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victomax
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607 réponses |
 Posté - 20 juil. 2007 : 22:37:34
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Baisse des loyers à Toulouse et Montpellier, krach imminent...
Par Olivier Angel le 2 mai 2007 | (4) Commentaires | Permalink
En ce début du mois de mai 2007, les loyers de Toulouse et Montpellier commencent à amorcer une baisse : -1,2 % à Toulouse (11,98 euros/m2) et -0,1 % à Montpellier (12,26 euros/m2).
Nous connaissons déjà sur ce blog certaines raisons qui poussent les prix vers le bas, la crise immobilière à Toulouse est bel et bien amorcée depuis quelques mois, le plan Power 8 Airbus prévoit de licencier plus de 2000 personnes, la base militaire Francazal prévoit une baisse de 800 de ses effectifs au Sud de Toulouse, StorageTek prévoit la fermeture de son site à Toulouse, le projet Galiléo est en retard et le Cancéropole n'en est qu'au début de ses travaux.
Beaucoup de lotissements se sont construits à Toulouse grâce aux investissement Robien depuis les années 2000. Le marché est tout simplement saturé, beaucoup de locataires sont partis à plis de 20-30 km, car ils ont acheté ces dernières années. Les annonces explosent sur tous les médias locaux (www.toulouseweb.com, www.publi.fr, etc...). Le marché n'est plus à la baisse mais à "vendons avant qu'il ne soit trop tard !". Mais il est déjà trop tard...
clin d'oeil à Lenabot
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LeNabot
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13018 réponses |
Posté - 20 juil. 2007 : 23:08:01
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| *****modération : message hors sujet***** |
Edité par - nefer le 27 juil. 2007 11:29:46 |
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victomax
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607 réponses |
Posté - 20 juil. 2007 : 23:14:36
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etant donné que vous parlez de bcp de lieu mais jamais de votre ville qui etait rose, ca me rassure qu'il n'y est pas que l'alsace, montigny le bretonneux, nantes, l'espagne, etc, qui baissent. Il y a également Toulouse, mais pas tout a fait pour les memes raisons, c'est qu'il n'a plus de boulots, ca licencie dans tous les sens.
Attention aux futurs chomeurs qui ne pourront plus payer leurs loyers, et qui seront meme obligé de trafiquer les compteurs edf pour s'eclairer. |
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LeNabot
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13018 réponses |
Posté - 20 juil. 2007 : 23:23:39
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Citation :
Initialement entré par victomax
etant donné que vous parlez de bcp de lieu mais jamais de votre ville qui etait rose, ca me rassure qu'il n'y est pas que l'alsace, montigny le bretonneux, nantes, l'espagne, etc, qui baissent. Il y a également Toulouse, mais pas tout a fait pour les memes raisons, c'est qu'il n'a plus de boulots, ca licencie dans tous les sens.
Je n'avais pas attendu qu'un Nantais parle de Toulouse. J'avais déjà initié des fils sur la ville rose. Mais peut-être que vous dormiez.
http://www.universimmo.com/forum/topic.asp?TOPIC_ID=51452
http://www.universimmo.com/forum/topic.asp?TOPIC_ID=49253
http://www.universimmo.com/forum/topic.asp?TOPIC_ID=46617
Citation :
Attention aux futurs chomeurs qui ne pourront plus payer leurs loyers, et qui seront meme obligé de trafiquer les compteurs edf pour s'eclairer.
Ne vous inquiétez pas. C'est à Meaux. La fabrication de moutarde marche encore. |
Ramer dans le sens du courant a toujours fait rire les crocodiles (proverbe africain). |
Edité par - LeNabot le 20 juil. 2007 23:33:43 |
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fanette44
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3921 réponses |
Posté - 21 juil. 2007 : 07:09:42
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NOUVEL OBSERVATEUR N°2211 mars 2007
Spécial immobilier
Toulouse : La baisse se fait désirer
Contre toute attente, les prix continuent d'augmenter à Toulouse, mais les acquéreurs se font plus rares. Résultat : il faut savoir négocier
A Toulouse, le marché ne baisse toujours pas. Pourtant les professionnels de l'immobilier étaient nombreux à l'annoncer à la suite d'une année 2006 qualifiée de « charnière », des élections - rarement synonymes d'euphorie immobilière - dans la ligne de mire et les turbulences qui agitent du géant Airbus. Mais il faut bien se rendre à l'évidence, la baisse n'est pas à l'ordre du jour.
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fanette44
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3921 réponses |
Posté - 21 juil. 2007 : 07:30:29
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version depeche du midi 16:32 14/02/07
TOULOUSE
CONSTRUCTION. LE LOGEMENT NEUF A CONNU UNE NOUVELLE ANNÉE FASTE. ET 2007 S'ANNONCE DE MÊME, AVEC DES PRIX QUI NE DEVRAIENT PAS VRAIMENT BAISSER.
L'immobilier au sommet
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fanette44
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3921 réponses |
Posté - 21 juil. 2007 : 07:45:47
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Un spécialiste de la région dit
"Ces dernières années, il y a eu un mouvement d'uniformisation des prix à Toulouse, car les gens voulaient se loger coûte que coûte, n'importe où. Mais je crois que les notions de quartier vont revenir. Certains quartiers vont conserver la valeur acquise, comme la rue Bayard, grâce à sa position centrale, ou les Minimes, grâce à leur charme et à l'arrivée du métro. En revanche, les quartiers nord comme Lalande, Izards, la Vache, qui ont beaucoup monté, vont marquer le pas. De même que le Mirail, où j'observe des ventes à 1 800 € le mètre carré, ce qui est trop cher!» En clair, le rapport emplacement/prix va revenir au premier plan. Et ceux qui ont choisi d'acheter à proximité du centre, avec une jolie vue sur la Garonne ou le canal, près d'une station de métro dans un «bon quartier», ne devraient pas avoir grand-chose à craindre"
Rien à craindre pour LE NABOT, ses prédictions vont se réaliser il a choisi pour sa résidence principale dont il est propriéaire ainsi que pour son investissement locatif, un quartier qui va baisser pour ne pas se contredire
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LeNabot
Pilier de forums
13018 réponses |
Posté - 21 juil. 2007 : 08:45:38
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Fanette qui vient au secours de Toulouse. On aura tout vu.
Quand vous citez, vous mettez la source. Car votre passage vient exactement de là, et le sens est quelque peu différent. Vous allez faire dans la fausse monnaie bientôt. En bleu le paragraphe d'où provient la citation de fanette. Elle a simplement oublié les deux phrases qu'il y avait avant. Pas folle la refourgueuse d'appartements.
http://www.boursorama.com/forum/message.phtml?file=357258839&pageForum=1
Article de mars 2007.
l'express immobilier 18:31 01/03/07
«A vendre, quartier Patte-d'Oie, maison 180 m2, 620 000 ¤». Cette annonce est restée un an dans la vitrine de plusieurs agences toulousaines, malgré une estimation à 520 000 ¤. Après avoir refusé une proposition de 490 000 ¤, la propriétaire, ayant pris un prêt-relais pour l'achat d'un appartement, a finalement dû se résoudre à céder son bien à 475 000 ¤. Avec la remontée des taux, l'acheteur ne pouvait plus obtenir des banques les 490 000 ¤ proposés initialement.
Cette anecdote pourrait résumer la situation actuelle de l'immobilier dans l'agglomération toulousaine: des propriétaires trop gourmands, qui n'ont pas encore pris conscience de la fin de l'euphorie haussière, des acheteurs de moins en moins nombreux parce que leur salaire n'a pas augmenté de 15 à 20% par an, à l'instar des prix de l'immobilier, et un marché de plus en plus bloqué, de l'aveu même des professionnels. «On sent une vraie morosité, observe Laurent Saint-Supéry, de l'agence Marquet, avenue de Muret. Là où on avait 30 ou 40 coups de fil par semaine en réponse à nos annonces, on n'en a plus que 5 ou 6. La remontée des taux d'intérêt n'aide pas.» Pierre Ragozin, responsable de quatre agences Atlas Immobilier à Toulouse et Colomiers, fait le calcul: 19 compromis de vente signés en mai 2006 contre 28 en mai 2005. «En juin, on n'a réalisé que deux ventes sur les quatre agences, se désole-t-il. C'est un peu dramatique. Nos commerciaux recontactent tous les clients pour faire baisser les prix. Mais c'est difficile à expliquer à des propriétaires qui pensent que ça va continuer comme avant.» Une agence de Tournefeuille reconnaît sans détour que 50% de ses biens en portefeuille sont surévalués. «Les vendeurs rêvent sur le montant de leur bien et nous assistons à un boycott de la part des acquéreurs», constate Nicole Faure, «chasseuse» d'appartements chez Dian' Immo. Les négociations sont de plus en plus fréquentes et importantes: «Un bien supérieur à 600 000 ¤ peut descendre de 100 000 ¤, affirme-t-elle. A 300 000 ¤, les baisses atteignent facilement 30 000 ¤.» Et la durée des transactions s'allonge: chez Orpi, la vitesse d'écoulement des produits est passée de trois à quatre mois en un an, alors qu'il y a deux ans elle était d'un mois.
Les prix quant à eux sont en voie de stabilisation, même si l'économie locale conserve sa vigueur et si l'arrivée de 19 000 personnes par an dans l'aire urbaine ne laisse pas envisager de baisse. L'indice Insee des appartements anciens à Toulouse affiche encore 22,2% au premier trimestre 2006, contre 16,8% dans la province en général. La Fnaim comptabilise 16,3% de mieux pour les appartements entre les premiers trimestres 2006 et 2005 (contre 16,5% en 2005, 22,9% en 2004 et 24,2% en 2003) et 14,4% pour les maisons, mais les statistiques des prochains mois devraient enregistrer ce que ressentent les professionnels. «On sera sans doute cette année sur une hausse de 5 à 7%», prédit Bertrand Pezet, président de la Fnaim de Haute-Garonne. La Bourse de l'immobilier, qui calcule l'évolution des prix de vente en temps réel dans ses 20 agences de l'agglomération, observe une augmentation de 10% entre les premiers semestres 2005 et 2006 sur Toulouse et les trois premières couronnes. «On sera sur une hausse au-dessous de 10% en 2006, c'est évident, confirme Me Philippe Pailhes, chargé de l'immobilier à la chambre des notaires de Haute-Garonne. Sur l'ancien, on observe une quasi-stabilité des prix depuis janvier, alors qu'on était à 19% sur les appartements et 15% sur les maisons en 2005. A la fin de l'année, on devrait avoir une fluctuation de moitié par rapport à l'an dernier.»
Faut-il encore acheter ou non? se demandent de nombreux candidats à l'accession. Maud, 26 ans, ingénieur chez un sous-traitant d'Airbus, a choisi d'acquérir une maison à Fonsorbes. «Nous connaissons tellement de monde dans notre entourage qui cherche que cela nous paraîtrait bizarre que l'immobilier se casse la figure à Toulouse», lance-t-elle. Cependant, même si les prix ne baissent pas franchement, les occasions peuvent être plus nombreuses. «Nous avons des amis qui cherchent un appartement avec un budget de 200 000 à 250 000 ¤ pour 90 à 100 m2, témoigne Carine, qui vient d'acheter un T 4 au Busca. Avant ils ne trouvaient rien et, maintenant, ils ont beaucoup plus de choix.»
Uniformisation des prix
Pourtant, un excellent connaisseur du marché immobilier toulousain avance, sous couvert d'anonymat, qu' «aujourd'hui il faut vendre, mais surtout pas acheter!». En tout cas pas n'importe où ni à n'importe quel prix. «Ces dernières années, il y a eu un mouvement d'uniformisation des prix à Toulouse, car les gens voulaient se loger coûte que coûte, n'importe où, analyse-t-il. Mais je crois que les notions de quartier vont revenir. Certains quartiers vont conserver la valeur acquise, comme la rue Bayard, grâce à sa position centrale, ou les Minimes, grâce à leur charme et à l'arrivée du métro. En revanche, les quartiers nord comme Lalande, Izards, la Vache, qui ont beaucoup monté, vont marquer le pas. De même que le Mirail, où j'observe des ventes à 1 800 ¤ le mètre carré, ce qui est trop cher!» En clair, le rapport emplacement/prix va revenir au premier plan. Et ceux qui ont choisi d'acheter à proximité du centre, avec une jolie vue sur la Garonne ou le canal, près d'une station de métro dans un «bon quartier», ne devraient pas avoir grand-chose à craindre, malgré une baisse toujours possible.
Séduire les particuliers et tenir les prix
Mais pour ceux qui ont investi dans le locatif neuf dans des villes éloignées d'une cinquantaine de kilomètres de Toulouse, l'atterrissage risque d'être plus douloureux. La vacance locative à Montauban, Albi ou Tarbes commence à donner des sueurs froides à ceux qui veulent bénéficier de la défiscalisation «Robien». Un promoteur avoue 40% de vacance dans ses programmes à Montauban. On chuchote aussi que des appartements neufs seraient vides dans le nouveau quartier de Borderouge, dans le nord de Toulouse. Les investisseurs se font donc plus hésitants, malgré les rabais octroyés désormais par les promoteurs. Et le rééquilibrage investisseurs/accédants, appelé de ses v½ux par la mairie de Toulouse, commence à se produire, dans un contexte de forte hausse de l'offre (273 opérations début 2006 contre 203 un an plus tôt).
«Nous espérons arriver autour de 60% d'investisseurs fin 2006, contre 80% précédemment, affirme Roger Métellus, président de la fédération des promoteurs -constructeurs de Midi-Pyrénées. Mais, pour séduire les particuliers, il faut proposer des terrasses ou des maisons de ville avec des bouts de jardin et tenir les prix. A plus de 2 800 ¤ le mètre carré, on les perd.» Or le prix moyen du neuf a atteint 2 797 ¤ le mètre carré dans l'aire urbaine au premier trimestre 2006 (en hausse de 10% en un an) et 3 500 ¤ à Toulouse, avec des pointes à 4 000 ¤.
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Ramer dans le sens du courant a toujours fait rire les crocodiles (proverbe africain). |
Edité par - LeNabot le 21 juil. 2007 09:11:10 |
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fanette44
Pilier de forums
3921 réponses |
Posté - 21 juil. 2007 : 09:07:27
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J'ai pris un extrait LE NABOT !
Vous avez certainement acheté dans le quartier qui baisse mais vu votre flair cela ne m'étonne qu'à moitié ! Quand on achète un "gourbi" commme vous l 'avez fait on ne peut pas s'attendre à mieux ce qui explique votre déchainement car vous avez réalisé que vous vous étiez trompé. Il ne fallait pas acheter là !!
Les BONS investisseurs renifflent les quartiers porteurs et évaluent un loyer qui permet à son locataire de pouvoir se chauffer sans trafiquer le compteur électrique !ce qui est votre cas
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LeNabot
Pilier de forums
13018 réponses |
Posté - 21 juil. 2007 : 09:13:57
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Citation :
Initialement entré par fanette44
J'ai pris un extrait LE NABOT !
Vous avez certainement acheté dans le quartier qui baisse mais vu votre flair cela ne m'étonne qu'à moitié ! Quand on achète un "gourbi" commme vous l 'avez fait on ne peut pas s'attendre à mieux ce qui explique votre déchainement car vous avez réalisé que vous vous étiez trompé. Il ne fallait pas acheter là !!
Les BONS investisseurs renifflent les quartiers porteurs et évaluent un loyer qui permet à son locataire de pouvoir se chauffer sans trafiquer le compteur électrique !ce qui est votre cas
Un extrait dénué de sens pris tout seul.
Vous avez surtout été prise en flagrant délit de fabrication de faux. Quand l'immobilier va mal, on ne dit pas que ça pète le feux. Vous voyez fanette, ce n'est pas trop le moment de rapatrier le capital de vos quarante gourbis dans le sud. Par contre on manque de vendeuses chez Auchan. Un stock de climatiseurs à refourguer. |
Ramer dans le sens du courant a toujours fait rire les crocodiles (proverbe africain). |
Edité par - LeNabot le 21 juil. 2007 09:23:51 |
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fanette44
Pilier de forums
3921 réponses |
Posté - 21 juil. 2007 : 09:33:19
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NOn pas besoin de travailler chez AUCHAN, d'ailleurs pourquoi ce mépris pour les vendeuses de chez AUCHAN ?
De la part de quelqu'un qui ne bosse pas c'est pas banal !
Pas de rapatriement non plus des locations, j'ai vendu un peu pour acheter dans le sud mais pas pour louer. Je fais confiance à la ville de Nantes pour le marché locatif "bien placé"
Au fait en ce qui concerne le Sud, un grand promoteur hier lançait l'ouverture de son programme, passant par là je me suis demandée quel était cet attroupement.
LA QUEUE devant le kiosqueles gens en colère attendaient depuis deux heures, le promoteur s'est payé le luxe d'être en retard.
Je me suis arrêtée et j'ai interrogé les personnes qui attendaient
Elles veulent acheter pour s'agrandir, le sud attire et les familles rappliquent l'été ! D'autres en vacances par là ont été séduites par le climat et se lancent!(faut dire qu'avec le temps qu'il fait sur le reste dela France ça aide!)
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LeNabot
Pilier de forums
13018 réponses |
Posté - 21 juil. 2007 : 09:39:30
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Citation :
Initialement entré par fanette44
Au fait en ce qui concerne le Sud, un grand promoteur hier lançait l'ouverture de son programme, passant par là je me suis demandée quel était cet attroupement.
LA QUEUE devant le kiosqueles gens en colère attendaient depuis deux heures, le promoteur s'est payé le luxe d'être en retard.
Je me suis arrêtée et j'ai interrogé les personnes qui attendaient
Elles veulent acheter pour s'agrandir,
Vous savez ce matin, je suis passé devant mon charcutier rue Etienne Billières. Vingt dieux ! Il y avait une queue d'au moins 50 personnes. Je leur ai demandé ce qu'ils venaient faire ici. Tout le monde m'a dit qu'ils voulaient acheter des saucisses pour leur chien. Vous vous rendez compte, fanette, c'est fou ! Les chiens de Toulouse mangent des saucisses !!!
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Ramer dans le sens du courant a toujours fait rire les crocodiles (proverbe africain). |
Edité par - LeNabot le 21 juil. 2007 09:40:29 |
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fanette44
Pilier de forums
3921 réponses |
Posté - 21 juil. 2007 : 09:47:47
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Celle là vous l'aviez déjà faite mais le ridicule ne tue pas!
Moi aussi je vais tous les jours chez mon boulanger et la baguette ne baisse pas mais je ne vais pas tous les jours acheter un appartement surtout quand les prix sont devenus "fous" |
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pasdebol1
Contributeur actif
26 réponses |
Posté - 23 juil. 2007 : 09:06:17
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A Cornebarrieu, pas très loin de Toulouse, je viens de me prendre une augmentation de 2.92% de mon loyer.
Cette baisse annoncée par M. Angel n'est donc pas générale.
Merci. |
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nefer
Modérateur
28499 réponses |
Posté - 23 juil. 2007 : 09:28:07
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| c'est l'indexation du loyer....que vous venez d'avoir (voir l'IRL) |
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pasdebol1
Contributeur actif
26 réponses |
Posté - 23 juil. 2007 : 12:37:30
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| Absolument. Mais si l'on est dans une situation où l'offre est surabondante et où les propriétaires ne trouvent pas de locataires, ou ont peur de les perdre, l'augmentation de mon loyer n'aurait pas été obligatoire. Non ? |
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papanoel
Pilier de forums
1568 réponses |
Posté - 23 juil. 2007 : 12:55:12
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Citation :
NOUVEL OBSERVATEUR N°2211 mars 2007
Spécial immobilier
Toulouse : La baisse se fait désirer
Contre toute attente, les prix continuent d'augmenter à Toulouse, mais les acquéreurs se font plus rares. Résultat : il faut savoir négocier
La désinformation ( a laquelle fanette participe activement ) incite les vendeurs a ne pas plier: "pourquoi brader si il n' y a pas de baisse", OK, je veux bien, mais le problême est bien la : il n'y a plus d'acheteurs.
Mais bien sur avec une pénurie d'acheteurs, fanette qui cite l'article ne peut qu'anticiper une hausse
( toujours le même double langage, les prix sont négocies de plus en plus mais les prix eux ne baissent pas: c'est magique le marché immo) |
Les professionnels de l'immo qui prétendaient
qu'il n'y aurait pas de baisse nous ont menti. |
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fanette44
Pilier de forums
3921 réponses |
Posté - 27 juil. 2007 : 21:51:29
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NON papanoel, si le marché baisse beaucoup de propriétaires tiendront car ce sont souvent des investisseurs qui ont terminé leurs remboursements d'emprunt. Ils ont tenu la route avec leurs échéances de prêts à payer pendant des années et maintenant C'EST TOUT BON !!!
Les investisseurs plus récents doivent continuer à louer pour ne pas perdre leur avantage fiscal sinon C'EST PAS BON pour eux.
CONCLUSION : les propriétaires garderont leurs biens en attendant des jours meilleurs.
Vous pouvez toujours attendre la grande braderie !!!
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victomax
Pilier de forums
607 réponses |
Posté - 27 juil. 2007 : 21:57:15
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| précision papanoel, la grande braderie, c'est a lille, donc n'attendez rien de nantes |
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LeNabot
Pilier de forums
13018 réponses |
Posté - 27 juil. 2007 : 21:58:32
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Citation :
Initialement entré par fanette44
CONCLUSION : les propriétaires garderont leurs biens en attendant des jours meilleurs.
C'est ce qu'on disait en 1991. Mais quand on a faim, avec un crédit relais sur le dos, ces belles paroles ne trouvent aucune application. |
Ramer dans le sens du courant a toujours fait rire les crocodiles (proverbe africain). |
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fanette44
Pilier de forums
3921 réponses |
Posté - 27 juil. 2007 : 22:49:49
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LE NABOT, quel est le pourcentage des emprunteurs en prêt relai ?
Pour ce type de prêt, les banquiers demandent une estimation supérieure au montant du prêt souhaité, il est évident que les biens sont surévalués et les propriétaires vendeurs le savent bien quand ils font faire une évaluation par les agences.
Ce qui compte c'est le prix de vente réel et le vendeur retombe sur ses pieds car il sait que que son bien vaut moins que l'estimation.
Pendant quelque temps l'annonce passe à un prix trop élevé et redescend ce qui fait parler de baisse à quelques chasseurs de soldes !
En fait ce n'est que le prix attendu au départ.
Le vendeur " a faim " il vend son bien au prix normal. |
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Toulouse s'en remettra t'elle?
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