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Citation :2007 : tout le monde se calme... Quel que soit le marché étudié, la perspective est celle d'un "ralentissement général de l'inflation des prix de l'immobilier en 2007 et 2008". La France, en particulier, pourrait réserver "quelques surprises" l'an prochain : "le risque principal est celui d'une surabondance de nouveaux logements, particulièrement les appartements. Les prix des logements vont continuer à ralentir, tout comme les loyers. Durant la première moitié de l'année, nous nous attendons à des baisses trimestrielles, ce qui produira une forte couverture médiatique, amplifiant le ralentissement. Et sur l'ensemble de l'année, nous voyons des prix stables par rapport à 2006", conclut l'étude, confirmant les analyses du Crédit Agricole il y a un mois (voir l'article "2007 : zéro de croissance"). De même, la perspective d'un krach est écartée : "le marché ne devrait pas connaître une chute similaire à celle du milieu des années 90" en raison notamment d'une hausse permanente des naissances et un nombre croissant de ménages.
Que chaque homme divise son argent en trois, qu'il investisse un tiers dans la terre, un autre dans les affaires et qu'il garde le dernier tiers en réserve.
Oui, comme je l'ai dit depuis bientôt 2 ans maintenant: la baisse, oui, mais pas avant les prochaines présidentielles, c'est un sujet trop sensible pour les Français.
Et lorsqu'on entend le discours de Sarko sur le sujet hier soir sur FR2, en supposant qu'il soit élu, il est bien possible que la baisse soit plus faible que prévue, et encore plus étalée dans le temps.
"Sur ce dernier point, on notera un phénomène intéressant : il y a quelques semaines, un promoteur a proposé, en région parisienne, deux programmes légèrement inférieurs aux prix du marché, la commune ayant consenti un rabais sur le terrain. Résultat : dans les deux cas, tous les appartements se sont vendus… en une journée !"
La loi de l'offre et de la demande est la même pour tous les marchés. Plus c'est rare plus c'est cher. Seulement il est vrai que pour l'immobilier, les choses se font sur la durée.
La loi de l'offre et de la demande est la même pour tous les marchés. Plus c'est rare plus c'est cher. Seulement il est vrai que pour l'immobilier, les choses se font sur la durée.
Et bien non. Car quand la demande est rare, les prix ont tendance à s'écrouler. Comme entre 1992 et 1998.
Ramer dans le sens du courant a toujours fait rire les crocodiles (proverbe africain).
Une information, de la part d'un organe de presse, sans nom des promoteurs, lieux et noms des programmes ne me permet pas de la recouper.
Donc, pas de conclusions.
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