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Immobilier : le marché locatif rattrapé par la crise.
Chute des prix, baisse des transactions, gonflement des stocks de logements neufs, le retournement de l'immobilier est d'une extrême brutalité. Même le marché locatif est touché, démontre Capital dans son numéro "Spécial Immobilier" actuellement en kiosque.
La flambée des loyers qui s’en était emparé entre 2004 et 2007 (+ 16,4 % de hausse en trois ans) n'est plus qu’un lointain souvenir. L'heure est en effet à l’accalmie, comme le révèlent les derniers chiffres de l’Observatoire CLAMEUR * - un organisme regroupant les principaux acteurs du secteur, UNPI, CNAB, Foncia, Century 21...
Selon cette étude qui porte sur échantillon représentatif de 32 500 baux signés dans 976 communes de France, les loyers n’ont progressé que de 0,2 % entre le premier trimestre 2008 et le premier trimestre 2009, contre 1,5 % l’an dernier aux mêmes périodes. Ils ont même baissé dans près de 44 % des villes, comme, par exemple, à Besançon (-6%), Saint-Etienne (-4,1%) ou Gap (-5,6%).
Principale raison de ce coup d’arrêt : les niveaux atteints, en particulier à Paris et dans les métropoles régionales, excédent largement les capacités financières des ménages. « Avec la crise économique et la faible augmentation de leur pouvoir d’achat, la majorité des locataires préfèrent rester dans les murs du logement qu’ils occupent plutôt que d’opter pour une nouvelle location » constate l’économiste Michel Mouillart, auteur du rapport. À l’entendre, l’année 2009 devrait s’achever sur une légère hausse des loyers de 0,5 % à 1 % par rapport à l’an dernier. Pour autant, dans certaines villes, la tendance est clairement à la baisse. C'est ce que montre notre tableau qui détaille les loyers par type de biens dans cinquante villes de France.
Frédéric Gazeau
* Connaître les Loyers et Analyser les Marchés sur les Espaces Urbains et Ruraux.
L'ambiance doit être bien triste dans les agences immobilières pour sabrer du Perrier à la vue d'une hausse pharamineuse de 0,2 % des loyers alors que dans 44 villes françaises la baisse est nettement plus prononcée. Baisse de 4 à 6 % selon l'article.
Continuez comme cela FFIP. Vous faites rire la galerie.
Ramer dans le sens du courant a toujours fait rire les crocodiles (proverbe africain).
Et puis vous n'avez toujours pas compris comment fonctionne une agence immobilière. Plus les prix baisseront - en vente ou en location - plus elles travailleront.
Votre credo (ou devrais-je parler de dogme): les prix vont baisser de 50 %, les agences vont se casser la figure à 90 % - comporte deux prédictions incompatibles.
L'ambiance doit être bien triste dans les agences immobilières pour sabrer du Perrier à la vue d'une hausse pharamineuse de 0,2 % des loyers alors que dans 44 villes françaises la baisse est nettement plus prononcée. Baisse de 4 à 6 % selon l'article.
Continuez comme cela FFIP. Vous faites rire la galerie.
Citation :Immobilier Toulouse, location Face à la baisse des prix de l’immobilier à Toulouse, de nombreux vendeurs préfèrent avoir recours à la location. Avec plus de 18.000 nouveaux habitants qui arrivent chaque année dans l’agglomération toulousaine, la demande en logement est forte. Et si le nombre de ventes immobilières a chuté de 25% en 2008, le secteur de la location est pour sa part très dynamique. En un an, le prix des loyers à Toulouse a augmenté de 1.3%. Le moyen prix d’une location avoisine les 11.85€/m² ce qui représente une rentabilité brute de 5.2%.Depuis le début de l’année, les professionnels assistent à l’émergence d’un nouveau groupe d’acheteurs : les investisseurs. Ces derniers profitent de la baisse des prix pour investir majoritairement dans des appartements en centre ville ou dans les quartiers bien desservis par les transports en commun.
Votre super livret d'épargne va avoir du mal à rivaliser, vous n'auriez pas dû vendre votre gourbi "Nul n'est prophète en son pays"