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Alors que débute la saison propice aux locations, le marché est tendu. « Pour la première fois, nous avons des logements vacants faute de trouver des candidats », constate Bruno Cornillon, président d'Orpi Gestion. Et pourtant, ce n'est pas faute de demandes : « Les besoins sont toujours supérieurs à l'offre », souligne Gilles Charon, directeur commercial du réseau Laforêt. Alors ? Les loyers sont trop hauts comparés aux revenus.
« Les propriétaires qui ont loué l'année 2002 au plus haut du marché ont chaque année revalorisé le loyer de l'indice du coût de la construction [devenu depuis le 1er janvier l'indice de révision des loyers]. Si bien qu'aujourd'hui ces derniers atteignent des niveaux jugés trop élevés par les candidats à la location », explique Bruno Cornillon. D'où des négociations. « Pour mettre le loyer au prix du marché, nous le diminuons de 5 à 10 %. Et là il trouve preneur », commente Gilles Charon.
Mais tous les propriétaires ne sont pas prêts à cette révision. Tous ceux qui ont acheté à crédit voient d'un mauvais oeil le montage qu'on leur avait proposé se détériorer et leur effort de trésorerie augmenter pour compenser le différentiel entre le loyer et la mensualité. « L'ajustement prendra moins de trois mois, car la perte de rentabilité occasionnée par la vacance est très vite sensible », note Gilles Charon.
La situation est plus grave si le bien ne se loue pas . Or, avec l'arrivée sur le marché des programmes vendus dans le cadre de la loi Robien, l'offre dans certaines zones a augmenté sans que la demande suive. Les locataires n'acceptent pas les mêmes contraintes qu'un acquéreur qui, pour devenir propriétaire, n'hésite pas à s'éloigner des centres-villes. Ils sont aussi moins nombreux à remplir les conditions exigées par les bailleurs - revenus représentant trois, voire trois fois et demie le montant du loyer et cautions familiales ou bancaires. Il est aujourd'hui plus facile d'emprunter que de louer ! Réajustement, mais pas effondrement. Les loyers restent élevés, nettement supérieurs à ce qu'ils étaient au début de la décennie.
... finalement, rien ne vaut une simulation achat/location pour bien comprendre : http://asi77.free.fr
J'invite tout à chacun à relire l'étude de Cornuel où la baisse des loyers était l'un des facteurs présentant justement la présence d'une bulle immobilière. Ces baisses de loyers étaient déjà perceptibles en début d'année (voir un autre lien d'une fédération de gestionnaires de biens) je crois me souvenir. Est-ce que quelqu'un a des infos sur les loyers parisiens entre 1989 et 1992 ?