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C''est une étude sur l'investissement immobilier des TURCS dans la region d'ALSACE tiré d'un journal dont voici quelques portraits de reussite:............. Multi-propriétaires
25 % des Turcs d’Alsace investissent dans l’immobilier. Deux objectifs : se loger d’abord, arrondir les fins de mois ensuite.
Il y a moins de quinze jours, Murat Ötkem, 55 ans, a acheté une maison dans le centre-ville de Guebwiller. C’est sa troisième. Une bâtisse de trois étages, acquise pour 122 000 euros. « Mais il y a beaucoup de travaux à faire », précise l’ancien bûcheron.
En 1999, 25 % des ménages turcs d’Alsace, comme Murat, étaient propriétaires. En l’espace de vingt ans, l’accès à la propriété des Turcs s’est beaucoup développé. Ils n’étaient que 8 % en 1990 et 1,4 % en 1982. Les immigrés de la première génération n’avaient pas prévu d’investir dans l’immobilier. Lorsqu’il est arrivé en Alsace, il y a trente ans, Murat Ötkem comptait rester une dizaine d’années, gagner de l’argent et acheter des terrains à son retour en Turquie.
« A partir de la fin des années 80, j’ai compris qu’on ne repartirait plus. La vie de nos enfants est ici. » Murat Ötkem a donc acheté une première maison en 1987.
Construire ou rénover
Autre motif d’achat de biens immobiliers : dans les villages et les villes, la location dans les logements sociaux est difficile car le parc est limité. Et les grandes familles ne trouvent pas à se loger dans le parc privé. « Beaucoup de propriétaires ne veulent pas de Turcs. Pour ma sœur, on a cherché un appartement pendant six mois, avant de faire construire à Haguenau », témoigne Hasan Arti, 30 ans. « Les Turcs n’ont d’autre choix que de construire ou de rénover des bâtiments anciens, situés en centre-ville », déclare Murielle Maffessoli, directrice de l’Observatoire régional de l’intégration à la ville (Oriv).
Mais Hasan Arti ne s’est pas contenté de loger sa sœur. Ce chef d’entreprise dans le bâtiment et tout récent promoteur immobilier est propriétaire de onze appartements et deux bureaux, d’une valeur totale d’1,3 million d’euros.
La famille Öktem, elle, possède trois immeubles. Elle a eu recours à l’emprunt bancaire pour financer ses achats. Ses membres ont contracté des prêts d’un montant allant de 76 000 à 122 000 euros.
Main d’œuvre gratuite
La solidarité familiale et communautaire a tourné à plein pour financer et effectuer les travaux de rénovation. « Pendant huit mois, toute la communauté de la vallée s’est mobilisée pour venir nous aider », se souvient Mursel Ötkem. Il explique : « On a tout refait. Comme nous sommes nombreux à travailler dans le bâtiment, on bénéficie des prix de gros. Et surtout, on ne paie pas la main-d’œuvre, puisqu’on s’entraide. »
Même principe chez les Arti père et fils, qui, au fil des années, ont acheté trois maisons. « Grâce à la mobilisation de la communauté, on a économisé 70 % sur la main-d’œuvre et le matériel », évalue Hasan. Pour ces multi-propriétaires, l’objectif est double. Première priorité : loger la famille. « Dans ma maison, mes parents vivent au rez-de-chaussée et moi au premier étage », explique Mursel Ötkem. Le reste du patrimoine est mis en location pour arrondir les fins de mois. « Le revenu mensuel des loyers, 1 372 euros, me permet de rembourser mon emprunt qui s’élève à 686 euros par mois. Cela me fait un revenu supplémentaire », poursuit-il.
Quant à Hasan Arti, il compte abandonner le bâtiment et créer son agence immobilière.