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« De 10 à 20% pour les grands logements » selon Jean-Michel Baumevieille, « de l’ordre de 20% » pour l’agence Ratier : les prix sont à la baisse sur le marché du locatif millavois. Certes, tous les professionnels de l’immobilier ne font pas état de tels pourcentages : aux yeux de Gilbert Barrau, il ne s’agit que d’un « tassement, il n’y a plus de réévaluation des loyers à la hausse, mais des petites négociations entre locataires et propriétaires, par exemple sur la réfection des tapisseries ». Pierre Cassan, l’adjoint à l’urbanisme, parle tout bonnement d’une « chute » des loyers, plaçant en exergue le « gros avantage » qu’elle représente pour les Millavois.
La tendance, en tout cas, est significative du paysage millavois de l’après-viaduc : elle peut s’attribuer au départ des ouvriers du pont ainsi qu’à la livraison de 176appartements locatifs à Naulas dans la période post-chantier. Largement de quoi augmenter l’offre vis-à-vis de la demande : selon l’évaluation de professionnels, il y aurait au moins 300logements vacants sur le marché de la location.
L’enthousiasme immobilier qui a précédé le chantier n’est manifestement pas étranger à la tendance. « Beaucoup de propriétaires ont partagé des logements en deux pour les louer aux ouvriers du viaduc, mentionne Pierre Cassan. Ça a développé de façon peut-être exagérée le nombre de petits appartements ». En outre, plusieurs dizaines de logements - « en priorité du meublé » précise Marie-Paule Solier, ancienne salariée de Cocitra, société chargée de l’hébergement des ouvriers du pont- ont été loués exceptionnellement pour la période du chantier. Ces logements sont-ils restés sur le marché ? L’agence Ratier ne l’exclut pas. L’hypothèse est cependant à nuancer par le fait, soulignent Baumevieille et Barrau, que les hommes du pont ont aussi été logés dans des meublés saisonniers. La diminution de la demande apparaît bien, en tout cas, synchrone avec le départ des ouvriers du pont, comme le relève Jean-Michel Baumevieille : « La décrue a commencé avec la fin du chantier béton ». Soit un an avant la mise en service de l’ouvrage. Mais déjà cette demande a repris, « depuis mars dernier » selon l’agent immobilier. A la mi-octobre, Gilbert Barrau avait enregistré une stagnation du nombre d’entrées entre 2004 et 2005 et une diminution du nombre de sorties. « Ce n’est pas exceptionnel, mais ce n’est pas la Bérézina », estime-t-il. La vacance d’appartements a une autre cause, sur laquelle l’affluence de locataires pendant le chantier a peut-être incité des propriétaires à se voiler la face : la « qualité discutable de logements dans le vieux Millau », comme le note l’agence Ratier. « Le locatif ancien reste sur la touche, d’autant que le prix au mètre carré pour la rénovation est plus élevé que pour du neuf », souligne Marie-Paule Solier. Ce que Pierre Cassan traduit en ces termes : « Le cœur de ville a été bousculé dans ses habitudes par la fin du chantier viaduc, il souffre un peu ». L’agent immobilier Philippe Vanenoo l’illustre a contrario : « En centre-ville, des appartements confortables trouvent preneurs ». « Il y a du neuf qui nous reste sur les bras », nuance néanmoins Jean-Michel Baumevieille.
Vétusté ou inconfort de certains logements dans le vieux Millau, appartements neufs au lotissement excentré de Naulas : c’est en tout cas entre ces deux pôles qu’évolue le locatif millavois aux lendemains du chantier du viaduc.
Pierre-Emmanuel PARAIS
Ramer dans le sens du courant a toujours fait rire les crocodiles (proverbe africain).
LeNabot, connaissez vous réellement le mico-marché millavois et l'influence (considérable) qu'a eu la construction du viaduc?
Etes-vous au courant que le viaduc est terminé? Savez vous que la ligne Paris-Rodez par Air France a aussi profité du viaduc et n'en profite plus? Pourriez vous en tirer une conséquence GLOBALE sur le transport aérien français?
A lire votre titre, j'en doute, parce que je ne veux pas croire que vous l'avez choisi uniquement par provocation, mais les posts suivants vont dire le contraire.
Festina lente
Edité par - ribouldingue le 02 sept. 2007 11:34:22
Bien évidemment. Mais ce n'est pas pour autant que cela a repris à Millau. Venez donc à Montauban, Albi, Castres, etc... constater la pléthore de l'offre locative. Vous seriez défait.
Ramer dans le sens du courant a toujours fait rire les crocodiles (proverbe africain).
LeNabot, a CAstres ou a Montauban, le marché est sinistré par la loi DeRobien et ses sbires (Borloo..). A Millau, ce n'est pas le cas du tout, il s'agit d'autre chose.
Lors de la construction du viaduc les loyers ont pris la verticale faute de logeemtns disponibles. Lorsque les travailleurs ont terminé le chantier, plsu besoin deloegemnt.
Je doute qu'à Castres, il y ait eu le même souci.
Millau n'est sinistré NI par les programmes de défiscalisaiton ni par le retournement des taux d'intérêts.
Alors oui, l'exemple de la baisse des loyers à Millau est instructive et applicable ailleurs. Mais où?
En tout cas ni à Marseille, ni a Paris, pas plsu qu'a Castres ou a Montauban...