****JavaScript based drop down DHTML menu generated by NavStudio. (OpenCube Inc. - http://www.opencube.com)****
ATTENTION : Le Forum
dUniversimmo
a migré sur une nouvelle
plate-forme, sécurisée, et à la pointe de ce
qui se fait en matière de forums de discussion. Pour
découvrir le nouveau Forum : cliquez
ici - découvrez aussi le "Portail"
de cette nouvelle plate-forme Petite contrainte dont nous vous demandons de ne pas nous tenir rigueur,
liée à notre souhait de nettoyer un fichier de membres
alourdi par le temps :
la nécessité, si vous étiez déjà
enregistré(e) dans lancien forum, de vous ré-enregistrer
sur le nouveau , si possible en conservant le même identifiant
(pseudo). Ce
forum est désormais fermé, mais il restera consultable
sans limite de durée à lurl : http://www.universimmo.com/forum Les
adresses et les liens que vous avez pu créer vers ses sujets
restent bien entendu totalement opérationnels.
Par contre tous les nouveaux sujets doivent être
créés sur la nouvelle plate-forme. Pour
toutes remarques, questions ou suggestions concernant cette migration,
nous vous proposons un sujet dans la section « A
propos de ce forum »
Bon surf
! Léquipe Universimmo
Il est recommandé pour apprécier le site d'avoir une résolution d'écran de 1024x768 (pixels/inch) ou Plus..
Citation :C'ETAIT le dernier département de région parisienne qui n'était pas frappé par la baisse des prix de l'immobilier. Désormais, le Val-d'Oise n'échappe plus à la règle.
Citation :jeudi 27 mars 2008 | Le Parisien Le Val-d'Oise a beau afficher la plus forte hausse d'Ile-de-France sur l'année 2007, les biens immobiliers peinent à trouver preneurs. C'ETAIT le dernier département de région parisienne qui n'était pas frappé par la baisse des prix de l'immobilier. Désormais, le Val-d'Oise n'échappe plus à la règle. Selon Seloger.com, le site Internet de l'immobilier, sur toute l'année 2007, le Val-d'Oise est le département francilien (hors Paris) qui affiche, avec + 5 %, la plus forte hausse (plus précisément sur les prix de mises en vente d'appartements anciens). Un chiffre en trompe-l'oeil puisque tous les professionnels de l'immobilier s'accordent à dire que, depuis septembre, les prix n'augmentent plus.
3 118 € le mètre carré. Avec ce chiffre, qui date de février dernier, le Val-d'Oise reste le département francilien lemoins cher derrière la Seineet- Marne et l'Essonne. Ce n'est pas pour autant que les appartements se vendent correctement. Loin de là. « Un autre critère est révélateur de l'état du marché, souffle un agent immobilier de Cergy. C'est la durée du mandat. Il y a deux ans, il fallait quarante- cinq jours pour vendre une maison. Aujourd'hui, il faut quasiment compter six mois voire un an. Seuls les studios et les F 2 se vendent toujours aussi bien. »
De 10 à 15 % de réduction. C'est le conseil que donnent les spécialistes de l'immobilier. Si vous tenez absolument à acheter en ce moment, négociez ! « On peut facilement obtenir entre 10 et 15 % de réduction, confie un agent de Cergy. Car les vendeurs finissent par comprendre que le marché n'est plus ce qu'il était. Il y a deux ans, une telle ristourne était inimaginable. »
La mauvaise image de Villiers- le-Bel. Ce n'est pas vraiment le bon moment pour vendre votre bien à Villiers-le-Bel. « On subit un ralentissement depuis les émeutes, reconnaît un agent. Pourtant, nous avons très peu d'appartements dans la ZAC. Mais la mauvaise image de la ville complique les choses. Certains clients annulent carrément des rendez-vous quand ils apprennent que le bien recherché se trouve dans la cité. D'un autre côté, les propriétaires comprennent plus facilement qu'il faut baisser les prix. »
Même à L'Isle-Adam, Montmorency et Enghien ! Les trois villes les plus prisées du département n'échappent pas à cette crispation des prix de l'immobilier.
« Les prix n'ont pas encore baissé, constate un agent. Mais c'est une question de temps. Car, pour l'heure, ça ne se vend pas. J'ai des offres mais les vendeurs refusent de revoir leurs prétentions à la baisse. »Malgré tout, le prix au mètre carré y reste élevé par rapport à la moyenne départementale : entre 3 500 et 4 000 €.
Que chaque homme divise son argent en trois, qu'il investisse un tiers dans la terre, un autre dans les affaires et qu'il garde le dernier tiers en réserve.