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Achat immobilier : les crédits relais "dans la ligne de mire des banques"
Spécial été : retrouvez jusqu’au 11 août une sélection des derniers articles les plus consultés de la rubrique immobilier. Cet article a été publié le 11 juillet dernier.
En ces temps de déprime financière et de doutes sur l’avenir du marché immobilier, l’obtention d’un crédit immobilier n’est pas simple. C’est encore plus compliqué pour décrocher un prêt relais. Pourtant cette avance consentie par les banques est souvent indispensable pour les ménages qui veulent acheter un nouveau bien avant de vendre celui qu’ils occupent.
Des exigences plus poussées « Le prêt relais est dans la ligne de mire des banques », assène Christophe Crémer, président de Meilleurtaux. Car pour un banquier, les risques ne sont pas les mêmes. Dans le cas d’un prêt immobilier, il s’agit surtout d’évaluer la solvabilité à long terme de l’emprunteur. Dans le cas d’un prêt relais, le remboursement dépend de la revente rapide et dans de bonnes conditions du bien de l’acheteur. Or les incertitudes qui planent sur le marché immobilier n’incitent pas les banques à dire banco.
« Aujourd’hui, il faut souvent attendre six à huit mois pour conclure une vente, poursuit Christophe Crémer. Pour les banques, c’est une échéance qui limite la visibilité sur l’évolution des prix ». Conséquence : les établissements financiers tentent de se couvrir. « Il y a encore un an, les prêts relais correspondaient à 70 ou 80% de la valeur estimée du bien à vendre. Aujourd’hui, les proportions ont diminué de 10 points, entre 60 et 70% ». Un autre moyen de limiter les risques consiste à obtenir l’évaluation la plus pointue de la valeur du bien, « par exemple celle d’un notaire ou d’un expert en immobilier, ce qui ne se voyait pas il y a un an, lorsqu’un courrier d’un ou deux agents immobiliers suffisait ».
Situations délicates Du reste, la prudence, voire le refus des banques doivent aussi alerter les candidats à ce type de financement. Car le risque de voir une vente s’éterniser ou de devoir baisser son prix existe bel et bien. « Certains biens connaissent davantage de difficultés. Typiquement, c’est une maison d’environ 300 000 euros en Province, par exemple à Rouen ou Dijon » constate Christophe Crémer. « Et pour l’instant, beaucoup de vendeurs ne sont pas prêt à baisser leur prix ». Ce qui conduit parfois à des situations très délicates, comme ces acheteurs qui ont dû revendre le bien nouvellement acquis pour retourner vivre dans le logement qu’ils n’ont pas réussi à céder à un prix trop élevé.
Dans d’autres secteurs comme Paris, même si les prix ne baissent pas, les incertitudes sur l’avenir du marché pourraient rallonger les délais de transactions. Pour éviter les ennuis, mieux vaut donc estimer très précisément la valeur de son bien, en restant réaliste. On peut également choisir de renoncer au crédit relais. Deux options dans ce cas : vendre et passer par la case location avant un nouvel achat, ce qui peut se révéler également onéreux, ou bien signer un compromis de vente prévoyant un délai d’au moins six mois avant passage devant le notaire. En ces temps délicats pour tous les acteurs du marché, une telle faveur devient plus négociable.