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Initialement entré par TLAM

S'il n'a rien a mettre en vitrine, c'est peut être simplement car les biens sur le marché sont rares, mais cela est contraire à votre théorie maladive sur la prochaine baisse spectaculaire des prix de l'immobilier!!!

TL

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les américains sont moroses car ils ont bien peurs de Ben Laden.

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Beaucoup songent à s'installer dans d'autres endroits du globe en ce moment.

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Initialement entré par lnsacorh

J'ai bien l'impression que votre thérapie est de vous défouler sur ces forums, car bon sang que de bla bla vous nous inondez.

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Le 8 janvier 2006
Monsieur,
Pour faire suite à notre rencontre, j'ai le regret de vous informer
que je ne donnerai pas suite à votre proposition de dÉfiscalisation pour les motifs suivants :
- Le bien mis à la vente représente 46 m2 dans un logement de
standing. Or ces 46 m2 est la taille minimum pour un F2, ce qui me surprend pour un bien de standing. Par ailleurs, même si le bien est au rdc je suis surpris qu'il n'y est pas de balcon ou terrasse sur l'extérieur.
- Concernant la durée de l'investissement il est de 25 ans, ce qui est particulièrement long pour une opération de défiscalisation d'une durée de 10 maximum,
- La valeur de l'opération est volorisée à 142216 euros à l'année 10. Or la valeur du bien à cette même période n'est que de 126572 euros (si l'on tient compte de d'une augmentation de l'immobilier de 2% par an) le capital disponible à l'année 10 ne sera que de 39586 euros au lieu des 56534 annoncé dans votre document.
- En cas de stabilisation de l'immobilier le capital disponible à
l'année 10 ne sera que de 18924 euros (que dire des conséquences sur le capital disponible lors d'une chute de l'immobililer) .
- En cumulant les sommes versés et les économies d'impôts cumulés sur 10 années, les sommes "accumulés" sont de 42096 euros, contre 39586 euros de capital disponible à l'année 10. On peut donc conclure à une "perte" de 2510 euros. Je reconnais qu'il y est des frais mais 2500 euros est un montant un peu important pour une opération de défiscalisation de 10 ans ayant des répercutions sur
25.
Je reste à votre disposition pour tout autre proposition de
défiscalisation.

Cordialement

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Bonjour,
Pour faire suite à votre message je pense qu'il est prématuré en effet aujourd' hui de mettre une telle opération en place pour vous .Je reste à votre disposition pour toute autre question à ce sujet .
En ce qui concerne la loi de superficie des appartements je suis en train de mener une recvherche d' explication .
Cordialement

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Initialement entré par TLAM

vttdechaine, désolé si avez pris ma remarque comme une attaque personnelle car ce n'était pas le but. Vous avez bien entendu le droit de penser comme vous le souhaitez, je trouve simplement qu'un tel acharnement me parait maladif.
Cordialement

TL

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Et si c’était l’immobilier ? A Davos, on aime bien s’inquiéter. Ou plus précisément évaluer ce qui pourrait détériorer le « business ». Voilà pourquoi on réfléchit chaque année aux « bulles », ces gonflements financiers dont l’éclatement menace la croissance, comme on l’a vu par exemple avec Internet en 2000. Aujourd’hui, au tour de l’immobilier ! Depuis dix ans, les prix ont monté dans tous les pays développés, à l’exception de l’Allemagne et du Japon.

Partout, le prix des maisons n’a jamais été aussi élevé ramené aux revenus des ménages. Serait-ce la plus grande bulle spéculative de l’histoire ? Peut-être... mais les Cassandre de Davos hésitent à prévoir son explosion. Certes, aux Etats-Unis, les prix sont excessifs à Las Vegas. Mais à New York, ils sont moins chers qu’à Londres. Et en Floride, les acheteurs sont souvent étrangers. Seul Robert Shiller, professeur à Yale, se risque à prévoir une chute d’au moins 10% cette année. Il relève que les loyers, qui reflètent la valeur « d’usage » des logements, n’ont pas suivi la flambée des prix de vente.
Mais ce qui frappe, à entendre ces experts et ces investisseurs, c’est l’océan d’argent dans lequel nagent les marchés. L’un d’entre eux raconte qu’un de ses amis qui gère un « hedge fund » a levé 3 milliards de dollars... en une semaine. Dans l’immobilier commercial,le levier est parfois négatif. Autrement dit, certains acquéreurs empruntent tous les fonds nécessaires à leur achat. Avec les frais et les intérêts, cela représente donc davantage que le prix de vente. Autrement dit, ils spéculent à la hausse. Un banquier de Genève me raconte l’histoire de cette famille qui vendait de l’immobilier depuis deux générations, et qui vient de tout vendre car elle ne comprenait plus rien à des prix devenus fous. « Nous vivons dans un monde différent », estime un autre investisseur. En tout cas, ce monde ressemble furieusement à une bulle. Quelle sera la prochaine ? Réponse dans un an.

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Marché: baisse de la demande de logements neufs.
(Cercle Finance) - Les promoteurs immobiliers font état d'un nouveau tassement de la demande de logements neufs. C'est ce qui ressort de la dernière enquête de l'Insee en janvier. Les prévisions de mises en chantier sont en baisse sur le 1er trimestre. Les stocks de logements neufs invendus sont de nouveau en progression.

La tendance des prix des logements neufs se stabilise à un niveau élevé. Les moyens de financement pour l'acquisition des logements sont plus restreint. L'apport personnel des acheteurs est en réduction.
Copyright (c) 2006 Cercle Finance.

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Prix du mètre carré à Paris : l'étrange calme de décembre [ 27/01/06 ]

L'INDICATEUR DE LA SEMAINE

Décembre 2004 : 4.847 euros le mètre carré à Paris ; décembre 2005 : 4.849 ! Effacés les pics à près de 5.900 euros en octobre ou près de 5.700 euros en juin. Pour un peu, on pourrait dire qu'il n'y a pas eu de hausse des prix en 2005... Ce serait évidemment spécieux. Mais tout de même, cet atterrissage sans ménagement appelle à réfléchir. Sur un mois, il représente une chute de 15 %. En 2004, entre novembre et décembre, nos partenaires exclusifs de Laforêt Immobilier avaient aussi constaté une baisse, mais elle n'avait pas dépassé 0,4 %. Certes, on voudra bien admettre que la période des fêtes et des étrennes n'est pas la plus propice à l'achat d'un logement. D'autant que les jours sont les plus courts de l'année. La fenêtre de tir pour visiter utilement les appartements se trouve du coup très rétrécie. Mais n'assiste-t-on pas également à un changement d'attitude de la part des acteurs, entre les acquéreurs qui réclament une négociation sur les prix et les vendeurs qui se mettent à accéder aux désirs de leurs interlocuteurs ? En tous les cas, si le chiffre de décembre était annonciateur d'un assagissement, il ne ferait pas que des mécontents : seraient contents les acheteurs bien sûr, mais aussi les professionnels qui préfèrent les transactions qui se dénouent rapidement, et même une majorité de vendeurs qui sont aussi de futurs acheteurs.

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En tous les cas, si le chiffre de décembre était annonciateur d'un assagissement, il ne ferait pas que des mécontents : seraient contents les acheteurs bien sûr, mais aussi les professionnels qui préfèrent les transactions qui se dénouent rapidement, et même une majorité de vendeurs qui sont aussi de futurs acheteurs.

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Mais un jour, votre sujet initial qui date tout de même du 16 avril 2004, soit 21 mois, finira bien par avoir eu un effet prémonitoire. Tout arrive

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D'après les dernières données recueillies par Seloger. com, l'un des leaders des annonces immobilières sur Internet, la progression des prix dans la capitale est retombée à 4,1 % sur un an à la fin de décembre, contre près de 15 % au début de 2005.

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Beaucoup de clignotants ont en effet viré à l'orange, voire au rouge. La solvabilité des ménages est aujourd'hui au plus bas depuis 1990

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D'après les calculs des experts du Crédit agricole, le taux d'effort, défini comme le rapport entre le montant des remboursements annuels d'un nouveau crédit immobilier (capital et intérêt) et le revenu disponible, atteint aujourd'hui 31 %, contre 21 % en 1998. Surtout, il est supérieur à 35 % pour presque le quart des emprunteurs - un record !

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le quart des prêts accordés sont d'une durée supérieure à vingt-cinq ans, contre 2 % seulement en 2002.

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Alors que la hausse des loyers n'a pas suivi celle des prix du mètre carré, le rendement d'un investissement immobilier a sensiblement diminué au cours des deux dernières années. En moyenne, il atteint seulement 4 % brut, voire un peu moins en région parisienne, contre 7 % en 2003. « Piètre performance, quand on la compare au rendement d'un investissement en Bourse. Aujourd'hui, il faut diversifier son épargne. Or la pierre n'est plus prioritaire », affirme Jean-Pierre Petit.

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L'investissement Robien : le miroir aux alouettes. Sur les 55 000 ventes réalisées dans le neuf l'an dernier, 33 000 entraient dans le cadre de l'investissement Robien. « Une bonne partie des investisseurs qui se sont laissé séduire par ce type de produit n'ont pas réalisé un bon placement. On n'achète jamais un bien immobilier dans le seul but de payer moins d'impôts », confesse le responsable du secteur immobilier d'une grande banque française.

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