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nouveau venu (dans le forum comme dans les question de l'immobilier) j'aimerais vous poser une question (je n'ai pas trouvé de sujet semblable dans le forum).
Je suis en train d'acheter un appartement sur Nice.
En 1991 j'étais au Lycée, alors la crise de l'immobilier... je voyais pas vraiment ce que ça voulait dire...
Je suis donc à la recherche des chiffres et je ne les trouve pas.
Quelqu'un peut me dire quelles étaient les dévaluations les plus fréquentes dans cette période ? Ou bien vers quel site je pourrais trouver les chiffres ?
En gros, je me demande jusqu'à combien un appartement peu perdre en cas de krash...
En 1990-1992, les prix des logements ont atteint, comparés aux niveaux d’indice 100 de la première moitié de la décennie 80 des indices de l’ordre de 140 sur la France entière, de 160 et plus pour la région parisienne. Et plus pour les bureaux. Ces niveaux avaient rejoint un niveau 100 en 1996. Les causes étaient multiples, ce que les analystes s’efforcent de démêler.
Les niveaux actuels sont assez proches de ceux du début de la décennie 90, mais dans un contexte économique foncièrement différent, l’histoire ayant peu l’habitude de repasser deux fois le même plat et de rejouer deux fois le même film.
Je vous ai sélectionné trois ressources, sur lesquelles vous pourrez voir indices et graphiques (il y en a bien d’autres…) :
Sur votre dernière question « combien un appartement peut perdre », la réponse est, je crois : « ça dépend ». Et cela dépend d’abord de sa situation intrinsèque notamment pour ce qui est de sa localisation propre.
Ca donne que des gens ont acheté cher un bien dont la valeur a baissé par la suite et qu'aujourd'hui, s'ils le mettent en vente, n'admettant pas de ne pas faire de plus-value au bout de dix ans, ils l'offrent à un prix supérieur à celui du marché d'où un certain phénomène de blocage.
C'est très instructif. J'y ai appris pour l'instant que la bulle de 91 avait été entretenue par un refus de perdre à la vente et que cela s'est traduit par une baisse du nombre de transactions et pas du prix, jusqu'à ce que... tout le monde craque !
Il semble aussi que la cote d'azur soit moins soumise à ce genre d'aléas (à la baisse en tout cas).
Oui, continuez à étudier et à soupeser, mais en vous souvenant que les phénomènes ne se reproduisent pas deux fois à l'identique... (l'implication des banques est foncièrement - si j'ose employer là cet adverbe - différente ce coup ci).