,mais un conseil bien
organiser peu faire recule un syndic
nous l
avons fait ,pourquoi pas vous
bon courage
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bprudhon
Pilier de forums
1422 réponses |
Posté - 22 nov. 2002 : 10:27:56
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Pourquoi gardez vous votre syndic si vous lui refuser son quitus
bp |
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pascal583
Contributeur débutant
12 réponses |
Posté - 25 nov. 2002 : 18:28:13
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bonjour
ne pas donner le quitus est une securite
le syndic ne vous dira jamais si il a fait
une faute
et ne pas donner le quitus protege la copropriete
des eventuel cou bas du syndic
un syndic serieux connais pas
ammicalement
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malechka
Pilier de forums
218 réponses |
Posté - 26 nov. 2002 : 09:43:18
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Bonjour Pascal 583,
Je ne sais pas pourquoi mais lui doit le savoir! 
franchement c’est pas sérieux.
Tout n'est jamais blanc ou noir il faut rechercher de temps en temps la nuance aussi chez les syndics.
Edité par - malechka le 26/11/2002 09:48:55 |
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nefer
Modérateur
28499 réponses |
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bprudhon
Pilier de forums
1422 réponses |
Posté - 26 nov. 2002 : 10:28:24
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C'est pas très sérieux de conserver un syndic tout en lui refusant le quitus, comme moyen de pression qui plus est. Alors qu'il est possible de changer de syndic afin d'avoir des relations plus saines, ce qui me semble nécessaire pour gérer une copropriété.
bp |
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kim shamsa
Contributeur vétéran
136 réponses |
Posté - 29 nov. 2002 : 10:33:43
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Bonjour, 
Ne pas donner quitus à un syndic, la 1ère fois, est interprété comme une mise en garde faite au syndic et prouve le bien-fondé du travail du conseil syndical.
Si l'année d'après, tout revient " dans l'ordre" ; alors les deux parties peuvent considérer qu'il s'agissait d'un "écart de conduite du syndic, ponctuel, voire involontaire".
Si le refus de donner quitus doit se renouveller, alors, là, OUI ! Chnager de syndic !
N.B. : Refuser de donner quitus au syndic, ne veut pas dire "refuser d'approuver les comptes" !
Nous même, avons refusé le quitus comptable au syndic, la première année à cause d'erreurs d'écritures comptables.
Nous avons, l'année d'après, été obligés de refuser le quitus pour sa gestion administrative ( non prise en compte des remarques du conseil syndical, notamment sur les propositions d'établissement de l'ordre du jour de l'A.G. ainsi que la non-application des décisions de l'A.G. précédente);
sa gestion comptable (erreurs d'écritures, non paiement dans les délais des factures EDF, d'où pénalités..);
sa gestion financière (pas de mise en concurrence, devis incomplet..).
Mais nous avons approuvé les comptes puisque les dépenses étaient réalisées conformément au budget prévisionnel.
Cordialement, Kim 
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