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Ankou
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3265 réponses |
Posté - 10 janv. 2006 : 21:17:55
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Alors? "valeur nominale actuelle" veut dire en euros constants ou courants?
C'est un peu différent sur 10 ans!
Je donne donc rendez-vous dans 10 ans pour vérifier qui a raison .... une troisième solution, certainement
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Prados
Pilier de forums
3625 réponses |
Posté - 10 janv. 2006 : 21:41:13
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Ankou,
Si l'on suit cette décision de la cour de cassation, http://www.courdecassation.fr/_rapport/rapport04/jurisprud/droit_immobilier/Baux/clause.htm où il est dit: Citation : L'arrêt rapporté a permis à la troisième chambre de préciser les termes de la comparaison en répondant à une question nouvelle : la comparaison doit-elle se faire par rapport à la valeur nominale de loyers restant à courir ou à leur valeur actualisée, même si ce mécanisme d'actualisation n'a pas été prévu par le contrat ?
Je pencherais donc pour retenir valeur nominale = valeur à fin 2005, c'est à dire sans prendre en compte l'inflation, puisqu'il n'y a pas d'actualisation...
Qu'en pensez-vous?
Prados |
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Ankou
Pilier de forums
3265 réponses |
Posté - 10 janv. 2006 : 22:17:45
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Il faut se poser la question suivant un texte venant d'un chef économiste ayant pignon sur rue, étiquette Exane BNP Paribas.
Je ne vois pas pourquoi je penserais qu'il utilise la langue de bois, mais enfin!
En liaison avec votre mention, il semble évident que ce soit en euros constants, donc du 50% de chute réelle.
Par contre je suis surpris qu'il utilise un tel langage, suffisamment flou pour se retrancher derrière si les choses venaient à mal tourner. Et il utilise la durée de 10 ans, volontairement ou non? pour faciliter le "rattrapage" de l'erreur.
Parce que son intérêt est de privilégier le marché action, et donc le transfert des liquidités de l'immo vers les actions, non?
Alors? vérité ou intox? préméditation ou imprécision?
Et enfin, il y a ceci: http://www.immobilier-bulle-krach.com/article-891483-6.html
D'où ma réaction, on se revoit ds 10 ans, ce sera la troisième voie |
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quelboulot
Modérateur
6445 réponses |
Posté - 10 janv. 2006 : 23:04:17
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Prados,
Faut-il avoir une foi absolue dans les prédictions, aussi floues et lointaines, d'un banquier
Ou sera-t-il dans 10 ans ce Monsieur ?
Et si tous les banquiers disaient vrai cela se saurait, non ?
Mais lui, peut-être, pourquoi pas, selon quels critères d'appréciation etc... Et pourquoi "En achetant aujourd'hui, il doit être conscient que la valeur nette réelle de celui-ci pourrait être de seulement 50 à 60% de sa valeur nominale actuelle à cette échéance." et pas 60 à 70% ou encore 40 à 50%
C'est un pari sur une moyenne de quoi, de quels types de biens...
Désolé mais combien vont encore nous sortir ce genre d'annonces qui reposent sur QUOI à part se faire une ""p'tite pub" perso.
Enfin, il utilise le conditionnel "pourraient être", donc il prend moins de risques que les astrologues qui fleurissent en chaque début d'année dans la presse, ce qui ne les empêche pas d'ailleurs de recommencer chaque année.
Christophe |
Edité par - quelboulot le 10 janv. 2006 23:05:55 |
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Pégase
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3665 réponses |
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asi77
Pilier de forums
911 réponses |
Posté - 13 janv. 2006 : 14:30:59
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si si quelques commentaires !
Citation : Pour 2006 la FNAIM table sur un nombre de transactions encore nettement au dessus des 600.000 et une hausse des prix de 6%...
Je ne vois pas comment en plein ralentissement avec en T4 2005 (-1.1% sur la France / tous biens [source FNAIM]), on pourra avoir +6% en 2006 ... A si, je sais : peut être en gardant l'indice trompeur de la moyenne glissante ... !!!! mais ce n'est pas sûr !
--> La FNAIM devra rendre des comptes pour avoir utiliser un indice trompeur sur l'état du marché !
Citation : Les autres peuvent se permettre de payer plus cher puisqu'en grande majorité ils vendent un bien pour en acheter un autre, finançant ainsi la hausse du bien acheté avec la plus-value du bien vendu !
--> J'aime beaucoup "Les autres" (sous entendu ceux qui ne sont pas primo accédant). A noter que "les autres" ont surement des difficultés à acheter car même avec une + value, le bien convoité est encore + cher. A choisir, le propriétaire (de sa résidence principale) aurait surement préféré une hausse de 2% par an ... plutôt que de se faire une méga + value ! |
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timothé
Contributeur débutant
12 réponses |
Posté - 13 janv. 2006 : 14:43:24
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Merci Pégase pour ce lien. L'article est en effet, très intéressant et presque évident : bon sang, mais c'est bien vrai !!!
Trève de plaisanterie, il permet d'y voir plus clair et de comprendre plus aisément des phénomènes qui pouvaient paraître surprenant jusque là. J'invite tout les baissiers obscurantistes et obstinés à le lire.
Encore merci. N'hésitez pas à afficher les liens des articles que vous repérer. |
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quelboulot
Modérateur
6445 réponses |
Posté - 13 janv. 2006 : 15:01:23
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Pégase,
Je veux bien, mais je trouve q'Universimmo a des sujets quelques peu "vaseux" en ce début 2006. Sont-ils la conséquence d'agapes festives de fin 2005 non totalement "récupérées"!
Entre celui que vous citez et qui vient d'être mis en ligne
http://www.universimmo.com/actu/uniactu00x.asp?Article_Code=434
et celui précédent... http://www.universimmo.com/actu/uniactu00x.asp?Article_Code=433
Je ne suis guère convaincu.
Citation : http://www.universimmo.com/actu/uniactu00x.asp?Article_Code=434 ... On relève ainsi qu’en 2004, la part des ouvriers et des employés parmi les accédants à la propriété était de 33,8%, contre 40,4% en 1999. A contrario, les cadres supérieurs/professions libérales et les professions intermédiaires représentaient à elles deux 61,2% en 2004, contre 46,4% en 1999. La hausse des prix a également pénalisé les agriculteurs et les commerçants. De 6,7% en 1999, ils ne sont plus que 2 % à acheter en 2004. Quant aux inactifs et aux retraités, ils sont deux fois moins nombreux à acquérir un bien immobilier en 2004 qu’en 1999, à 3% seulement contre 6,5% auparavant ! ...
Je commence à adorer le "professeur Moulinsart" dit Tournesol, ou plutôt le professeur Nimbus, ou encore le "professeur Mouillart" que l'on retrouve à chaque détour d'une publication quelle qu'elle soit en ces jours-ci !!!
Mais bon, il faut toutefois admettre qu'entre 1999 et 2004 il y a eu quelques changements dans notre société française et que la part des "ouvriers" et "employés" a été celle qui a le plus souffert des délocalisations d'entreprises ainsi que du blocage de la hausse des salaires conséquence directe des 35 heures qui d'ici peu d'ailleurs vont n'exister plus que pour les fonctionnaires si cela continue au rythme actuel de remise en cause des accords d'entreprise avec un "chantage" qui ne se déguise même plus !!!
Quant aux "agriculteurs" français, de combien ont-ils diminué en pourcentage d'actifs dans ces cinq années ? et la PAC, si bienveillante soit-elle à leur égard, n'ira pas en s'améliorant à leur profit.
Pour les retraités et inactifs, une fois qu'ils ont pour certains investis en vue d'assurer des revenus pour leur retraite, et éventuellement revendu ces derniers temps en raison des plus values aguichantes, pourquoi investiraient-ils encore.
Enfin, ces belles statistiques sont-elles "corrigées" des variations saisonnières et prennent-elles en compte, et sous qu'elles formes, les variations du nombre de transactions entre 1999 et 2004 ?
Enfin, j'apprécie toujours d'entendre deux au moins et même plusieurs sons de cloche, or, toujours dans la dernière mise en ligne d'Universimmo : Citation : L'Observatoire des marchés de l'ancien, alimenté à partir des transactions des quelque 10.000 adhérents de la FNAIM (Fédération nationale de l'immobilier), n'affiche toujours pas de baisse des prix (+10,3% en 2005) ni de baisse significative des transactions (625.000 pour la France entière, soit très près du plus haut absolu de 2002) ; cet Observatoire, réalisé par l'unité d'études statistiques du professeur Michel Mouillart, de l'Université Paris X Nanterre, est la principale base statistique instantanée sur le marché immobilier résidentiel, l'INSEE publiant un indice en partenariat avec les notaires, mais avec deux trimestres de retard ; ses valeurs concordent en général assez bien avec les chiffres publiés par la FNAIM.
Citation : Et de fait, l'Observatoire du financement du logement, autre "Observatoire" opéré par le même professeur Mouillart, révèle que depuis 1998 les revenus des acquéreurs immobiliers se sont accrus en moyenne de 6% par an alors que ceux de l'ensemble des français n'ont augmenté que de moitié moins...
Alors, MOUILLART, oui... mais bon, point trop n'en faut, et s'il advienne qu'il décède brutalement... vive la crise
(entre nous, je souhaite longue vie à l'intéressé, il ne m'intéresse pas plus que cela au demeurant!!!)
je ne crois pas plus a ces "prédictions" qu'à celles des "baissiers de tous poils"
Christophe |
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quelboulot
Modérateur
6445 réponses |
Posté - 13 janv. 2006 : 15:03:06
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Timothé,
Pour celui-là d'article, il sufffisait de consulter la première page d'Universimmo.
Christophe |
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timothé
Contributeur débutant
12 réponses |
Posté - 13 janv. 2006 : 16:12:23
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Merci pour le tuyeau Quelboulot
il est vrai que je ne passe pas ma vie sur ce site ... |
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vttdechaine
Pilier de forums
2262 réponses |
Posté - 13 janv. 2006 : 16:33:51
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Citation : Autre phénomène expliquant la capacité d'absorption du marché : le recul de la part des primo-accédants , les seuls qui en fait subissent de plein fouet les effets de la hausse des prix, et plus encore dans les villes chères, là où les niveaux de prix sont élevés !
C'est marrant que ça ne l'inquiète pas plus que ça des primo accédents en baisse. Ca signifie surtout qu'il n'y a plus de "sang neuf" dans le réseau des proprio. Si personne n'achète au premier rang, personne ne vendra. Je rejoins Christophe mais c'est vrai que nous avons connu le même type de fleurissement d'articles avec une seule annonce du PAP. La encore nous n'avons toujours qu'un même son de cloche : celui de la FNAIM dont les chiffres sont quelque peu... faux ? Je pense que le mieux est d'attendre les chiffres "indiscutables" des notaires par exemple (chiffres prévues pour mars me semble-t-il non ?). Je trouve curieux des propos aussi flou que le nombre de transactions : Citation : 625.000 pour la France entière, soit très près du plus haut absolu de 2002
sans donner le chiffres de 2002 alors que les autres chiffres ont des virgules. Quelqu'un a-t-il le nombre de transactions de 2002 ? Au final, j'ai énormément de mal a penser que les français ont complétement changé d'état d'esprit si vite. Je serais tenté de dire du jour au lendemain. En 1996, ils ne veulent pas investir dans la pierre (ils sont bêtes et dédaignent complétement leur avenir...) et 4 ans plus tard, ils ont envie de se construire un patrimoine, un avenir radieux fait d'argent et de fleurs . Ils sont devenu intelligents ! Aaahhh ben oui, avant ils n'avaient pas d'argent et ils étaient idiot et en 4 ans l'état d'esprit des français s'est complétement transformé avec leur porte monnaie. C'est si simple ! Et en plus c'est une étude des grands observatoires de sociologie : FNAIM et Century 21. Je ne comprend pas que l'on puisse prendre des éléments pareilles au sérieux. Au regard des grandes périodes de dépression que nous avojns traversé au cours des 40 dernières années, je pense que si les français avaient la possibilité ET l'état d'esprit ils seraient devenu proprio en 1973 alors que le chomage était REELLEMENT bas. J'ai une vague impression que l'on voudrait faire croire que les actifs achètent des logements (en plus du leur) pour s'assurer une rente pour leur vieux jours. Mais n'y a-t-il que l'immobilier pour investir pour sa retraite ? Posez la question à votre banquier et surfez un peu sur le net. J'ai l'impression que "Moulinsard-FNAIM-C.21" tire ses dernières cartouches et évoque cette fois-ci des éléments aussi abstrait (et donc invérifiable) que l'état d'esprit des français.
Expliquez moi, messieurs les haussiers, la méthode de calcul de la FNAIM sur les augmentations des prix des logements ? Quel est l'intérêt de la calculer de cette façon ?
Mais je n'attends même pas de réponse comme pour 80% de mes questions dans ce domaine
Marty |
Edité par - vttdechaine le 13 janv. 2006 16:54:22 |
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Prados
Pilier de forums
3625 réponses |
Posté - 13 janv. 2006 : 20:35:57
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Probablement la meilleure analyse en ce début d'année: http://www.lemoniteur-expert.com/depeches/depeche.asp?id=D8FCD447A&acces=6 Citation : "Boule de cristal" par Françoise Vaysse
Baisseront ? Baisseront pas? Les affirmations du directeur général du groupe de presse "de particulier à particulier", selon lesquelles les prix de l'immobilier allaient baisser de 30 à 40% dans les cinq ans à venir", ont relancé les supputations sur l'évolution du marché du logement. Depuis ces déclarations, les professionnels de l'immobilier montent au créneau pour s'inscrire en faux contre cette prévision: s'ils concèdent un ralentissement de la hausse des prix en 2005, ils jurent la main sur le cœur qu'aucune baisse n'interviendra cette année. Et ils affirment qu'en 2006, les prix devraient encore augmenter de 10%, selon Century 21 (un des grands réseaux d'agents immobiliers) ou de 6 à 7%, si l'on en croit la FNAIM. Pour mémoire, ils ont doublé entre 1998 et 2004. On comprend leur attitude: s'il est conditionné par des facteurs bassement économiques, le marché immobilier comporte aussi une grande part de psychologique. Et si les acheteurs se mettent dans l'idée que les prix vont baisser, ils vont se mettre en position d'attente et la machine risque de se gripper! Pourtant des clignotants s'allument: par exemple, au quatrième trimestre, les prix de l'ancien ont reculé de 1,1%. Mais la FNAIM assure que l'on a déjà assisté à ce phénomène l'an passé. On voit aussi les biens et les régions les plus chères plafonner…Mais on assiste à une profonde mutation du marché, sur lequel les catégories socio-professionnelles les mieux nanties sont désormais de plus en plus présentes, au détriment des ménages modestes. Souvent, elles nourrissent la hausse en revendant cher un premier bien en leur possession pour en racheter - tout aussi cher - un second. Plutôt que de consulter sa boule de cristal, peut-être faut-il s'adresser à d'autres experts…à des économistes plurisectoriels, par exemple, comme ceux de LCL – Le Crédit Lyonnais qui estiment "qu'on se rapproche d'un haut de cycle". Si tel était le cas, deux possibilités seraient alors ouvertes: soit une stagnation des prix à haut niveau, soit une baisse. Reste à savoir, alors, si la baisse serait lente ou brusque... autrement dit, en ces temps de neige, si l'on est sur une piste verte ou sur une piste noire.
Françoise Vaysse est chef du service Economie-Entreprises du Moniteur
Enfin, la conclusion: Citation : Reste à savoir, alors, si la baisse serait lente ou brusque... autrement dit, en ces temps de neige, si l'on est sur une piste verte ou sur une piste noire.
Une piste, qu'elle soit verte ou noire, c'est bien dans les 2 cas.... une descente.
Prados |
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Ankou
Pilier de forums
3265 réponses |
Posté - 13 janv. 2006 : 20:56:17
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Citation : Initialement entré par vttdechaine .......Mais n'y a-t-il que l'immobilier pour investir pour sa retraite ? Posez la question à votre banquier et surfez un peu sur le net........ Expliquez moi, messieurs les haussiers, la méthode de calcul de la FNAIM sur les augmentations des prix des logements ? Quel est l'intérêt de la calculer de cette façon ?.....
Désolé, je ne suis pas haussier, mais juste une remarque concernant la question à poser aux banquiers.
Un banquier aujourd'hui ne gagne rien sur l'immobilier, et bienheureux ceux qui ne perdent pas, mais ça reste un produit d'appel!
Alors, vous pensez bien si vous leur poser la question ....., la réponse est toute trouvée! mais je ne fais pas plus confiance aux dires de Petit, que de la FNAIM ou autres notaires. L'essentiel est d'avoir toutes les infos et se forger son propre point de vue.
Quant aux courbes de la FNAIM, la méthode est clairement décrite en bas de dernière page, d'une part. D'autre part, voir ma remarque ci-dessus, c'est un renseignement. Enfin, je trouve, à titre personnel, que c'est un "lissage" qui n'est pas incohérent pour l'immobilier. Y aura-t-il autant de remarques de baissiers sur cet indice, dans quelques années lorsque le peak bas sera atteint? donc en pleine hausse? En espérant que la FNAIM ne modifie pas son indice |
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tonhomme
Pilier de forums
243 réponses |
Posté - 13 janv. 2006 : 21:02:02
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Merci Prados de ce lien. Et en effet, enfin une analyse qui prend de la hauteur, parmi le feu d'artifice des "haussiers" et des "baissiers" de ces dernières semaines [mois] (années ?) Et puisque j'en suis à envoyer des fleurs : quelle longévité pour ce post ! Preuve -s'il en faut- de la qualité des interventions, celles de son créateur comme les autres.
A.T.
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quelboulot
Modérateur
6445 réponses |
Posté - 13 janv. 2006 : 21:05:09
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Prados, Citation : Une piste, qu'elle soit verte ou noire, c'est bien dans les 2 cas.... une descente.
Il ne faut pas focaliser sur le ski alpin, le ski de fond existe aussi avec ses pistes vertes, bleues, rouges et noires ... Citation : http://www.anena.org/jurisque/reglement3/secusecds/c061187.htm
Circulaire du 6 novembre 1987 Arrêtés municipaux relatifs à la sécurité sur les pistes de ski alpin et de ski de fond.
RECOMMANDATIONS RELATIVES AUX CRITERES D'APPRECIATION DE LA DIFFICULTE TECHNIQUE DES PISTES DE SKI DE FOND (en application de l'article 2 de l'arrêté)
PISTE VERTE Piste facile destinée essentiellement aux skieurs débutants, sur laquelle la progression ne doit pas nécessiter l'usage de gestes de freinage. Profil général : plat ou légèrement vallonné. Portions en descente : régulières, suffisamment courtes pour éviter un accroissement important de la vitesse, et suivies d'un replat facilitant le ralentissement naturel des skieurs. Courbes : longues, régulières, en terrain dégagé.
A exclure : les ruptures de pentes importantes, les dévers, les courbes trop fermées.
PISTE BLEUE Piste de difficulté moyenne destinée aux skieurs débrouillés capables de maîtriser leur allure et de réaliser de petits changements de direction à vitesse modérée. Profil général : vallonné. Portions en descente : engendrent une vitesse modérée et sont suivies d'un espace dégagé et relativement plat. Courbes : longues, régulières, en terrain dégagé.
A exclure : les ruptures de pente trop accentuées, les forts dévers, les courbes très fermées.
PISTE ROUGE Piste difficile destinée aux skieurs confirmés capables de maîtriser leur vitesse ainsi que les changements de direction. Profil général : très vallonné. Portions en descente : peuvent engendrer une vitesse élevée, qui ne met pas les skieurs en difficulté. A exclure : les virages fermés en descente.
PISTE NOIRE Piste très difficile destinée aux très bons skieurs. Elle peut comporter toutes les difficultés techniques. Descentes très rapides : suivies d'un espace dégagé. A exclure : les reliefs non compatibles avec la pratique usuelle du ski de fond.
N.B. : il est important lors du classement d'une piste de tenir compte des conditions de neige les plus glissantes (neige gelée).
Et comme tout le monde le sait, en ski de fond, les pistes descendent, montent et parfois sont planes !!!
Alors, ou avez-vous vu dans le texte cité que Françoise Vaysse parle de ski alpin ?
La bougresse, elle est finaude, elle pourra toujours se raccrocher aux branches si dans un an ce n'est pas le ski alpin qu'elle nous dit avoir évoqué, mais le ski de fond. Citation : Le Crédit Lyonnais qui estiment "qu'on se rapproche d'un haut de cycle". Si tel était le cas, deux possibilités seraient alors ouvertes: soit une stagnation des prix à haut niveau, soit une baisse. Reste à savoir, alors, si la baisse serait lente ou brusque... autrement dit, en ces temps de neige, si l'on est sur une piste verte ou sur une piste noire.
Sans rancune
Christophe |
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tonhomme
Pilier de forums
243 réponses |
Posté - 13 janv. 2006 : 21:10:42
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Citation :
Un banquier aujourd'hui ne gagne rien sur l'immobilier, et bienheureux ceux qui ne perdent pas, mais ça reste un produit d'appel!
Les banques ne gagnent rien sur l'immobilier ?? Et les prêts alors ?? Les banquiers n'en profitent pas, peut-être ? Le mien oui, en tout cas ... Avec des taux qui n'ont cessé de baisser ces dernières années, tous les prêts à taux fixe sont pour l'instant très rentables pour les banques. Sans compter bien sûr les 'frais de dossier', et surtout les produits annexes, ouverture d'un compte avec carte bleue et forfait de services, souscription de parts sociales, produits d'épargne... les banquiers s'en donnent à coeur joie !
A.T. |
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Prados
Pilier de forums
3625 réponses |
Posté - 13 janv. 2006 : 21:22:03
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Ankou, Citation : Enfin, je trouve, à titre personnel, que c'est un "lissage" qui n'est pas incohérent pour l'immobilier. Y aura-t-il autant de remarques de baissiers sur cet indice, dans quelques années lorsque le peak bas sera atteint? donc en pleine hausse? En espérant que la FNAIM ne modifie pas son indice
En bourse, cela s'appelle une moyenne mobile, et on a souvent la moyenne mobile à 50 et 100 jours pour une action, avec sa courbe d'évolution au jour le jour.
Les chiffres de la FNAIM, c'est de la désinformation, tout simplement. Une façon de faire jouer les chiffres en faveur de la hausse. Nous verrons bien si la FNAIM fera de même en période de baisse, retardant ainsi une hausse qui serait déjà enclenchée....
Prados |
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Prados
Pilier de forums
3625 réponses |
Posté - 13 janv. 2006 : 21:27:32
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Tonhomme, Citation : Et puisque j'en suis à envoyer des fleurs : quelle longévité pour ce post ! Preuve -s'il en faut- de la qualité des interventions, celles de son créateur comme les autres.
Merci, pour tous ceux qui ont fait que ce sujet soit autant suivi, regardé, et autant commenté.
Christophe, Citation : Sans rancune
Sans rancune
Prados |
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Prados
Pilier de forums
3625 réponses |
Posté - 13 janv. 2006 : 21:33:26
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Tonhomme, Citation : Les banques ne gagnent rien sur l'immobilier ?? Et les prêts alors ?? Les banquiers n'en profitent pas, peut-être ? Le mien oui, en tout cas ... Avec des taux qui n'ont cessé de baisser ces dernières années, tous les prêts à taux fixe sont pour l'instant très rentables pour les banques. Sans compter bien sûr les 'frais de dossier', et surtout les produits annexes, ouverture d'un compte avec carte bleue et forfait de services, souscription de parts sociales, produits d'épargne... les banquiers s'en donnent à coeur joie !
A.T.
Ici, aux USA, mon compte en banque ne me coute rien, nada, nothing.... J'ai les chèques gratuits (et personnalisés avec mes propres images), 2 cartes visas internationales, accès internet pour la gestion des comptes, payement de factures par internet et ligne d'appel gratuit 24h sur 24 et 7j sur 7.
Bref, il faut bien qu'ils gagnent de l'argent. Ils le font sur les crédits, immobiliers ou autres. C'est pour cette raison qu'un crédit à taux fixe sur 15 ans est ici entre 5,3 et 6%.
Prados |
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Pégase
Pilier de forums
3665 réponses |
Posté - 13 janv. 2006 : 21:55:58
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Prados,
Franchement, je ne vois pas ce que l'article de Françoise Vaysse que vous citez a de si intéressant. C'est une analyse que n'importe quel vulgume pecus pourrait faire. Elle ne se mouille ni dans un sens ni dans l'autre. D'ailleurs comment le pourrait-elle n'étant pas professionnelle du domaine immo.
Cordialement,
Pégase
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