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Citation : Les agences constatent depuis l'été une baisse du nombre de transactions et un réajustement des prix.
À son tour, l'immobilier de luxe commence à souffrir de la crise. Jusque-là épargné, ce micromarché, dont la clientèle est essentiellement internationale, pâtit de la récession qui frappe l'Europe et les États-Unis.
« Jusqu'à fin septembre, ce marché était très dynamique, constate Thibault de Saint-Vincent, président de Barnes France. Depuis une dizaine de jours, la situation a changé. La crise financière a marqué la fin d'une époque. » Faute d'obtention de prêts immobiliers, l'agence a été confrontée à sept désistements. Il s'agit de familles françaises qui achetaient dans les beaux quartiers de Paris des biens d'une valeur de 3 à 4 millions d'euros. « Il y a moins de transactions. La plupart des affaires que nous signons aujourd'hui avaient déjà été engagées », renchérit Émile Garcin, qui dirige les agences du même nom. Certains acheteurs, qui ont renoncé à vendre leur portefeuille boursier, se voient également contraints de reporter leur acquisition. Ou choisissent, au contraire, de mettre en vente leur bien. Depuis un mois, les agences ne cessent ainsi de rentrer de nouveaux mandats. Même les étrangers, qui ont contribué à la flambée des prix, se montrent plus prudents. « Désormais, les achats des Russes sont beaucoup plus raisonnés », commente Thibault de Saint-Vincent.
Citation : Les agences constatent depuis l'été une baisse du nombre de transactions et un réajustement des prix.
À son tour, l'immobilier de luxe commence à souffrir de la crise. Jusque-là épargné, ce micromarché, dont la clientèle est essentiellement internationale, pâtit de la récession qui frappe l'Europe et les États-Unis.
« Jusqu'à fin septembre, ce marché était très dynamique, constate Thibault de Saint-Vincent, président de Barnes France. Depuis une dizaine de jours, la situation a changé. La crise financière a marqué la fin d'une époque. » Faute d'obtention de prêts immobiliers, l'agence a été confrontée à sept désistements. Il s'agit de familles françaises qui achetaient dans les beaux quartiers de Paris des biens d'une valeur de 3 à 4 millions d'euros. « Il y a moins de transactions. La plupart des affaires que nous signons aujourd'hui avaient déjà été engagées », renchérit Émile Garcin, qui dirige les agences du même nom. Certains acheteurs, qui ont renoncé à vendre leur portefeuille boursier, se voient également contraints de reporter leur acquisition. Ou choisissent, au contraire, de mettre en vente leur bien. Depuis un mois, les agences ne cessent ainsi de rentrer de nouveaux mandats. Même les étrangers, qui ont contribué à la flambée des prix, se montrent plus prudents. « Désormais, les achats des Russes sont beaucoup plus raisonnés », commente Thibault de Saint-Vincent.
Encore un mythe qui tombe ...
C'est plutôt une réalité qui tient compte de la crise financière.
Aucun rapport avec une pseudo baisse de l'immobilier fantasmagorique, dont l'origine serait un nuage de fumée aperçu depuis Montmorency.