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En raison d'un certain nombre de bourdes et de négligences, trop longues à rapporter ici, notre syndic s'est vu refuser son quitus lors de notre dernière AG (mars 2003). Ceci en attendant mieux: nous comptons changer de syndic en 2004, et sommes en train d'en choisir un nouveau.
En attendant, nous avons un problème, car le syndic...boude! Il ne répond ni aux mails ni aux coups de fil, et a mis plus de deux mois à nous communiquer le procès-verbal de l'AG. C'est fâcheux car de gros travaux ont été votés et doivent être engagés.
La porte d'entrée comporte un système vigik, et le code est désactivé. j'ai proposé à la dernière AG de programmer un code très long (20 chiffres ou plus). Le syndic devait s'en charger et n'a rien fait malgré deux relances de ma part.
Ma question est simple: comment faire pour obliger le syndic, pour la durée du mandat restant à courir, à faire son travail?
Les lettres R.A.R. sont la potion magique pour faire une purge aux récalcitrants. Ils savent très bien ce que cela veut dire du point de vue constat et la valeur légale en cas de poursuites ou de demande en responsabilité.
La copie de la lettre adressée à leur organisation syndicale, style FNAIM ou CNAB, est du meilleur effet pour les tenir au courant de ce que leur vaut d'avoir des administrés consciencieux de leurs droits.
Ne perdez pas votre temps en coups de fil et parlottes sans résultat. Le prix du recommandé, si vous êtes au Conseil syndical, peut vous être remboursé en tant que frais pour l'intérêt commun.
Si le syndic ne désire pas être renouvelé ou considère son refus de renouvellement inéluctable, il en fait le moins possible et il sera très difficile de le faire réagir. Les lettres recommandées s'enfouissent au plus profond des dossiers tout aussi bien que les autres papiers. Les carences dont il est fait mention sont contrariantes pour les copropriétaires mais ne sont pas d'une gravité telle que l'on puisse espérer les faire sanctionner par un tribunal. La valeur légale de tels courriers en l'occurence ne sert à rien.
Il ne faut pas se faire d'illusion sur les organisations professionnelles. Elles prennent plus volontiers la défense de leurs adhérents qu'elles ne font la police. Un courrier d'un copropriétaire mécontent est simplement retransmis au syndic adhérent avec l'invitation de régler au mieux le différend avec le client, rien de plus. Il faudrait une véritable avalanche de courriers faisant état de fait graves, et non de simples négligences ou lenteurs à agir, pour que le syndicat professionnel du syndic s'en préoccupe.
En revanche de nombreux appels téléphoniques peuvent être très désagréables et il est souvent très utile de faire un peu de harcèlement. Autre possibilité si on peut trouver le temps pour le faire : entrer dans les bureaux du syndic et refuser d'en sortir tant qu'on aura pas obtenu satisfaction.