****JavaScript based drop down DHTML menu generated by NavStudio. (OpenCube Inc. - http://www.opencube.com)****
ATTENTION : Le Forum
dUniversimmo
a migré sur une nouvelle
plate-forme, sécurisée, et à la pointe de ce
qui se fait en matière de forums de discussion. Pour
découvrir le nouveau Forum : cliquez
ici - découvrez aussi le "Portail"
de cette nouvelle plate-forme Petite contrainte dont nous vous demandons de ne pas nous tenir rigueur,
liée à notre souhait de nettoyer un fichier de membres
alourdi par le temps :
la nécessité, si vous étiez déjà
enregistré(e) dans lancien forum, de vous ré-enregistrer
sur le nouveau , si possible en conservant le même identifiant
(pseudo). Ce
forum est désormais fermé, mais il restera consultable
sans limite de durée à lurl : http://www.universimmo.com/forum Les
adresses et les liens que vous avez pu créer vers ses sujets
restent bien entendu totalement opérationnels.
Par contre tous les nouveaux sujets doivent être
créés sur la nouvelle plate-forme. Pour
toutes remarques, questions ou suggestions concernant cette migration,
nous vous proposons un sujet dans la section « A
propos de ce forum »
Bon surf
! Léquipe Universimmo
Il est recommandé pour apprécier le site d'avoir une résolution d'écran de 1024x768 (pixels/inch) ou Plus..
Je loue mon studio à une association pour la réinsertion des jeunes. Les éducateurs recherche des logements pour ces jeunes. L'association paye les loyers et tous les "dérapages" éventuels des jeunes dans l'appart. Je me pose la question de la caution solidaire, est elle nécessaire quand le bail est au nom de l'association.??
On ne peut que vous conseiller la prudence, une association ayant, comme toute autre personne morale ou physique, une solvabilité limitée. Voyez très précisément les termes du bail, et parlez en avec les responsables de l'association, qui, très certainement, ne peuvent couvrir tous les "dérapages".
Je suis moi même, en tant que jeune retraité et ceci à titre bénévole, secrétaire général d'une association de réinsertion de détenus et d'anciens détenus par le travail qui oeuvre sur Paris RG et banlieue Nord et nous sommes confrontés au même type de question, souvent en relation avec des associations du type de celle que vous évoquez qui ont comme champ d’action le logement des personnes en difficulté. Je prends grand soin de ne pas aller au delà de nos capacités dans les rapports avec les tiers et de ne pas les mettre en péril dans leurs propres intérêts, ceci dans le respect des limites que nos sources de financement - pour l'essentiel publiques - nous donnent fatalement. Les problématiques sociales n'exonèrent pas de la saine gestion, bien au contraire.