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gregor
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 21 Posté - 21 mai 2011 :  17:58:20  Lien direct vers cette réponse  Voir le profil
Ribouldingue
citation:
Notez encore que si vous avez deux biens en location meublée dans deux communes différentes, vous feriez bien, si toutefois vous les avez correctement déclarés par la PO initiale (déclaration de l'établissement principal) puis des déclarations d'établissements secondaires normalement obligatoires, de déclarer la cessation d'activité de votre établissement lors de la vente, éventuellement le transfert de votre établissement principal a un autre endroit si c'est celui-la que vous avez vendu, précisément pour ne pas payer la taxe pro a l'endroit qui a été vendu....
Donc ce n'est pas quelque chose qu'il faut négliger.




citation:
C'est l'exploitant qui est immatriculé et non pas le logement

Ce n'est pas rigoureusement exact, bien que correct grosso modo.

Si l'exploitant exploite plusieurs biens dans la même commune, OK.

Si il exploite des biens aditionnels dans des communes différentes, il DOIT les déclarer en établissements secondaires, et va obtenir pour cela des SIRET additionnels, certes déclinés depuis le premier (Racine commune, les cinq derniers chiffres divergent).



Pour le BIC ce ne sont pas les établissements qui sont contribuables mais l'exploitant et de ce fait il n'est pas possible de cumuler plusieurs régimes fiscaux que ce soit LMP et LMNP ou micro bic et réel.
En ce qui concerne les taxes c'est évidemment différent, elles sont attachées à l'établissement

Édité par - gregor le 21 mai 2011 18:07:47


ribouldingue
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Revenir en haut de la page 22 Posté - 21 mai 2011 :  18:15:00  Lien direct vers cette réponse  Voir le profil
Je ne comprends pas ce que vous racontezcar vous vous accrochez a votre point de vue.


Imaginez que Sandrine ne soit pas en infraction: Elle a un siret.

Elle déclare son arret d'activité. Est-ce interdit?
Puis elle déclare une nouvelle activité avec un nouveau SIRET. Est-ce interdit?

Que peut dire le fisc?

gregor
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Revenir en haut de la page 23 Posté - 21 mai 2011 :  19:13:25  Lien direct vers cette réponse  Voir le profil
citation:
Initialement posté par ribouldingue

Je ne comprends pas ce que vous racontezcar vous vous accrochez a votre point de vue.


Imaginez que Sandrine ne soit pas en infraction: Elle a un siret.

Elle déclare son arret d'activité. Est-ce interdit?
Puis elle déclare une nouvelle activité avec un nouveau SIRET. Est-ce interdit?

Que peut dire le fisc?


Elle peut reprendre son activité mais pour le fisc il n'y aura qu'un seul régime. Elle cumulera la somme de ses résultats par immeubles dans la case destinée à cet effet, que ce soit le micro bic ou le réel simplifié.
Le bénéfice du micro l'empêche de percevoir des revenus BIC qui ne soient pas comptabilisés pour le calcul du plafond.
Le plafond micro bic concerne toutes les recettes des locations meublées.

Il s'agit d'une seule activité sous un seul code APE. Le régime fiscal dépend du chiffre d'affaires de l'exploitant et non pas du chiffre d'affaires de chaque établissement.

Édité par - gregor le 21 mai 2011 19:59:07

ribouldingue
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Revenir en haut de la page 24 Posté - 22 mai 2011 :  07:40:12  Lien direct vers cette réponse  Voir le profil
Elle déclare son arret d'activité. Est-ce interdit?

ribouldingue
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Revenir en haut de la page 25 Posté - 22 mai 2011 :  08:00:14  Lien direct vers cette réponse  Voir le profil
Instuction fiscale 4 G2-99, régime icro-bic; On s'intéresse aux manières de calculer les euils:

citation:
A. LES OPERATIONS A RETENIR




4.Le chiffre d'affaires à comparer aux limites mentionnées au n° 2., appréciées s'il y a lieu dans les conditions prévues au n° 3., comprend l'ensemble des opérations que les contribuables concernés réalisent annuellement avec les tiers dans l'exercice de l'activité normale et courante de leurs établissements, que ceux-ci forment ou non une même entreprise (sur ce point, cf. nos 7. à 9.).

Cette définition n'englobe pas les subventions ou indemnités3, quelle qu'en soit la nature, les produits financiers, les prestations en espèces allouées par le régime d'assurance-maladie des travailleurs non-salariés des professions non agricoles et les recettes à caractère exceptionnel telles que le produit de la cession des immobilisations affectées à l'exploitation (fonds de commerce, matériels, etc.). Il en est de même des redevances pour concession de brevets ou de procédés de fabrication industriels lorsqu'il ne s'agit pas de l'activité principale de l'entreprise.

5.Les recettes à prendre en considération sont normalement celles qui correspondent aux créances acquises retenues dans les conditions prévues à l'article 38-2 bis. Toutefois, à condition de procéder de la même manière tous les ans, il est admis de prendre en compte les recettes effectivement perçues. Dans ce cas, les comptes de tiers seront régularisés au moment de l'entrée ou de la sortie du régime.

6.Enfin, il est rappelé que, pour l'application des régimes d'imposition, le chiffre d'affaires des intermédiaires qui agissent en leur nom propre est déterminé compte tenu du montant total des transactions dans lesquelles ils s'entremettent.




B. CAS PARTICULIERS







I. Pluralité d'entreprises ou d'activités




Lorsqu'une même personne physique exploite plusieurs entreprises ou exerce plusieurs activités, il convient d'appliquer les règles suivantes :

1. Pluralité d'entreprises commerciales
7.Conformément au a du 2 de l'article 50-0, lorsqu'un contribuable exploite personnellement plusieurs entreprises commerciales, le chiffre d'affaires à comparer aux limites définies au n° 2., appréciées, s'il y a lieu, dans les conditions prévues au n° 3., s'entend du montant de son chiffre d'affaires global annuel réalisé dans l'ensemble de ses entreprises, que celles-ci forment ou non des entreprises distinctes 4.

8.Pour l'application de cette règle, il convient de considérer isolément la situation de chacun des membres du foyer fiscal. Ainsi, lorsque chacun des deux époux exploite un fonds de commerce qui constitue un bien propre, il n'y a pas lieu de globaliser les chiffres d'affaires provenant de l'exploitation de ces fonds pour apprécier si le régime des micro-entreprises leur est applicable.

Dans l'hypothèse inverse où chacun des deux époux détient des droits indivis sur un fonds de commerce, ce dernier doit être regardé comme étant exploité en société de fait si les critères d'existence d'une telle société sont réunis (cf. DB 4 F 1224) ou, dans le cas contraire, en indivision. Or, dès lors que les sociétés ou organismes soumis au régime fiscal des sociétés de personnes, notamment les sociétés de fait et les indivisions, ne peuvent pas, en principe, bénéficier du régime des micro-entreprises (cf. n° 23.), le résultat provenant de l'exploitation d'un tel fonds doit être déterminé selon un régime réel d'imposition. Par dérogation à cette règle, il est admis qu'un fonds de commerce indivis entre deux époux puisse, pour l'application du régime des micro-entreprises, être réputé exploité personnellement par celui des deux époux qui est immatriculé au registre du commerce et des sociétés ou au répertoire des métiers à raison de ce fonds ; l'époux concerné peut donc bénéficier du régime des micro-entreprises pour le fonds en cause si son chiffre d'affaires global annuel réalisé dans ce fonds 5 et dans les fonds qu'il détient en nom propre, n'excède pas les limites déjà citées. Si les deux époux sont personnellement immatriculés pour le fonds concerné, cette dérogation n'est pas applicable. Dans ce dernier cas, le résultat provenant du fonds indivis doit être déterminé selon un régime réel d'imposition et le chiffre d'affaires retiré de ce fonds n'est pas pris en compte pour le calcul du chiffre d'affaires annuel global réalisé par chacun des deux époux au titre de leurs fonds détenus en nom propre.

Donc vous avez raison, le CA est aggloméré.

Avouez quand même que c'est mieux pour la discussion quand on apporte une justification légale.

Édité par - ribouldingue le 22 mai 2011 08:02:46

Sandrine
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Revenir en haut de la page 26 Posté - 23 mai 2011 :  21:26:33  Lien direct vers cette réponse  Voir le profil
Bonsoir Ribouldingue et Gregor,

Merci pour cette belle discussion.
Donc, si je comprends bien, je ne peux pas commencer ma nouvelle activité au réel si ma 1ère, même terminée, est en microbic.
Bon, vu les calculs où j'ai simulé les 2 cas de figure, ce n'est pas si gênant.

Par contre, j'ai quand même une question qui reste, plus par curiosité que par besoin.
Comment ai-je fait pour me retrouver en infraction en microbic ? Je suppose qu'il doit y avoir des tas de loueurs en microbic qui sont dans ma situation.
Vu que je remplis bien les cases sur ma déclaration indiquant que je suis LMNP microbic, pourquoi la taxe pro (ou son successeur) n'est-elle pas calculée automatiquement si j'en suis redevable ?

ribouldingue
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Revenir en haut de la page 27 Posté - 24 mai 2011 :  20:19:52  Lien direct vers cette réponse  Voir le profil
Non, vous ne pouvez pas ou alors il faut que ca commence l'année suivante.


En microbic quasiment tout le monde est en infraction.
la taxe pro ne peut etre calculée que pour uen entreprise, fut elle personelle, régulièrement enregistrée, donc ayant un SIRET.
Il est obligatoire de s'enregistrer mais il est tres difficile pour quelqu'un de voir que vous ne l'etes pas quand on déclarez en micro.

gregor
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Revenir en haut de la page 28 Posté - 24 mai 2011 :  20:24:54  Lien direct vers cette réponse  Voir le profil
citation:
Initialement posté par Sandrine

Bonsoir Ribouldingue et Gregor,

Merci pour cette belle discussion.
Donc, si je comprends bien, je ne peux pas commencer ma nouvelle activité au réel si ma 1ère, même terminée, est en microbic.
Bon, vu les calculs où j'ai simulé les 2 cas de figure, ce n'est pas si gênant.

Par contre, j'ai quand même une question qui reste, plus par curiosité que par besoin.
Comment ai-je fait pour me retrouver en infraction en microbic ? Je suppose qu'il doit y avoir des tas de loueurs en microbic qui sont dans ma situation.
Vu que je remplis bien les cases sur ma déclaration indiquant que je suis LMNP microbic, pourquoi la taxe pro (ou son successeur) n'est-elle pas calculée automatiquement si j'en suis redevable ?



C'est la déclaration au Centre de Formalités des Entreprises, pour les loueurs de meublés aux impots qui vous attribue un numéro siret et qui lance l'établissement de la taxe pro. Vous déclarez vos recettes sur votre 2042 dans la bonne case et votre imposition est établie mais il n'y a rien pour la taxe pro sur cette déclaration.
Si vous déclariez par internet vous auriez pu avoir un souci car le numéro siret est demandé.
L'IRPP et la nouvelle taxe pro (CET) étant gérés par des services différents, vous êtes passée entre les mails du filet.
Ce n'est qu'à l'occasion de votre changement de régime fiscal que le pot aux roses sera découvert si personne ne s'intéresse à votre dossier avant

Édité par - gregor le 24 mai 2011 20:27:48

Sandrine
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Revenir en haut de la page 29 Posté - 26 mai 2011 :  20:30:53  Lien direct vers cette réponse  Voir le profil
Bonsoir,

citation:
Si vous déclariez par internet vous auriez pu avoir un souci car le numéro siret est demandé.


Heu... non, je ne crois pas puisque je déclare par internet depuis le début, enfin depuis qu'on peut déclarer sur internet.
C'est exactement, comme sur papier.

Sandrine
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Revenir en haut de la page 30 Posté - 07 juin 2011 :  21:05:52  Lien direct vers cette réponse  Voir le profil
Bonjour,

Je remonte cette discussion car j'ai une nouvelle question.

Ribouldingue, ça fait plusieurs fois que je vous vois écrire quelque chose du genre "heureux ceux qui commencent en janvier" et "malheureux ceux qui commencent en décembre".

Ca m'interpelle car il est probable que je démarre en fin d'année.

Outre :
- le fait d'être dispensé de la taxe pro la 1ère année
- le fait de se farcir une compta complexe pour 1 mois d'activité

Y a t-il autre chose ?
J'ai peur d'avoir raté quelque chose, aussi, si vous pouviez m'éclairer ...

Merci d'avance.
:)

ribouldingue
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Revenir en haut de la page 31 Posté - 07 juin 2011 :  21:11:34  Lien direct vers cette réponse  Voir le profil
Non, c'est juste que vous êtes exonéré de taxe pro (enfin de la succession) pendant un mois alors que vous pourriez l'etre pendant un an.

Sandrine
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Revenir en haut de la page 32 Posté - 07 juin 2011 :  21:57:40  Lien direct vers cette réponse  Voir le profil
Merci beaucoup !
Me voilà rassurée.
: )

Sandrine
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Revenir en haut de la page 33 Posté - 26 juin 2011 :  21:22:14  Lien direct vers cette réponse  Voir le profil
Bonjour,

Je remonte le post car je viens juste de signer une promesse de vente.
Finalement, je n'ai pas acheté l'appartement prévu (le particulier qui me le vendait était très pénible et voulait une partie en liquide...) mais un autre.
De nouvelles questions se posent ...

Cette fois-ci, je passe par une agence et il y a donc une commission d'agence (15KE).

Vous m'avez expliqué que je ne pouvais pas avoir la même année du microbic et du réel. Je passerais donc au réel sur 2012 et je serais donc obligé d'amortir les FDN au lieu de les déduire en une fois.

Quid de la commission d'agence ? Je suppose que c'est la même chose (amortissement donc perte de 15%) mais j'aimerais une confirmation.

De plus, l'appartement étant plus cher, je prends un crédit. Qu'est-ce que je fais des frais de dossier et de la caution logement ? Je les perds ?je les amortis ?

Sinon, Ribouldingue, je vous ai vu plusieurs fois conseiller à des personnes qui avaient dépassé la date limite de déclaration au réel (février de mémoire) de tenter le coup auprès des impôts.
Dans mon cas, pensez-vous que si je vais voir les impôts et que je leur explique ma situation, ils pourraient m'autoriser à passer au réel (je serai alors au réel sur les 2 appartements dès 2011 dont celui que je viens de vendre) ?

Merci d'avance pour votre aide.

PS : sinon, avez-vous un guide, un livre à me conseiller, je ne cherche pas (pour l'instant) un guide qui m'explique case par case ce qu'il faut faire au niveau de la déclaration mais plutôt qui réponde à des questions d'ordre général du même type que celles que je viens de poser. J'ai aussi en stock des questions sur le régime foncier classique (locations vide) car vu le montant des travaux qu'il m'attend (35KE), je me demande si ça ne vaut pas le coup de commencer à le louer en vide pour défiscaliser.
Je sais pas pourquoi mais je sens que vous allez me répondre que ça n'existe pas et qu'il faut se palucher des tonnes de guides très détaillés avant de pouvoir y parvenir.

ribouldingue
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Revenir en haut de la page 34 Posté - 27 juin 2011 :  07:32:03  Lien direct vers cette réponse  Voir le profil
citation:
il y a donc une commission d'agence (15KE).

.../... Je suppose que c'est la même chose (amortissement donc perte de 15%) mais j'aimerais une confirmation.
Dans la plupart des cas la question ne se pose pas puisque c'est le vendeur qui la paye et donc pour vous elle est incluse dans le prix d'achat.
Si vous avez préféré pour des raisons évidentes les faire mettre à votre charge, ce sont des frais de recherche, qui sont alors payés par vous mais traitables comme des frais d'acquisition.

Sinon, en effet, elle fait partie des frais d'acquisition de l'actif, assimilables a celui-ci (OPTION A) ou déductibles (OPTION B).

En pratique, quand vous déclarez votre actif, et que vous exercez cette option A, le cout de revient de l'immeuble se compose du cout d'achat, plus des couts de vos aller retour sur place, plus des couts d'expertise, de frais d'agence, de frais de mutation, des frais d'emprunt, ...

C'est cet ensemble que vous décomposez en y mettant 15% de côté non amortissable, représentatifs du terrain, puis le reste comme dit dans d'autres fils.

citation:
De plus, l'appartement étant plus cher, je prends un crédit. Qu'est-ce que je fais des frais de dossier et de la caution logement ? Je les perds ?je les amortis ?
Vous les assimilez et ils se retrouvent donc amortissables.
Pour les frais de la caution logement, je ne sais pas répondre de facon précise.
Il me semble qu'il y a une somme perdue qu'on peut traiter en frais d'acquisition, et une partie remboursable, qu'il doit falloir traiter comme un dépot de garantie.

citation:
Sinon, Ribouldingue, je vous ai vu plusieurs fois conseiller à des personnes qui avaient dépassé la date limite de déclaration au réel (février de mémoire) de tenter le coup auprès des impôts.
Dans mon cas, pensez-vous que si je vais voir les impôts et que je leur explique ma situation, ils pourraient m'autoriser à passer au réel (je serai alors au réel sur les 2 appartements dès 2011 dont celui que je viens de vendre) ?
Je ne connais pas les réactions des impots donc je suis incapable de vous répondre.

J'ai tendance à penser qu'on vcous aceuillera rarement avec une hache aiguisée et des flèches au curare, donc il faut toujours tenter sa chance.



citation:
avez-vous un guide, un livre à me conseiller, je ne cherche pas (pour l'instant) un guide qui m'explique case par case ce qu'il faut faire au niveau de la déclaration mais plutôt qui réponde à des questions d'ordre général du même type que celles que je viens de poser.
Sur ce type de question, il y a 250 questions sur le LMP d'un expert comptable, mais il est souvent dificile a comprendre, et je ne sais pas si il a fait évoluer son texte a la lumière des (nombreuses) modifications législatives de ces deux dernières anées.


Édité par - ribouldingue le 27 juin 2011 07:40:16

Sandrine
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Revenir en haut de la page 35 Posté - 27 juin 2011 :  23:05:21  Lien direct vers cette réponse  Voir le profil
Bonour Ribouldingue,

Merci pour votre réponse.

citation:
Dans la plupart des cas la question ne se pose pas puisque c'est le vendeur qui la paye et donc pour vous elle est incluse dans le prix d'achat.


Je ne savais même pas que ça pouvait être dans ce sens. Dans mon cas, c'est bien moi qui les paye, ce qui me semble évident pour avoir moins de FDN.
Dans le cas où les impôts acceptent que je passe en réel dès 2011 (vous vous souvenez, je viens de vendre un appart qui était en microbic), je pourrais les déduire. Sinon, je les amortirais en perdant 15%.

citation:
Pour les frais de la caution logement, je ne sais pas répondre de facon précise.
Il me semble qu'il y a une somme perdue qu'on peut traiter en frais d'acquisition, et une partie remboursable, qu'il doit falloir traiter comme un dépot de garantie
.

Je prends le crédit à la Caisse d'Epargne, leur caution logement est spécifique. Elle ne coûte pas très cher mais il n'y a aucun remboursement à la fin du prêt.
Donc, la logique voudrait que soit je l'assimile, soit que je la déduise. C'est bien ça ?

citation:
Je ne connais pas les réactions des impots donc je suis incapable de vous répondre.
J'ai tendance à penser qu'on vcous aceuillera rarement avec une hache aiguisée et des flèches au curare, donc il faut toujours tenter sa chance.


Je vais tenter le coup.
Par contre, concrétèement, à quel service des impôts je dois m'adresser ? A mon centre des impôts en tant que particulier ?

citation:
Sur ce type de question, il y a 250 questions sur le LMP d'un expert comptable, mais il est souvent dificile a comprendre, et je ne sais pas si il a fait évoluer son texte a la lumière des (nombreuses) modifications législatives de ces deux dernières anées.


LMP ? heu moi c'est plutôt LMNP. Ce guide pourra répondre à mes interrogations de LMNP ?

Merci à vous.
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