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FBO
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121
Posté - 07 janv. 2015 : 13:12:31
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citation: Initialement posté par Gédehem NB : et l'ARC-SO (Bordeaux)... C'est de l'AGRC-SO dont il s'agit (Asso Girondine des responsables de copropropriété - Sud-Ouest), fondée en 1994 ou 95 (au départ avec des "anciens" de l'ANCC), qui couvre le 1/4 sud-ouest de la France (ou presque). Association indépendante comme il en existe bien d'autres.
Je crois qu'avant sur le site de l'association c'Ă©tait effectivement "AGRC-SO" qui apparaissait. Mais lĂ c'est bien ARC-SO... |
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FBO
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122
Posté - 07 janv. 2015 : 13:30:59
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citation: Initialement posté par Sunbird
Le problème n'est pas Paris et les autres. A partir du moment qu'on est deux surtout dans les associations, l'un essaie d'imposer ses idées à l'autre.
Ce qui m'ennuie personnellement, c'est la moralité associative dans tout ça ? Les associations régionales profitaient de le la renommée de l'ARC pour se faire connaître. Mais cette renommée s'est également faite grâce aux associations régionales, qui ont couvert la majeure partie du territoire national en dehors de l'Ile-de-France. Donc au final c'était donnant-donnant, en fonction des capacités de développement et financières de chacun. Toutes les associations ne sont pas forcément dans un bassin où il y a assez de copropriétés pour avoir 1 salarié par exemple. L'ARC critique les associations régionales de ne pas participer aux actions nationales : mais comment le pourraient-elles sans être, déjà , à Paris ? De plus elles n'ont pas les mêmes moyens pour obtenir les informations, travailler dessus, tenir un site avec les actualités... c'est un travail quasiment impossible en région, vu le temps requis. Et de toute façon l'ARC ne partage pas ses informations pour permettre aux associations régionales de travailler de leur côté. Si seulement ça avait été le cas, mais même pas.
Donc quelle est la morale ? Où est la moralité et les principes associatifs ? Normalement les associations doivent s'aider entre elles, sans y chercher de profit, en s'apportant les unes les autres leur aide selon leurs capacités. Là , l'ARC a proposé aux associations régionales de se fédérer moyennant une cotisation par adhérent. C'est une charge supplémentaire pour les associations, alors qu'elles participent déjà à la renommée de l'ARC dans leur région. Et la méthode ? Imposer ça de force, sans concertation préalable... où est le côté associatif ? Comment prôner l'associatif quand on est capable de faire cela en interne, envers les associations qui tournent autour de soi et qui nous servent depuis des années ? Car l'ARC veut gagner de l'argent venant des associations régionales, alors qu'elle a déjà 3 à 3,5 millions d'euros de recettes. Et si les associations régionales employant des salariés refusent de se fédérer auprès de l'ARC, il y a un risque non négligeable pour ces emplois car risque d'érosion des adhérents. On risque de sacrifier des associations pour une qui n'a pas besoin d'une partie de leurs recettes pour vivre convenablement. Il faudra rapprocher cela de ce que coûtera le départ en retraite du "DG" dans peu de temps, pour voir si cela en vaut la chandelle.
Mais tout ce remue-ménage est-il issu d'une concertation du CA avec la Direction de l'ARC (DG, directeur-adjoint futur DG...) ? Il semblerait que non... Est-ce que le Président du CA depuis juin, M. Jean-Claude BOUILLET, sera en capacité de faire face aux résistances de ses salariés directeurs, salariés qui les suivraient, et aux associations régionales qui contestent ce qui leur est imposé / proposé ? A voir s'il restera après la prochaine AG de l'association... Le DG-fondateur partant en retraite dans à priori 3 mois, ce dernier prendra-t-il la place de Président du CA ou sera-t-il au moins membre du CA après son départ ? L'évolution sera intéressante à suivre, car les associations ont déjà jusqu'au 31 de ce mois pour faire savoir si elles accepteraient les conditions proposées par l'ARC. Pendant ce temps-là , il apparaît toujours sur le site que l'ARC serait membre de l'UNARC, ce qui est faux puisqu'elle n'en fait plus partie depuis fin novembre. L'ARC avait annoncé qu'il ne serait plus fait mention d'appartenance à l'UNARC d'ici le 31 décembre 2014, échéance donc non respectée. Mais évidemment les lecteurs du site poseraient des questions... |
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ALH14U
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123
Posté - 11 janv. 2015 : 20:57:03
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Merci pour cette information et ce lien, Je n’ai pas reçu de PV ni d’information sur ce décompte qui reste donc pour moi « officieux » alors que j’étais candidat comme copropriétaire individuel. Des personnes m’ont indiquées spontanément qu’il y a eu des pouvoirs non utilisés, je ne sais ci cela est vrai, ni pour quels collèges, ces affirmations qui ont circulées par ailleurs n’ont pas été démenties à ce jour. Adhérent depuis 10 ans de l’ARC c’est la première fois que j’allais à une AG de l’ARC j’ai bien et je conseille à chacun de prendre la température de son association à laquelle on adhére en allant à l’AG.
Trois constatations qui souhaitent être constructives 1 / Aucune raison finalement d’être adhérent individuel s’il n’y a qu’un seul poste sur 12 et aucune commission ad hoc pour la malheureuse élue un peu seule, pour représenter les non membres de conseils syndicaux qui sont l’immense majorité des personnes posant les problèmes de gestion. 2 / Du à mon avis à la représentation au conseil d’administration Les articles de la revue et services rendus s’adressent manifestement de plus en plus aux représentants des copropriétés malgré le fait qu’ils soient payés par l’ensemble des copropriétaires, ce qui me semble anormal,
3 / Quand on consulte le conseiller juridique en fait comme simple adhérent il prendra l’avis des conseillers syndicaux, ce que j’ai pu découvrir à mes dépends, si les conseillers syndicaux ne dénoncent rien l’adhésion comme individuel et la consultation ne servira à rien, je l’ai observé à de multiples occasions que j’ai par ailleurs relaté sur le forum, exemple malheureusement actuellement en cours dans notre syndicat : Contestation honoraires avocat auprès bâtonnier http://universimmo.com/forum_univer...PIC_ID=15274
Par exemple, les rapports, audits financiers de l’ARC peuvent être également dissimulés par les membres des conseils syndicaux à l’ensemble des copropriétaires en étant pas joint en annexe de la convocation d’AG. Le syndic ne les communique pas non plus puisque ce sont les documents du conseil syndical,…. Ceci est connu et l’ARC devrait à ce sujet condamner les membres des conseils syndicaux quand ils connaissent les préjudices liés à cette rétention d’information, compromission, complicité avec une gestion défaillante du mandataire ! Rien n’est proposé par le conseil syndical devant certaines dépenses anormales constatées ou devant certains faits signalés, absence de compte séparé.
3 / En regardant les postes et la composition du composition il est clair que les objectifs, services, risque de concerner principalement les syndics bénévoles 4 membres dont le président et les représentants de conseils syndicaux 7 (dont 5 Présidents), en cela la prise de distances de certaines associations régionales orientées vers l’accueil et la défense du copropriétaire « de base » est compréhensible, salutaire et logique. On ne peut dans une entreprise faire l’amalgame et dans une association défendre ou conseiller pareillement le patron, le dirigeant et l’employé, et donc pour l’ARC « parisienne » avoir des syndics adhérents sur représentés fusent ils bénévoles et leur cotisation payée par l’ensemble des copropriétaires.
Pour construire une association au service des copropriétaires il faudra sans doute augmenter significativement leur nombre, et il n’est pas anodin que certaines associations ex ARC ou UNARC préfèrent le terme régionale à représentant,… en s’apercevant tout à tout coup des conflits d’intérêts réels apparaissant dans de nombreux syndicats entre ces différentes catégories de copropriétaires,… L’organisation avec un syndic bénévole n’est pas à mon avis une solution intéressante, à long terme (sauf exceptions très petite copropriété, individu réellement désintéressé et doté de connaissances juridiques et travaux) mais plutôt une régression et une aventure parfois tragique pour certaines copropriétés,…
Ces points et faits devraient alimenter la réflexion globale des adhérents avant adhésion aussi bien des associations régionales que des professionnels (qui ont des difficultés a gérer des préjudices individuels de certains copropriétaires) car nous avons tous besoin en ces temps très difficiles d’un état des lieux sincère et non biaisé pour avancer,
Le débat pour régler intelligemment les conflits et dysfonctionnements en copropriété,... ne fait que commencer et c'est une bonne chose le debaat actuel |
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FBO
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124
Posté - 12 janv. 2015 : 01:16:56
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Il ne faut surtout pas perdre de vue qu'il s'agit d'une association "des responsables" de copropriété... donc elle ne s'adresse pas à la base aux individuels. Cela doit rester "marginal". D'où les changements statuaires concernant la représentation au sein du CA. C'est oublier un peu que de nombreux CS adhèrent suite à l'adhésion préalable d'un individuel, qui parle ensuite de l'association au CS, ou afin de pouvoir montrer en quoi l'association serait utile...
Donc, c'est logique. |
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JPM
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Posté - 12 janv. 2015 : 08:07:00
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Il faut aller au vrai cœur du problème, pour toutes les associations du même type :
1) Favoriser l'assistance aux CS en inscrivant cette question à l'ordre du jour des assemblées sans besoin d'une loi ou d'un décret
2) Quand c'est une association qui est choisie, l'assemblée décide l'adhésion et le financement et délègue du président du CS les rapports avec l'association, y compris la représentation à son assemblée
3) Dans ce cadre voir ce qu'il en est de la qualification des associations dans le domaine juridique et dans le domaine comptable. La transparence doit jouer. Les plaquettes de présentation doivent présenter les spécialistes et justifier de leur qualification.
4) Le contrat de syndic doit tenir compte de cette organisation et notamment comporter l'accord du syndic pour l'intervention d'un spécialiste de l'association lors du contrôle annuel.
Il faut veiller Ă ce que les techniciens des association ne jouent pas Ă Zorro. Les rapports avec les syndics doivent ĂŞtre corrects de part et d'autre
On arrive ainsi à la copropriété sereine
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Sunbird
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126
Posté - 12 janv. 2015 : 09:49:28
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citation: Initialement posté par ALH14U
Par exemple, les rapports, audits financiers de l’ARC peuvent être également dissimulés par les membres des conseils syndicaux à l’ensemble des copropriétaires en étant pas joint en annexe de la convocation d’AG. Le syndic ne les communique pas non plus puisque ce sont les documents du conseil syndical,…. Ceci est connu et l’ARC devrait à ce sujet condamner les membres des conseils syndicaux quand ils connaissent les préjudices liés à cette rétention d’information, compromission, complicité avec une gestion défaillante du mandataire ! Rien n’est proposé par le conseil syndical devant certaines dépenses anormales constatées ou devant certains faits signalés, absence de compte séparé.
Ce que vous dénoncez est un problème de conseil syndical. A partir du moment que des fonds sont engagés, et qu'il y a un rapport, les CS devraient joindre ce rapport avec une résolution à l'ODJ.
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soupledur
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127
Posté - 12 janv. 2015 : 14:30:54
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L'U.N.P.I. et la chambre nationale des propriétaires, alliés et unis longtemps, sont maintenant divisés : A chacun son pré carré ? L'arc ile de France et les arcs régionaux sont peut être entr'ain de faire la même erreur. Lamentables exemples de l'ego de présidents ou de dirigeants parisiens inaptes à comprendre que la situation et les évoloutions actuelles dans le domaine de la coprpriété exigent l'union. Les ministres et leurs équipes, qui ne font que passer , rient de nos divisions et du peu de poids( relatif ) que nous représentons les uns et les autres en pourcentage de copropriétaires. Hélas, le bon sens serait il devenu ringard ? SOUPLEDUR
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GĂ©dehem
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128
Posté - 12 janv. 2015 : 14:53:15
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JPM : "Il faut veiller Ă ce que les techniciens des association ne jouent pas Ă Zorro."
On est là au cœur du problème, qui ne tient pas aux seuls "techniciens" mais au positionnement même de ces associations. - Soit elles tentent d'être "au dessus de la mélée" pour traiter des problèmes, petits ou grands, mais dans une vision globale sans parti pris ou position idéologique partisane (mais sans complaisance pour autant, avec un fil conducteur !). - Soit elles sont "chevalier blanc", sorte de "syndicat" qui n'a que la revendication et la contestation quasi systématique à mettre en avant, tout ou presque étant sujet à polémique.
Si l'association s'affiche au départ "ces syndics, tous des pourris", l'affaire est très mal engagée, quand bien même le syndic dont il s'agit serait un marchand de tapis de bas étage.....
Concernant l'ARC ou des associations de ce type, c'est une évidence qu'il y a "fracture" entre celle "Paris/Ile de France" et celles départementales ou régionales. Cela tient à la concentration des "clients" potentiels, inscrits dans un périmetre restreint dans la "capitale". sur 6 Km², combien de syndicats à Paris, à Amiens, à Saint-Etienne ???? Concentration des "clients" (donc des €€€, il ne faut pas l'oublier)à laquelle s'ajoute la concentration des "décideurs" !
Pour prendre une autre association, la "Chambre des propriétaires" Paris-Ile de France a de fait le "bras plus long" pour ses contacts, et de ce fait plus de "poids", que l'UNPI Limousine ou de la Drome, lesquelles ont en plus potentiellement bien moins de "clients"...
C'est cette "fracture" que peut combler une Union d'associations, à condition qu'elle le soit sur des base solide et partagée, et non sur la seule volonté "du plus gros".
Pour résumer, l'ARC s'est fourvoyée dans un chemin non seulement mal pavé mais sans issue 'nationale'. |
Édité par - Gédehem le 12 janv. 2015 15:06:59 |
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Sunbird
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129
Posté - 12 janv. 2015 : 15:19:10
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Et que dire des associations lorsque le président est un ancien syndic ripoux...
Il y a de tout. Maintenant il est évident que des associations de copropriétaire qui sont sur Paris et petite couronne auront de fait plus d'adhérent du fait du nombre de copropriété. |
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JPM
Modérateur
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130
Posté - 12 janv. 2015 : 15:54:44
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Vous avez raison Gedehem.
Mais vous lâchez trop sur le problème de la compétence des associations.
A cet Ă©gard, la loi ALUR est silencieuse.
L'actualité nous montre chaque jour que le silence est trompeur.
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GĂ©dehem
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131
Posté - 12 janv. 2015 : 16:26:25
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Si nous entrons dans un débat sur la "compétence" des uns et des autres, nous y serons encore dans 10 ans !!
Que dire de la "compétence" des syndics, en général ???
La satisfaction de règles administratives (diplomes, assurance, etc ...) est-elle gage de "compétence" ??? A condition de pouvoir mettre des données objectives sur ce qui est un concept.
Le juge a répondu en parti à cette question : aux syndicats de mesurer cette "compétence" au moment de désigner à nouveau leur syndic.
Alors la "compétnce" des associations ..... |
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ALH14U
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132
Posté - 12 janv. 2015 : 19:43:46
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Vous dites syndic en général, englobez vous le syndic bénévole,
Un des problèmes soulevé par les collèges de l'ARC me semble avoir porter un syndic bénévole comme Président, qui éthiquement et fonctionnellement à mon avis ne devrait pas pouvoir représenter les copropriétaires ! Et il ne peut non plus discuter,.. sur la fonction de syndic,...
Trouvez la différence entre un notaire, un avocat, un médecin bénévole et un notaire, avocat et médecin salarié ou en libéral !
On est encore en France et pour en situation à mon avis très anormale et qui devrait sans doute ne pas tenir très longtemps,... bien que tout soit possible,... on le voit bien ailleurs !
Je suis stupéfait aussi et celà est en contradiction avec ce qu'écrivait plus haut un contributeur, ce que je pensais également, 62 votants (en France puisque là il s'agit d'un recrutement déjà national !) et représentés pour le collège même si aujourd'hui les associations ont du mal à faire des adhésions c'est ridiculement bas (1 personne sur 10 se fait représenté au minimum voir beaucoup plus) ! Alors que le vivier de Paris est là et qu'il y a des consultations ouvertes prévus dans l'adhésion !
Je comprend maintenant que les conseillers que l'on rencontre à l'ARC ne puisse pas faire grand chose, car d'une part il faut souvent pour le "raleur" de la copropriété, attaqué plus le syndicat, que son syndic,... L'attaque contre les syndics professionnels systématique de l'ARC me parait de ce fait également un miroir aux alouettes ! |
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soupledur
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133
Posté - 12 janv. 2015 : 20:24:56
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c'est la vielle querelle entre la qualification et la certification: la qualification étant d'un niveau très inférieur à la certification. Une entreprise ou une association qualifiée par un organisme certificateur a, en principe, les moyens humains et matériels pour travailler correctement, mais ce n'est pas pour cela que les clients sont satifaits de leurs prestations. Une entreprise certifiée a, non seulement les qualifications nécéssaires, mais paye aussi un organisme certificateur accrédité par le COFRAC (COMITÉ FRANÇAIS DE CERTIFICATION) qui la controle et la sanctionne en permanence, sur la base d'un référentiel officiel ou de normes Françaises ou internationales. Chaque entreprise ne peut être certifiée que si elle dispose de procédures permanentes et normalisées de controle adaptées au référentiel ou au normes qu'elle respecte. Des milliers d'entreprises et d'associations Françaises petites ou grandes sont certifiées. Les organismes de certification travaillent tous en appliquant les normes les concernant ,ils sont également controlés et sanctionnés en permanence par le Cofrac. Avec 15 ans d'avance l'arc avait misé sur la certification des syndics avec "QUALITÉ SYNDIC", ce fut un échec, la profession des syndics de copropriétés' étant alors incapable de respecter le référentiel pourtant basique qu'elle avait rédigé à l'époque, en présence des pouvoirs publics, de l'arc et des associations de consommateurs. MORALITÉ : Le premier qui dit la vérité il doit être assassiné SOUPLEDUR |
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GĂ©dehem
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134
Posté - 12 janv. 2015 : 21:19:28
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"la profession des syndics de copropriétés' étant alors incapable de respecter le référentiel "
Pas du tout : ceux certifiés répondaient au référentiel prévu. Sauf que répondre à une norme, un référentiel, n'est pas un gage de qualité de la prestation, d'une "compétence".
Disposer du personnel, de la structure, des diplômes, des procédures pour répondre aux critères définis n'a pas pour objet de définir une "compétence", une "qualité" dans la prestation.
Répondre à des normes, un référentiel, ne présume pas ensuite de la qualité de la prestation, qualité dont le syndicat sera seul juge. Pas un tiers, qui se contente comme le fait l'administration ou un organe certificateur de contrôler le respect des critères, normes et autres données imposées.
Chacun sait comment ce référentiel "Qualité syndic" a été détourné pour ne servir que d'argument de vente : " Je suis très bon puisque certifié "Qualité syndic". Ce qui n'a rien à voir avec une "bonté" ..... |
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JPM
Modérateur
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Posté - 13 janv. 2015 : 00:08:14
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Une bonne lecture pour la soirée : Professeur Claude Giverdon Observations sur la certification des services se rapportant aux activités de gestion assurée par les syndics de copropriété Loyers et copropriété mai 1996.
L'initiative est revenue en 1995 à l'UNARC, l'UFCS (Union féminine civique et sociale branche de l'institut de la consommation) et l'ANC. Le référentiel a été établi par Qualité-France.
M. Giverdon a fait la revue des inepties figurant dans le référentiel avec notamment des interprétations grossièrement erronées de la loi de 1965. Le professeur n'était pas tendre, il est vrai, pour le droit de la consommation, " parasite et destructeur qui remet en question les principes fondamentaux du droit civil ".
Sur ce point il serait comblé de nos jours en constatant que le syndicat des copropriétaires n'est pas un consommateur.
Mais attention : Claude Giverdon n'était pas tendre avec les syndics ! Il connaissait parfaitement "les pratiques répréhensibles auxquelles se livrent certains syndics" et la jurisprudence s'est fortement inspirée de ses travaux doctrinaux. A ce jour le principal traité de la copropriété est l'ouvrage de François Givord et Claude Giverdon actualisé , après leurs décès successifs par M. le Conseiller Capoulade.
Il est inexact d'écrire : " la profession des syndics de copropriétés' étant alors incapable de respecter le référentiel pourtant basique qu'elle avait rédigé à l'époque, en présence des pouvoirs publics, de l'arc et des associations de consommateurs. " Il y a eu une trentaine de syndics à faire une expérience qui a été stoppée à l'initiative de l'association. Celle ci prétendait que le certificateur ne sanctionnait pas les syndics mis en cause par des copropriétaires mécontents
Soupledur, vous ajoutez que c'est la vielle querelle entre la qualification et la certification: la qualification étant d'un niveau très inférieur à la certification.
Cette terminologie ne concerne pas les syndics qui exercent un mandat social de nature civile comme représentants légaux de syndicats de copropriétaires.
Il y a une présente tendance à les considérer comme des prestataires de services parce que des groupes financiers ont cru bonne la branche à raison du maniement et du placement des fonds de mandants détenus. Ils ont eu le concours des pouvoirs publics qui, depuis 1985 n'ont pas eu le courage de mettre à exécution effective le principe de la gestion par compte séparé énoncé dans la loi.
Il y a encore beaucoup à dire des difficultés de fonctionnement de certaines copropriétés. Il y aurait aussi beaucoup à dire de celles qui fonctionnent bien.
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GĂ©dehem
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136
Posté - 13 janv. 2015 : 01:01:09
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" Celle ci prétendait que le certificateur ne sanctionnait pas les syndics mis en cause par des copropriétaires mécontents " Mécontents que la certification, principalement avancée comme argument "de vente", n'était gage de rien 'en pratique', d'une bonne qualité de "prestation". C'était toute l'ambiguité du système, où le "mandant" est placé sous la quasi tutelle du mandataire social, libre de mettre en œuvre les pratiques qu'il veut !
Après avoir délivré sa certification, le certificateur ne va pas contrôler ce qui se passe en pratique dans les syndicats. Pas plus que ne le fait l'administration, qui 'distribue' les "cartes" sur critères, l'exercice qui en est fait ensuite échappant à son contrôle.
Dans un autre domaine que je connais bien, personne ne contrôle les pratiques des tuteurs, personnes morales ou physiques pourtant agréées, "certifiées". Ou si peu, histoire de remplir la case "administrative" du "dossier" (les personnes sous tutelle sont des "dossiers", comme le sont les enfants placés par les conseils généraux, ASE ex Ddass).
"des pouvoirs publics qui, depuis 1985 n'ont pas eu le courage de mettre à exécution effective le principe de la gestion par compte séparé énoncé dans la loi."
"Courage" est le mot qui convient, même si on peut y mettre un gros bémol s'agissant de la proximité de bien " des pouvoirs publics", dans les cabinets et/ou dans les Chambres. Que ce soit pour le compte séparé comme pour le fameux "contrat" du syndic", la "profession" n'en voulait pas, et a tout fait pour ne pas l'avoir, au besoin en inventant des résolutions bidons illicites que l'on voit encore de nos jours et pas que chez les "petits" ! On ferme une porte ici, on peut compter sur la "profession" pour passer par la fenêtre là .....
Et comme les copropriétaires sont à 85% dans l'incapacité d'apprécier la conformité des actes en principes passés dans l'intérêt du syndicat, on a fait le tour de la question sur le contrôle des bonnes pratiques, d'un référentiel qui n'est gage de rien du tout ...
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Posté - 13 janv. 2015 : 11:22:31
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Il n'est pas utile de se référer à des analyses d'arrière garde de juristes, certes éminents, mais dépassés par le fonctionnement des économies modernes fondées sur le marché, la consommation et l'entreprise. Qu'on le regrette ou non, là l'est pas la question.
La certification de produits ou de services est un formidable outil d'instauration de la confiance, et également de management interne de la qualité chez les prestataires, qui sont aujourd'hui des organisations complexes et plus des professionnels exerçant seuls ou avec quelques exécutan(e)s proches et sous leur contoôle. Qu'on le regrette ou non encore une fois.
Le problème concernant une certification comme "Qualité Syndic", que nous avons eu l'occasion de connaître de (très) près, c'est qu'elle permettait d'assurer un minimum de qualité dans la prestation du syndic, et non dans la gestion de la copropriété ! Pour une raison simple qu'on continue encore à sous-estimer : la qualité de gestion d'une copropriété telle qu'elle est ressentie par les copropriétaires (l'entretien de l'immeuble, les prestations délivrées aux résidants, le niveau des charges, l'adaptation de l'immeuble aux besoins nouveaux de confort ou de sécurité, etc.) ne dépend pas seulement du syndic mais de la "gouvernance" globale de la copropriété qui implique deux autres acteurs essentiels : le conseil syndical et l'assemblée des copropriétaires ! C'est ce qui explique que les syndics ont toujours des immeubles où ils sont appréciés et d'autres où ils sont vilipendés (d'où d'ailleurs le caractère trompeur des sondages auprès des copropriétaires sur la qualité de leur syndic...). Un syndic médiocre peut être rattrapé par un CS et une assemblée de qualité quand le meilleur syndic du monde ne pourra empêcher un immeuble de se dégrader...
C'est pourquoi la qualité du syndic est une chose, et elle peut être assurée par une certification, même si c'est un processus imparfait comme toutes les choes humaines, la qualité du syndicat des copropriétaires en est une autre : or c'est lui qui délivre la prestation aux copropriétaires et aux résidants ! |
Édité par - rédaction Universimmo le 13 janv. 2015 11:25:30 |
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GĂ©dehem
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Posté - 13 janv. 2015 : 11:52:28
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Bien que nous soyons loin du sujet "Arc/Unarc", 2 points me paraissent importants :
" Il n'est pas utile de se référer à des analyses d'arrière garde de juristes, certes éminents, mais dépassés par le fonctionnement des économies modernes fondées sur le marché, la consommation et l'entreprise."
En rester au "mandataire social" n'a plus aucun sens s'agissant de marché et d'entreprises commerciales.
"la qualité du syndic est une chose, (....), la qualité du syndicat des copropriétaires en est une autre : or c'est lui qui délivre la prestation aux copropriétaires et aux résidants !
Aussi longtemps que les copropriétaires, une majorité d'entre eux, se désinteresseront du fonctionnement de son syndicat, en s'en remettant les yeux fermés au syndic par confort, laxisme, démission, on aura les dérives et "éclats d'humeur" que nous constatons tous les jours .....
Et pour revenir au sujet , la nécessité d'associations chargées de les réveiller. Si "guerre" il doit y avoir, ce n'est pas "contre" les syndics, comme on peut hélas le voir parfois, ou souvent. C'est contre "l'obscurentisme" des copropriétaires, leur démission, qu'elles se doivent d'agir ... |
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Posté - 13 janv. 2015 : 14:00:40
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citation: Le problème concernant une certification comme "Qualité Syndic", que nous avons eu l'occasion de connaître de (très) près, c'est qu'elle permettait d'assurer un minimum de qualité dans la prestation du syndic, et non dans la gestion de la copropriété ! Personnellement je ne peux malheureusement pas m'abstraire de l'aspect marketing qui surgit derrière de prétendues certification.
Le but n'est-il pas plutôt d'arborer les deux mots ensemble qualité et syndic alors que si on l'avait nommé réferentiel2 ca n'aurait pas été sexy du tout.
la certification dans l'absolu est une excellente chose en ce qu'elle permet de vérifier la conformité à un REFERENTIEL
Un énorme problème commence lorsqu'on confond marque commerciale (Qualité syndic) et référentiel.
Mais l’exemple venant d'en haut, le français est coutumier du tour de passe passe, avec le Ministère du temps libre, le défendeur du droit (c'est le juge, le défenseur du droit, mais chez nous c'est juste un juge), l'hotel du département, la maison de la justice et du droit... Dans un post de 2014 je racontais comment j'ai eu affaire au service des Actions et Moyens de l'Etat. Le service n'avait plus aucun moyen pécuniaire, ce qui constituait pourtant une de ses 'actions' préférées, mais peu importe. |
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JPM
Modérateur
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140
Posté - 13 janv. 2015 : 16:17:50
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Il y a déjà un certain nombre de professionnels immobiliers certifiés ISO 90nn ! Loiselet-Daigremont notamment mais aussi Bedin, Fontenay et bien d'autres (à s'en tenir aux affirmations et affichages de logos)
Sur la certification des services il existe une étude de l'Asso Leo Lagrange qui avait beaucoup intéressé les spécialistes lors de sa publication (il y a une dizaine d'années je crois)
http://www.leolagrange-conso.org/pdf/etudecg.pdf
Son analyse relative à la notion de qualité des services est particulièrement fine et applicable mutatis mutandis aux syndicats de copropriétaires.
Elle pose aussi le problème de la certification des certificateurs et celui de la certification des associations de consommateurs.
Tout cela suscite bien des dubitations
Comme les qualités des spécialistes de la prévision économique et sociale qui avaient réservé leur court couvert pour l'après midi de dimanche dernier.
La top certification des banques ne les empêche pas de gérer certaines affaires d'une façon déplorable.
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