|
Auteur |
Sujet |
|
burinho
Contributeur senior
73 réponses |
Posté - 25 sept. 2004 : 19:48:34
|
Bonjour,
je me demandais, en cas de baisse, est ce que celle-ci concernerait également sur les terrain pour construire sa maison. |
Signaler un abus |
|
PhV
Contributeur actif
35 réponses |
|
jcm
Pilier de forums
5131 réponses |
|
Pixies
Pilier de forums
257 réponses |
Posté - 28 sept. 2004 : 12:54:08
|
François de Witt change à nouveau d'avis :
http://www.mieuxvivre.fr/bourse/articles/__8-103-110698-__Chronique.aspx
Je n'ai pas le courage de chercher tous les articles de ce monsieur concernant les prix de l'immobilier, mais il me semble assez indécis. Peut être souhaite t'il garder sa capacité de nous rappeler qu'il nous l'avait bien dit, quoi qu'il arrive.
Alors François, l'immobilier actuel, c'est trop cher oui ou non ? |
Signaler un abus |
|
bprudhon
Pilier de forums
1422 réponses |
Posté - 28 sept. 2004 : 13:23:06
|
Dans tous les communiqués à large diffusion vous trouverez un message mi-figue mi-raisin de telle sorte que les auteurs (représentants d'institutions, porte parole, ...) puissent dire un jour : vous voyez on l'avait prédit, on avait raison d'être prudent etc ...
Il en va de leur réputation.
La vérité est que personne ne peut prédire ce qu'il va se passer réellement dans les mois qui viennent. Peut-être parce que la situation est inédite tout simplement.
Pour autant, je pense qu'i chose est sure : si les prix grimpent au même rythme pendant 2ans avec en parallèle une hausse des taux longs de 3% cela constituerait le cocktail idéal pour une décrue des prix.
bp |
Signaler un abus |
|
bprudhon
Pilier de forums
1422 réponses |
Posté - 28 sept. 2004 : 14:25:58
|
....... Situation d'autant plus inédite que les taux longs repartent à la baisse .....
A quand les prêts à 3% sur 20ans ??
bp |
Signaler un abus |
|
Prados
Pilier de forums
3625 réponses |
Posté - 29 sept. 2004 : 03:49:13
|
Les statistiques des Notaires Parisiens pour le 2ème trimestre 2004 sont parues: http://www.paris.notaires.fr/hpr.php?cID=277
Dans un article relatant cette parution: http://www.lesechos.fr/patrimoine/actualite/01997.htm , on peut lire: Citation : Dans un tel contexte, les acheteurs se reportent sur la banlieue. De préférence vers les villes les «moins chères» ou les «moins favorisées». En Seine-Saint-Denis, les prix se sont ainsi envolés de près de 50% à Aulnay-sous-Bois au deuxième trimestre sur un an, tandis qu'à Montreuil, la progression dépasse les 30% depuis le début de l'année. Plus globalement, si l'on tient compte des départements de la petite couronne, la Seine-Saint-Denis affiche la plus forte augmentation au deuxième trimestre (+16,9%), suivie des Hauts-de-Seine (+13,9%) et du Val de Marne (+13,8%). Face à ces fortes hausses des prix, les notaires notent une recrudescence des dons et autres donations, des cautionnements accordés par les parents ou encore des «acquisitions conjointes» entre parents et enfants. Autrement dit, «de nouvelles solidarités familiales», expliquent les notaires.
Bien que ces statistiques aient 3 mois de retard, ne pensez-vous pas qu'il y a quelque chose de malsain dans une situation telle que celle décrite par les notaires?
Vivement les données de Foncia et de la FNAIM qui elles, seront dédiées au 3ème trimestre.
Prados |
Signaler un abus |
|
xXx
Contributeur actif
26 réponses |
Posté - 29 sept. 2004 : 08:58:08
|
La nouvelle est commentée par Le Figaro : http://www.lefigaro.fr/eco-monde/20040929.FIG0284.html Certains chiffres me paraissent absolument délirants : +50% à Aulnay sous bois (!!!), +31% à Montreuil et Pantin (...), un appart à 17168 € le m2, le 6eme bientôt à 7000 € le m2 en moyenne... Mais le Figaro nous rassure : à Aulnay, les prix sont 2.5 fois moins élevés qu'à Paris, il faut donc "relativiser". J'ai plus l'impression qu'il s'agit d'hystérie que de marché sain. |
Signaler un abus |
|
perestroika
Pilier de forums
396 réponses |
Posté - 29 sept. 2004 : 09:55:42
|
Pardon d'avance pour le HS mais je ne résiste pas à coller ici cet article (Prados & Pégase ne manqueront pas de faire le lien) : La Cour des comptes défend les impôts
NOUVELOBS.COM | 28.09.04 | 14:09
Un rapport publié par le conseil des impôts de la Cour des comptes estime que la fiscalité française est moins lourde qu'il n'y paraît par rapport à celles d'autres pays industrialisés. La Cour remet en cause l'efficacité économique des baisses d'impôt sur le revenu et sur la fortune et met en garde contre une baisse de l'impôt sur les sociétés.
L a Cour des Comptes a bousculé les idées reçues sur la fiscalité en France en publiant mardi 28 septembre un rapport qui, tout en plaidant pour des réformes, estime que le poids des impôts n'est pas si éloigné de celui des autres pays et qu'il ne joue qu'un rôle marginal dans les délocalisations. Dans un rapport intitulé "La concurrence fiscale et l'entreprise", le conseil des impôts de la Cour des Comptes conclut que l'écart de fiscalité entre la France et les autres pays comparables "n'est pas suffisamment significatif pour que l'on puisse conclure à un handicap avéré".
"Handicap d'image"
Selon lui, la France souffre surtout d'un "handicap d'image" dû au fait que "les éléments favorables" de sa fiscalité "sont moins visibles que les éléments défavorables". "La concurrence fiscale est souvent résumée au taux nominal de l'impôt sur les sociétés. Or il y a également l'assiette et les autres impôts qui rentrent en jeu", explique le rapporteur du texte, Arnaud Oseredczuk. Le rapport bouscule au passage une autre idée souvent évoquée dans les milieux économiques, notamment au Medef, qui réclame une baisse de la fiscalité des entreprises en invoquant la menace des délocalisations. La Cour des Comptes souligne au contraire que la localisation des activités et des emplois mobiles" reste "bien davantage déterminée par l'environnement géographique, la qualité des infrastructures et le coût du travail". "Entre 2001 et 2004, la République Tchèque a créé 80.000 emplois, soit deux fois plus que la Pologne, bien qu'elle ait un taux d'imposition sur les sociétés (IS) plus important (40% contre 30%)", explique M. Oseredczuk. "Les risques de délocalisations, amplifiés par l'arrivée des pays de l'Est sur le marché, ne peuvent être supprimés par des mesures fiscales", conclut le rapport. Autre idée remise en cause par le rapport: la baisse de l'impôt sur le revenu ou la fortune renforcerait l'attractivité du territoire. La fiscalité des particuliers "n'est véritablement plus lourde en France que sur le patrimoine et les plus-values, non sur le revenu", estime-t-il au contraire. Dès lors "une baisse de l'impôt sur le revenu ou de l'impôt sur la fortune ne pourrait être justifiée par la volonté d'améliorer l'attractivité du territoire", conclut-t-il.
"Un coût considérable"
De même la Cour des Comptes juge inopportune toute baisse massive de la fiscalité de l'entreprise, qui dans le cas de la France, aurait "un coût considérable pour les finances publiques" pour "un effet modeste" en matière d'attraction d'emplois internationaux. Il plaide cependant pour une réforme fiscale ambitieuse avec "des taux nominaux plus réduits mais des dérogations moins nombreuses", ce qui permettrait à la France de se rapprocher de ses voisins, notamment en terme d'impôt sur les sociétés (35,4% en 2004, contre 30% en moyenne en Europe), et pour des mesures ciblées en faveur de la recherche et du développement. Une telle réforme rendrait la France moins vulnérable à la concurrence fiscale, surtout si elle limite les mécanismes (transferts intragroupe, financement des filiales) qui permettent à certains groupes d'échapper en partie à l'impôt, et perdurent en raison du manque de coordination des politiques fiscales européennes, estime le rapport. Mais cette voie ambitieuse risque d'avoir un coût budgétaire et d'être critiquée par les entreprises, note-t-il. A défaut, "on pourrait au moins baisser le taux de l'IS en élargissant son assiette, supprimer l'imposition sur les plus-values de cession, rendre la taxe professionnelle plus lisible et adopter une fiscalité 'offensive' dans des secteurs de pointe, la recherche et le développement", estiment les auteurs. |
Signaler un abus |
|
bprudhon
Pilier de forums
1422 réponses |
Posté - 29 sept. 2004 : 10:06:26
|
Du moment que les prix n'augmentent pas de 30% dans les beaux quartiers de l'Ouest. Je ne crois pas que l'Ouest parisien se soit traîné à 1000euros le m2 pendant X décennies.
Non, les quartiers ou communes qui connaissent les plus fortes hausses sont justement ceux et celles qui d'une part se sont toujours traînés à 1000euros/m2 et d'autre part voient l'offre de neuf augmentée en parallèle. Les prix du neuf tirent le marché de l'ancien vers le haut.
Actuellement les taux d'intérêts (long terme) sont particulièrement bas donc les conditions d'emprunt restent motivantes. L'article de la Chambre des Notaires est intéressant parce qu'il montre que la clientèle s'adapte aux conditions du marché actuelles.
bp |
Signaler un abus |
|
oppe75
Contributeur vétéran
104 réponses |
Posté - 29 sept. 2004 : 14:01:17
|
Bonjour
Mon collègue vient de revendre sa résidence principale 200.000€ acheté il y a 2 ans 120.000 €.
Qu'est ce que je suis bête d'avoir écouté mes parents (à qui je verse une pension pour qu'ils survivent) : "Mon fils, le travail, il n'y a que ça de vrai !" |
Signaler un abus |
|
Prados
Pilier de forums
3625 réponses |
Posté - 29 sept. 2004 : 14:26:27
|
Perestroïka,
En réponse à votre message, je tiens à vous dire que, sur le sujet de la fiscalité, seuls les cas concrets sont intéressants à étudier, car sinon on peut faire dire une chose ou tout son contraire, suivant la lecture que l'on donne aux chiffres.
Si je me réfère à mon cas personnel et à la fiscalité que je subissais en France, et que je subis ici aux USA, je suis gagnant d'un minimum de plusieurs dizaines de milliers d'€ par an, pour un salaire de cadre.
Ce qui m'intéresse, c'est que j'ai ici un pouvoir d'achat supérieur. Ceci sans compter le fait que les objets de grande consommation sont nettement moins cher ici, car il y a une réelle concurrence et un marché plus vaste.
PS: de plus, contrairement à ce que l'on pense, j'ai une meilleure couverture santé ici (privée), et moins chère que mes cotisations Sécurité Sociale + Mutuelle lorsque j'étais en France.
Enfin, ceci, il faut le vivre pour le croire.
Si vous voulez jouer le commercial de la maison France, faites-le, mais pas avec moi, vous n'y arriverez pas.
Prados |
Signaler un abus |
|
Prados
Pilier de forums
3625 réponses |
Posté - 29 sept. 2004 : 14:35:19
|
Bp, Citation : Non, les quartiers ou communes qui connaissent les plus fortes hausses sont justement ceux et celles qui d'une part se sont toujours traînés à 1000euros/m2 et d'autre part voient l'offre de neuf augmentée en parallèle. Les prix du neuf tirent le marché de l'ancien vers le haut.
Voulez-vous nous faire croire que le 93 est devenu le Levallois Perret des années 80-90? Pensez-vous réellement que, en cas de baisse des prix, les prix des communes affichant 30 à 50% de hausse maintenant se maintiendront alors que les prix des 6è, 7è, 5è, 8è et 16è se "casseront la gueule".
Revoyez vos statistiques. Dans une bulle, ce qui monte toujours en dernier ce sont les navets ou les zones où personne ne voulaient aller avant. C'est par résignation plus que par envie que les gens achètent ces biens là. D'ailleurs, c'est souvent le population la plus fragile, puisque moins informée des risques. Et, en cas de chute, ce sont ces zones et ces biens qui subissent les premiers une forte décôte lorsque les "moutons" reprennent leurs esprits.
Prados |
Edité par - Prados le 29 sept. 2004 14:47:12 |
Signaler un abus |
|
Prados
Pilier de forums
3625 réponses |
Posté - 29 sept. 2004 : 14:45:18
|
Oppe75, Citation : Bonjour
Mon collègue vient de revendre sa résidence principale 200.000€ acheté il y a 2 ans 120.000 €.
Qu'est ce que je suis bête d'avoir écouté mes parents (à qui je verse une pension pour qu'ils survivent) : "Mon fils, le travail, il n'y a que ça de vrai !"
N'oubliez pas que l'on dit: Qui rit Vendredi, Dimanche pleurera.. Vote collègue a acheté sa résidence principale 120K€ il y a 2 ans. Il l'a vend 200K€. Maintenant, il faut bien qu'il rachète quelque chose pour se loger. Il va donc réinvestir son capital au prix fort et repayer des frais de notaire et d'agence (plus elevè car il achète plus grand, et les prix ont monté).
Donc, il n'est pas forcément gagnant puisque, en terme de pouvoir d'achat, il fait à peine plus que suivre le marché.
Le véritable gagnant dans un marché haussier est: 1. soit l'investisseur qui vend et attend une baisse des prix pour racheter plus bas. 2. soit la personne qui "downsize", c'est à dire qui vend un bien avec une grande surface pour acheter une plus petite surface dans le même quartier. 3. soit la personne qui vend dans une région chère pour déménager dans une région moins chère.
Dans tous les autres cas, vous ne créez pas de plus-value, vous ne faites que reporter une plus-value virtuelle dans un autre bien. Et vous vous rappelez ce qu'il est arrivé aux plus-values virtuelles de la bulle internet?
Prados |
Signaler un abus |
|
bprudhon
Pilier de forums
1422 réponses |
Posté - 29 sept. 2004 : 14:54:00
|
Comme je n'ai pas la science infuse, je me contente de constater que les plus fortes hausses concernent les communes qui étaient à la traîne durant des décennies. Ce qui semblent logique compte tenu des prix atteints à Levallois ou Boulogne par exemple. Ca c'est du pure pragmatisme non pas des considérations fumeuses. Il y aura forcément un impact sur ces communes qui avaient l'habitude d'être dans une impasse jusque là.
Quant aux statistiques, elles ne sont pas plus douées pour dire l'avenir que la boule de Mme Irma.
bp |
Signaler un abus |
|
azertya
Pilier de forums
830 réponses |
Posté - 29 sept. 2004 : 15:54:19
|
Effectivement, j'essaie actuellement de vendre ma baraque 600 k (HT 80 k il y a 10 ans et quelques menus travaux...), si je vends à ce prix-là, faut que je m'achète une masure à rénover pour avoir quelques PV restantes. |
Signaler un abus |
|
Pégase
Pilier de forums
3665 réponses |
Posté - 29 sept. 2004 : 16:00:15
|
Perestroika,
Je suis complètement d'accord avec Prados. N'oubliez pas que ce texte dont tout le monde parle en ce moment (FEE d'hier soir en est un exemple parmis tant d'autres) ne concerne vraiment que les sociétés et est un comparatif entre les pays importants européens (les 15).
La problèmatique de la fiscalité sur les personnes physiques est tout autre. Et comme démontré par Prados, la France est certainement un des pays ou le poinds global des prélèvements et de la fiscalité en général (et non pas au niveau spécifique d'un impot en particulier) est un des plus important, sans compter la complexité phénoménale du système.
Mais pour être totalement objectif, comme le dit très justement Prados, il faut regarder le pouvoir d'achat, in finé, de chaque individu. Et là, c'est le jour et la nuit. Mieux vaut gagner 5'000 euro par mois avec 10% d'impot et un cout de la vie aux alentours de 2'000 euro que gagner 10'000 euro par avec 50% d'impot et 4'000 euro de cout de la vie.
La question est donc bien plus complexe que le fait de regarder la fiscalité de l'entreprise à 35.4% en France comparé à une moyenne européenne de 30%.
Je n'arrive pas à trouver de tableau récapitulatif sur le site de l'OCDE qui indiquerai le rapport 'revenus net-net/cout de la vie' par pays mais je pense que cela devrait pouvoir se dénicher quelque part. Le jour ou je le trouve, je pense que vous serez très surpris.
Cordialement,
Pégase |
Signaler un abus |
|
perestroika
Pilier de forums
396 réponses |
Posté - 29 sept. 2004 : 17:11:35
|
Citation : La problèmatique de la fiscalité sur les personnes physiques est tout autre.
Précisément ! Et Prados fait la confusion dans sa réponse (dans son esprit à mon avis c'est limpide) car elle tape à côté. La fiscalité des personnes physiques n'étant pas évoquée du tout...
Citation : Et comme démontré par Prados, la France est certainement un des pays ou le poinds global des prélèvements et de la fiscalité en général est un des plus important
heu ? quelle démonstration "globale" ? Moi j'ai vu "A est moins cher", "Ha oui mais B est plus cher"
Citation : Si je me réfère à mon cas personnel et à la fiscalité que je subissais en France, [...] j'ai ici un pouvoir d'achat supérieur.
C'est ça la démonstration globale dont parle Pégase ? Un cas unique ? Je peux vous opposer un exemple strictement opposé et très récent. Sans détailler je connais très bien un cas où pour un salaire plus élevé (~150KE annuel est l'ordre de grandeur), on se retrouve avec un pouvoir d'achat plus faible aux US. Que vous le veuillez ou non ce cas est réel et existe. Mais je ne nie pas que le cas de Prados soit tel qu'il le décrit, je demande simplement que l'on reconnaisse que les choses ne sont pas si systématiques et tranchées.
Citation : La question est donc bien plus complexe
Entièrement d'accord. C'est bien pour ça que je tique devant des positions aussi globalisantes et tranchées surtout lorsqu'elles s'appuient sur des informations aussi floues et partiales. Vous noterez que comparativement la conclusion de la cour des comptes est bien plus modeste ! Mais encore une fois si vous avez des documents à apporter je suis intéressé. |
Signaler un abus |
|
perestroika
Pilier de forums
396 réponses |
Posté - 29 sept. 2004 : 17:15:30
|
Pour en revenir au sujet :
Citation : Revoyez vos statistiques. Dans une bulle, ce qui monte toujours en dernier ce sont les navets ou les zones où personne ne voulaient aller avant. C'est par résignation plus que par envie que les gens achètent ces biens là. D'ailleurs, c'est souvent le population la plus fragile, puisque moins informée des risques. Et, en cas de chute, ce sont ces zones et ces biens qui subissent les premiers une forte décôte lorsque les "moutons" reprennent leurs esprits.
Je suis d'accord mais je nuancerais. Les zones où personne ne voulait avant ont souvent reçu une transformation structurelle (modernisation de quartiers, construction de neuf etc...) qui apporte une plus-value qui ne s'envolera pas lors de l'explosion de la bulle. |
Signaler un abus |
|
Prados
Pilier de forums
3625 réponses |
Posté - 29 sept. 2004 : 20:05:23
|
Perestroika, Citation : Je peux vous opposer un exemple strictement opposé et très récent. Sans détailler je connais très bien un cas où pour un salaire plus élevé (~150KE annuel est l'ordre de grandeur), on se retrouve avec un pouvoir d'achat plus faible aux US. Que vous le veuillez ou non ce cas est réel et existe.
Tiens, c'est marrant. J'ai déclaré en 2003 un tout petit peu plus que cette somme ici aux USA. Donnez-moi donc plus de précisions (en privé si vous le souhaitez) car je suis curieux de savoir comment cette personne a-pu arriver à cette conclusion?
Si vous le souhaitez, je pourrais également détailler mes propres chiffres en face des votres.
Je vais vous donner quelques exemples: 1. A qualification égale, un cadre gagne ici entre 2 et xx fois plus ici pour le même poste (dans mon cas, le coeff est de 2.63 exactement). 2. L'assurance santé (sécu+mutuelle en France et mutuelle privée payée en partie par l'employeur aux US) est moins chère ici de 20 à 50% selon les prestations et vos antécédents médicaux. 3. La TVA est de 7.25% dans l'état de New York, et de 0% sur la nourriture et les biens de première nécessité. 4. Je viens d'acheter un appareil photo numérique Sony 5 Mégapixels ultra compact et dernier cri. Prix en France=620€ TTC, prix ici=320$ TTC.
Vous en voulez d'autres?
Prados |
Edité par - Prados le 29 sept. 2004 20:45:32 |
Signaler un abus |
|
Sujet |
|
|
|
|
Universimmo.com |
© 2000-2006 AEDev |
|
|
|
|