****JavaScript based drop down DHTML menu generated by NavStudio. (OpenCube Inc. - http://www.opencube.com)****
ATTENTION : Le Forum
dUniversimmo
a migré sur une nouvelle
plate-forme, sécurisée, et à la pointe de ce
qui se fait en matière de forums de discussion. Pour
découvrir le nouveau Forum : cliquez
ici - découvrez aussi le "Portail"
de cette nouvelle plate-forme Petite contrainte dont nous vous demandons de ne pas nous tenir rigueur,
liée à notre souhait de nettoyer un fichier de membres
alourdi par le temps :
la nécessité, si vous étiez déjà
enregistré(e) dans lancien forum, de vous ré-enregistrer
sur le nouveau , si possible en conservant le même identifiant
(pseudo). Ce
forum est désormais fermé, mais il restera consultable
sans limite de durée à lurl : http://www.universimmo.com/forum Les
adresses et les liens que vous avez pu créer vers ses sujets
restent bien entendu totalement opérationnels.
Par contre tous les nouveaux sujets doivent être
créés sur la nouvelle plate-forme. Pour
toutes remarques, questions ou suggestions concernant cette migration,
nous vous proposons un sujet dans la section « A
propos de ce forum »
Bon surf
! Léquipe Universimmo
Il est recommandé pour apprécier le site d'avoir une résolution d'écran de 1024x768 (pixels/inch) ou Plus..
Est-il possible de modifier le sens d'un acte authentique, 5 ans après, avec un simple courrier de l'ancien propriétaire reconnaissant qu'il y a une erreur? (l'art. 1341 du CC peut il s'appliquer?) C'est à dire l'oubli de grever de servitude une parcelle permettant à d'autres utilisateurs d'utiliser un chemin qui les interressent. Sachant, qu'ils ont un autre accès et que l'ancien propriétaire atteste aujourd'hui que ce n'est pas lui qui avait fait la lettre reconnaissant une erreur car il n'est pas d'accord. (Il n'y a pas eu de modification sur l'acte du nouveau propriétaire du chemin ni aux hypothèques et pas non plus, à ma connaissance, sur les actes des utilisateurs concernés par cette "erreur")
Un acte authentique ne peut être utilement modifié que par un autre autre acte authentique, lui même publié.
Cette observation ne concerne bien entendu que les actes pouvant être modifiés. D'autre part une modification n'est possible que sous réserve des droits des tiers et des incidences fiscales éventuelles.
Deux parties engagées par un acte authentique peuvent convenir de tenir compte d'un oubli ou d'une erreur, pour ce qui est de leurs rapports personnels. Cet engagement est inopposable aux tiers et les héritiers eux mêmes n'y sont pas forcément tenus.
Merci, cela confirme bien ce que je pensais. L'art 1341 du Code civil peut il s'appliquer dans ce cas? Quels sont les articles qui protègent la propriété privée des troubles de jouissance (comme l'art 8.1 de la convention des droits de l'Homme)"toute personne à droit au respect de sa vie privée, de son domicile..."
La substance de vos deux messages laisse à penser que vous êtes confronté à un problème complexe, qu’il n’est possible d’éclairer qu‘avec l’ensemble du dossier en mains.
Aussi, pour mieux cerner ce dossier et en faire valoir les éléments eu égard à son importance, je vous suggère de recueillir la contribution formelle d’un juriste établi.
La jurisprudence de l’article 1341, que vous évoquez, et des articles suivants du Code Civil sur la preuve testimoniale est abondante. La définition générique de l’acte authentique – titre de votre sujet – est donnée par l‘article 1317 de ce même code.
L'article 544 du Code civil définit le droit de propriété et constitue la base de sa protection mais, selon la nature des atteintes portées à ce droit, il existe d'autres dispositions qui peuvent être appliquées.
Quant à la force de l'acte authentique, elle est affirmée par l'article 1319 du Code civil. Et l'article 1321 énonce ce que j'ai indiqué aupravant : les contre-lettres ne peuvent avoir leur effet qu'entre les parties contractantes; elles n'ont point d'effet contre les tiers.
Mais les tiers peuvent les invoquer sous certaines réserves et dans certains cas.