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Je vends une maison. Historique : Après la construction de cette maison nous avons entrepris une procédure contre l'architecte et l'entreprise de gros oeuvre. En effet quelques désordres sont apparus peu après la réception (en 1994)des travaux. A savoir un léger affaissement de 1,5 cm du hérisson (dalle flottante sur remblais compacté + isolation périphérique), une légère infiltration, et quelques désordres esthétiques relatifs au soins apportés par l'entreprise lors des finitions. A part ça pas de fissures .... Cette longue (très longue devrais-je dire) et couteuse procédure est à présent terminée. Nous nous sommes arrêtés (on peu dire laissé tombé)lorsque l'expert mandaté par le juge a déposé son rapport. En effet ce rapport met en cause le carreleur pour l'affaissment et l'entreprise de gros oeuvre pour l'infiltration et les petits défauts de finition. Il a donc chiffré les ptits travaux de reprise. Et nous à conseillé de nous retourner directement vers le carreleur puisque c'était le seul lot que nous avions traité au "noir" et qui n'est donc pas couvert par une assurance décennale. Bref, le rapport d'expertise atteste que rien ne remet en cause la solidité de la construction, ni ne provoque une perte de jouissance, l'ensemble constituant des désordres esthétiques. En effet le dallage s'est stabilisé avec le temps et seul un espace était visible entre les plinthes et le carrelage.
AUJOURD'HUI: Nous avons effectués à notre charge les travaux. Et à présent pour d'autres raisons nous vendons et sommes prêt à signer un compromis. Notre agent immobilier à qui nous avons parlé de cette procédure pense qu'il n'est pas nécessaire d'en informer l'acheteur. Il nous affirme qu'à la vue des conclusions de l'expert on ne peut pas parler de vices cachés.
Que faire en parler quand même au risque de faire fuir l'acheteur ? Ne rien dire en toute bonne fois puisque rapport d'expert à l'appui rien ne remet en cause la solidité ....
J'imagine que vous n'aviez pas de "Dommage Ouvrage" pour avoir entrepris cette procédure judiciaire. L'affaissement d'un dallage est du domaine de la décennale, donc de l'entreprise de gros oeuvre, sauf si le carreleur a été chargé à la fois du dallage et du carrelage. Votre affaire me paraît curieuse ! Mais il n'est pas possible d'avoir un avis sans avoir vu.
Quoiqu'il en soit, vous avez abandonné la procédure et effectué les travaux de reprise. Avez vous réalisé ces travaux vous-même ou les avez vous confiés à une entreprise , avec facture ? Depuis combien de temps sont-ils terminés?
Les travaux de réparation de désordres effectués après la réception sont très courants et dans la mesure où les vôtres ne correspondent pas à un "camoufflage" volontaire du désordre, il n'y a pas vice caché.
Sous les "conseils avisés" de notre archi nous n'avions pas contracté de dommage ouvrage, grand mal nous en à pris!
En effet pour ce qui est du problème sur le carrelage, seule l'entreprise de carrelage à été mise en cause par l'expert. (comme par hasard c'est le seul lot traité "au noir" qui est mis en cause, cela arrangerait-il tout le monde ?)
Même si le dallage à été réalisé par l'entreprise de gros oeuvre mais avec vraisemblablement un défaut de niveau. Ce qui a obligé le carreleur à réaliser une chape maigre de pose de 13cm à certains endroits (7 en temps normal sur une dalle de niveau et plane). L'expert à estimé après sondage que cette chape était mal dosée et donc se délitait et s'était tassée.
Même avec un avis contradictoire de notre expert perso.
En bref, puisque l'expert a conclu que l'ensemble s'est stabilisé (cela fait 10 ans maintenant) après plusieurs mesures sur un délais de 2 ans. Nous avons laissé tombé la procédure il y maintenant 2 ans environ en pensant que de toute évidence le juge se rangerait à l'avis de l'expert.
Nous avons effectué les travaux de reprise nous même pour les finitions et les infiltrations (reprise des rives). Facture des matériaux à l'appui.
Pour le dallage, puisque il s'est stabilisé, nous avons remplacé les plinthes, recollées des nouvelles et effectué les raccords de peinture.
Ce n'est pas du camouflage puisque nous avons entrepris ces travaux avant la mise en vente.
Voila j'espère que ces eclaircissements vous suffirons.
Le sol est + ou - compressible en fonction de sa teneur en eau. Si le compactage du sol support du dallage intérieur a été insuffisant, il va avoir tendance à se "tasser" sous l'effet conjugué de son assèchement et des pressions (charges) appliquées. Par contre, la chape ciment n'est pas compressible, les cellules formées par sable + ciment qui a fait prise, sont rigides. Seul un effrittement de la chape, sous l'effet conjugué d'un dosage ciment insuffisant et des pressions appliquées, peut conduire à un tassement. Mais alors le résultat est visible, la chape, au moins partiellement, s'est transformée en une couche de grains de sable enrobés de ciment. C'est tout à fait exceptionnel et le tassement, fonction d'un dosage ciment et de pressions fluctuants, non uniformes, n'est pas régulier, ni en surface, ni dans le temps. Et le tassement dans ce cas sera plutôt insignifiant, le sable n'étant pas compressible ! Enfin, une chape, même très mal dosée, peut supporter une pression très tès largement supérieure à celle admise sur les sols des logements. C'est pourquoi je pense, d'après les informations que vous avez données, que l'origine du désordre est bien le tassement du sol.
Enfin, ce n'est plus le sujet !
Sur le vice caché :
Sincèrement, après une période de stabilité controlée pendant plusieurs années, je ne vois pas comment le dallage pourrait subir de nouveaux tassements. A votre place, je n'en parlerais pas.