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Les années se suivent... et ne se ressemblent pas pour l'immobilier dans le département. Champion d'Ile-de-France hors catégorie de la hausse du prix de l'ancien fin 2005, l'Essonne vient subitement de glisser à la dernière marche du classement régional ! C'est ce que révèlent les derniers chiffres rendus publics par la chambre des notaires Paris-Ile-de-France.
Sur l'année 2006, le prix du mètre carré pour un appartement essonnien s'est négocié autour de 2 640 #65533; (+ 5,8 %). Un tout petit bond par rapport aux Yvelines (+ 8,8 %) ou au Val-d'Oise (9,1 %). Mais en prenant un peu plus de recul et en s'arrêtant sur les cinq dernières années, on se rend compte que le département a connu une progression exceptionnelle. De 2001 à aujourd'hui, le prix d'un logement moyen en Essonne a tout simplement... doublé !
La revanche d'Etampes... On la jugeait trop loin de tout, presque provinciale. La capitale du sud rural de l'Essonne tient sa revanche. L'an passé, à Etampes, le mètre carré s'est envolé à plus de 2 620 #65533;. Grâce à ce saut de géant de 31 %, la cité royale se rapproche des valeurs de villes moyennes du nord de l'Essonne comme Chilly-Mazarin ou Yerres. « C'est très bon en ce moment, confirme Jean-Christophe Da Cruz, conseiller immobilier. Etampes est en pleine explosion, il y a 7-8 projets de neuf, le centre-ville a été refait, l'image de la ville est dynamique. » La preuve ? « Le nombre d'agences immobilières avoisine aujourd'hui les 25, contre une dizaine il y a quelques années. » En cinq ans, Etampes a connu une hausse des prix de 140 %.
... et des « villes-cités » ! Les autres communes essonniennes à sortir leur épingle du jeu ces cinq dernières années, ce sont incontestablement les « villes à quartier ». A travers un gros travail sur leur image, aidé par des programmes de rénovation urbaine, certaines d'entre elles comme Evry ou Les Ulis se rapprochent progressivement de la moyenne départementale. En revanche, malgré une hausse de 120 % depuis 2001 et un nouveau pic de 14 % l'an passé, Grigny reste calée en queue de peloton...
A-t-on atteint le plafond ? « Oui » ou « presque », estime une majorité de professionnels essonniens. « Après cinq-six ans de hausses importantes, on arrive à la fin d'un cycle, estime Philippe Cabantous, agent immobilier à Chilly. C'est normal : les salaires, eux, n'ont pas évolué de façon considérable, les moyens sont donc limités. » Résultat : depuis début 2007, dans certains secteurs, la tendance est à la stagnation. Durant le premier trimestre, les prix ont augmenté en Essonne de... 0,3 %. « Les prix commencent même à baisser pour certains biens », observe Me Martinez, notaire à Verrières.
Ça marchande de plus en plus. L'anecdote est rapportée par une agente immobilière de Sainte-Geneviève. « Une femme m'appelle pour visiter une maison estimée à 300 000 #65533;. Je lui demande son budget. Elle me répond 200 000 #65533;, mais qu'elle compte négocier ! » A l'image de cette tentative un brin outrancière, les acquéreurs essonniens osent de plus en plus marchander. Ce qui, au final, contribue au tassement des prix puisque certains vendeurs « piégés par des prêts relais sont obligés de vendre, même à un tarif beaucoup moins élevé qu'affiché initialement sur l'étiquette », rapporte un notaire.
Ramer dans le sens du courant a toujours fait rire les crocodiles (proverbe africain).