****JavaScript based drop down DHTML menu generated by NavStudio. (OpenCube Inc. - http://www.opencube.com)****
ATTENTION : Le Forum
dUniversimmo
a migré sur une nouvelle
plate-forme, sécurisée, et à la pointe de ce
qui se fait en matière de forums de discussion. Pour
découvrir le nouveau Forum : cliquez
ici - découvrez aussi le "Portail"
de cette nouvelle plate-forme Petite contrainte dont nous vous demandons de ne pas nous tenir rigueur,
liée à notre souhait de nettoyer un fichier de membres
alourdi par le temps :
la nécessité, si vous étiez déjà
enregistré(e) dans lancien forum, de vous ré-enregistrer
sur le nouveau , si possible en conservant le même identifiant
(pseudo). Ce
forum est désormais fermé, mais il restera consultable
sans limite de durée à lurl : http://www.universimmo.com/forum Les
adresses et les liens que vous avez pu créer vers ses sujets
restent bien entendu totalement opérationnels.
Par contre tous les nouveaux sujets doivent être
créés sur la nouvelle plate-forme. Pour
toutes remarques, questions ou suggestions concernant cette migration,
nous vous proposons un sujet dans la section « A
propos de ce forum »
Bon surf
! Léquipe Universimmo
Il est recommandé pour apprécier le site d'avoir une résolution d'écran de 1024x768 (pixels/inch) ou Plus..
Un souci juridique ? Pensez à relire votre contrat d'assurance multirisques habitation. Une assistance juridique, voire une protection juridique est peut-être incluse dans votre contrat !
Merci. Je suis quand même un peu étonnné: On y parle de ralentissement de la hausse (ce qui signifie qu'il y a encore hausse, ce que je ne vois nulle part, on parle de Paris, mais je doute) et on dit que lorsqu'il y a baisse, elel es tinférieure à 5%.
Franchement pour avoir vendu deux biens ces quinze derniers mois, je ovis tout à fait autre chose, et de même pour avoir acheté aussi, je vois aussi autre chose, de la baisse partout, mais tout dépend bien entendu comment on calcule sans doute.
Autant dire que ce genre de littérature a mon avis ne colle pas au marché, pas plus que les statistiques des notiares ou la porse de la FNAIM.
Pas de spéculation et risques faibles pour les produits bien placés, voila ce que j'ai retenu. C'est un discours très rassurant. N'oublions pas que le Crédit Foncier est la pour vendre du crédit.
Ce décalage s'explique simplement. Un indice (prix) mesure les ventes réelles ... Lors d'un retournement de tendance brutal (chute des ventes), l'indice des prix n'intègre pas cette composante. ( c'est comme en bourse ...)
Les indicateurs "fiables" sont - à mon avis - :
- Evolution des volumes de vente (ancien) - Evolution de la durée des prêts relais - Evolution des délais de transaction - Evolution des mises en chantiers, des ventes dans le neuf
Pour illustrer mes propos, voici ce que l'on disait le 13/11/1990 dans Le monde : [Source : Archives Le Monde ]
Citation : Article publié le 13 Novembre 1990 Par DOYERE JOSEE Source : Taille de l'article : 750 mots
Extrait :
Ce n'est pas encore la stabilisation du prix moyen du mètre carré d'appartement parisien : au premier semestre de cette année, le prix moyen a augmenté de 9,5 % par rapport à celui enregistré au cours des six mois précédents, dépassant pour la première fois les 20 000 F. C'est encore moins un vrai retournement de conjoncture comme en connaissent actuellement Londres, Tokyo et même New-York, où les prix baissent. Pourtant, les signes avant-coureurs d'un réel ralentissement existent.
ou encore plus intéressant :
Citation :23/04/1992 Paris : le gel des transactions Le marché est bloqué. Les ventes sont en chute libre, mais les prix ne baissent pas vraiment.
« Paris ne s'est pas effondré. » Les professionnels de l'immobilier ne l'avouent pas, mais ils poussent un « ouf » de soulagement : la récession du logement parisien est sans commune mesure avec la crise qui sévit dans les pays anglo-saxons ou au Japon. Certes, les temps sont durs mais les prix n'ont pas chuté de façon vertigineuse. Tant pis pour les ménages qui espéraient dénicher dans la capitale l'appartement de leur rêve pour une bouchée de pain ! L'élément caractéristique de cette « crise molle » (la formule est des experts du Crédit foncier de France) : le gel des transactions.
J'aime bien la « crise molle » de 1992 ... qui devient en 2007/2008 l'« atterrissage en douceur »
Pas de spéculation et risques faibles pour les produits bien placés, voila ce que j'ai retenu. C'est un discours très rassurant. N'oublions pas que le Crédit Foncier est la pour vendre du crédit.
d'accord avec Scorpion et ...Ankou: l'absence de spéculation et le risque faible pour les produits bien placés est une berceuse chantée par le crédit Foncier qui vend du crédit.
Mais j'ajouterais que le crédit foncier veut peut êre aussi conserver la valeur des biens qui garantissent leur créances.
Les professionnels de l'immo qui prétendaient qu'il n'y aurait pas de baisse nous ont menti.