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Citation :Depuis le début de l'année, les panneaux fleurissent aux balcons et fenêtres du centre-ville, incitant le badaud à penser que tout est à vendre...
« Ce n'est pas le cas. Mais il est vrai que beaucoup de ces panneaux sont gris car ils sont là depuis longtemps : les délais de vente se sont beaucoup allongés » note Marc Wyler (Swiss Med Immo).
Etrangers : seuls restent les Russes
C'est qu'il y a de moins en moins de clientèle face à une offre de plus en plus importante - la clientèle étrangère, qui a longtemps fait les beaux jours de l'immobilier dans le « centre sud » de Nice, fait aussi défaut.
« Les Anglais et les Irlandais se font très rares », constate Denise Alata (Helios Immobilier). Les premiers ont perdu du pouvoir d'achat suite à la survalorisation de l'euro par rapport à la livre. Anglais et Irlandais sont touchés par la crise immobilière qui a conduit à une dépréciation de leur patrimoine. Les Italiens ont disparu eux aussi, à part quelques achats de tous petits produits. Reste encore la clientèle des Russes avec des budgets compris entre 250 et 400 000 euros. »
Autres types d'acquéreurs qui se sont retrouvés ces derniers mois dans le centre-ville de Nice : « Les investisseurs locatifs à la recherche de petits produits, inférieurs aux 100 000 euros. Ces produits se vendent bien et même cher : à 4500 euros ou plus ! C'est parfois trop cher même par rapport à la qualité du produit », note Marc Wyler.
Denise Alata se montre moins enthousiaste : « Au vu du stock, important, des biens à louer, les loyers ont tendance à baisser pour se mettre en rapport avec les capacités financières des locataires azuréens. Donc, les investisseurs ne veulent pas dépasser les 3500 à 4000 euros/m² ce qui est loin des tarifs des résidences avec piscine et garage de l'ouest de Nice. »
La hausse des prix s'est arrêtée fin 2006
Autant de réalités et de difficultés d'un marché en net ralentissement que les propriétaires vendeurs semblent vouloir ignorer.
Ce n'est pas un hasard si le phénomène des panneaux gris a commencé dans le quartier des Musiciens. Entre 2004 et 2006, les prix de vente ont beaucoup augmenté en centre-ville, sous la pression de la clientèle étrangère notamment et les propriétaires ont mis leur bien en vente en comptant sur la poursuite de cette folle hausse. Mais le marché de l'immobilier azuréen a commencé à ralentir fin 2006 et la crise des subprimes a enfoncé le clou, stoppant la hausse des prix des ventes réalisées.
Néanmoins, la hausse des prix des logements mis en vente s'est poursuivie et a été d'autant plus forte que nombre de propriétaires du quartier des Musiciens semblent avoir fait la confusion avec les prix du Carré d'Or voisin (voir ci-dessous).
Estimé à 280 000€, mis en vente à 495 000€
« Un bien que j'avais estimé à 280 000 euros, a été mis en vente à... 495 000 euros ! Pour 67m² ! Soit 7300 euros/m² pour un appartement refait à neuf mais dans un immeuble banal de l'avenue Jean Médecin, avec une restauration rapide en rez-de-chaussée ! », raconte Pierre Cornez (Cabinet Victoire) avant de conclure : « Un propriétaire réellement vendeur peut se ménager une marge de discussion de 10 %, mais pas plus. Au-delà, on se trompe de cible et de clientèle. Les acquéreurs font des offres en moyenne de 5 %, voire 10 % supérieure si l'agent immobilier y pousse... »
Donc, un vendeur aujourd'hui n'a aucun intérêt à tenter une surévaluation de 20 % ou plus.
« D'une part, parce qu'un bien à la vente s'use vite. Même si le prix baisse ensuite, on lui préférera un bien mis tout de suite au juste prix », insiste Marc Wyler. Et puis, parce que les prix ont effectivement commencé à baisser par rapport à 2006.
« J'avais évalué à 800 000e fin 2007 un bel appartement en centre-ville, raconte Denise Alata. Le propriétaire l'a mis en vente à 950 000€. Il vient de le baisser à 800 000€, mais aujourd'hui, sa valeur c'est 750 000, peut-être 780.000€. »
Vous pensez bien que je ne suis pas d'accord. Comme chaque année à la même époque, les panneaux fleurissent. C'est déjà fini . A part encore un peu ceux de la Promenade des Anglais qui est une vitrine extraordinaire où les panneaux ont tendance à rester un peu trop longtemps accrochés même après la transaction....
Ceraines agences sont à vendre. Je suis d'accord. Mais comme elles se touchent, il faut bien que le va et vient se fasse. Je ne vois pas encore les prix baissés. Les notaires nous en diraient plus