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Une fiction ne serait pas aussi inimaginable. Comme quoi la réalité est imprévisible comme les voies de là haut...
L'histoire: Historique: j'ai passé manadat pour vendre un appartement loué en décembre 2003, le 20 plus précisément. En juin 2004 j'accorde à une autre agence un mandat également. Le prix tient compte de l'occupation du logement. Il a donc une décôte de 20%. Par contre ce n'est pas de l'ancien (1996)aussi le rapport locatif est faible 5,3% brut, bail reconduit le 1er avril 2003. La première agence avait eu la gestion du bien la première période de bail, son mandat de gestion lui a été enlevée pour le remplacer par le mandat simple pour vendre. Jusqu'à Novembre 2004 pas même un frémissement.
Je précise et ce n'est pas anodin que je ne souhaitais pas de visite pour ne pas déranger la tranquilité des locataires, j'avais remis des photos, l'agence détenait le bail, connaissait la régularité de paiement du loyer des locataires, et le rendement locatif était ce qu'il était. L'appartement ayant été loué en état neuf, il devait être rendu idem vétusté déduite...
Je suis approché par un particulier début décembre 2004. Je faisais bien entendu de la prospection de mon côtéé au même prix que celui proposé par les agences. J'en avise l'agence lors d'une conversation téléphonique ainsi que mon désir d'augmenter le tarif de vente car la durée du bail était plus courte à courir et que les prix font tourner la tête...
Je fais visiter les lieux et je m'abstiens dans un premier temps de déranger les locataires non prévenus mais comme après justement deux ans au moins ceux-ci se sont manifestés sur mon portable pour acheter, je précise aux particuliers (couple séparés de bien), quentre la fixation du rendez vous et la visite les locataires préemptaient... Nous nous manifestons et nous nous préoccupons plus de leur intention d'acheter que de l'appartement en lui-même. Ils ne nous disent pas qu'ils attendent justement une visite plus tard dans la soirée de l'agence...
Je devais signer le lendemain un compromis avec le mari du couple, car ils étaient assez motivés et ils souhaitaient avoir une trace écrite. Seulement le jour en question: "Vous comprenez 710 euros de loyer HC, nous attendons 950 euros pour boucler notre plan de financement" Le loyer était connu à l'origine et il est bien entendu pas possible d'un seul coup de cuillère à pot de le passer à 950 euros sans l'accord bien entendu des locataires ? ? Aussi nous ne signons pas mais nous convenos de nous revoir le mercredi suivant chez le notaire, mon notaire car le couple n'avait pas de notaire...En fait j'ai appris plus tard que c'était le père de Madame qui tenait les cordons de la bourse car chez le notaire le mari du couple était seul mais avait depuis le notaire de son beau-père. Sa femme étant absenté sans pouvoir remis à son époux, un autre rendez-vous est convenu excepté qu'entre temps l'agence initiale m'avait envoyé une LRAR car ils avaient trouvé quinze jours avant l'expiration de leur mandat et trois jours après la confirmation d'un acheteur personnel, des acquéreurs potentiels. Le Monsieur gagnerait 86 000 euros annuels...
Le mari du couple lors d'un apel téléphonique de sa part me menaça de me prendre par la peau des fesses si je ne venais pas signer le mercredi suivant chez le notaire. Je coupais court à toute négociation devant de tels propos. Il ne cessa de me harceler, de m'intimider, il me dit des choses que peu de personnes connaissaient aussi come je les avais présenter à la gardienne, je me suis dit qu(elle était aussi concierge mais celle ci a assuré mon épouse et moi même qu'elle ne les avait pas revu et que depuis qu'elle avait 4 petits enfants elle restait tranquille et ne se joignait plus aux soirées des uns et des autres...
Le samedi qui suivit le mercredi où j'avais donc fait défaut chez le notaire voilà pas le mari du couple qui me tombre dessus en plein Paris alors qu'il habite Sarcelles et moi ailleurs. Devant ses intimidations j'avais laissé une enveloppe à son nom sur ma porte d'entrée car il avait menacé de venir faire du bruit sur mon palier, je lui avais en effet communiqué le digicode. A l'avenir j'ai appris la leçon exceté aux livreurs de pizza, je dirai appelez moi sur mon portable quand vous serez devant l'entrée je descendrai vous ouvrir... Il essaye de m'arracher ma sacoche alors que j'étais en conversation avec mon épouse par portable interposé...Puis il me menace physiquement et tente même de me claquer le beignet. Je me rends dans un laboratoire d'analyse médicale qu'il me suit, mais est rapidement éconduit par les secrétaires médicales... J'appelle Police Secours, je fais une main courante au commissariat de la Goutte d'or. Le soir il y a à nouveau des messages sur notre répondeur enregistreur, malgré la scène de la matinée aussi ne dormant plus je décide de déposer une main courante au commissariat de son domicile, j'avais donc son nom son adresse, son n°portable car ils sont sur liste rouge mais il avait donné au notaire son n°personnel...
Puis il continue à proférer des menaces plus précise sur notre fillette qu'il aurait croisé avec mon épouse...Je précise qu'il dit être responsable de la sécurité d'une ville d'Ile de France peut être de Seine St Denis car il réside en 95 et sa voiture était immatriculé en 93, et paraissait être une voiture de fonction ?
J'envoies donc 2 LRAR une à son épouse et une au commissaire central de sa résidence. Silence radio.
Mais après avoir été marqué par tous ces événements, et nous demandant pourquoi un tel comportement, ils nous revint ma femme et moi ses propos sur notre passé à la copropriété où nous mettons l'appartement à vendre. Si ce n'était pas la gardienne qui était ce? Et euréka nous nous rappelions que notre voisine du dessus celle qui jetait des grandes quantités d'eau de javel sur notre terrasse là même où notre toute petite fille jouait, celle là même de voisine que le compagnon vous disait lui manquer de respect car vous lui aviez téléphoné sans qu'il vous y autorise, oui cette voisine avait travaillé un temps chez l'agence initiale que le mari du couple avait du contacté pour x raison. Aussi l'information ne peut venir que de là car il m'est tombé dessus seulement à 100 m de l'agence dont j'avais pris congé...
Conclusion: L'agence me réclame sa commission alors qu'elle a motivé le mari du couple pour nous harceler. Notre entourage professionnel, familial et privé pourra attester de notre perturbation...
J'ai répondu au conseil de l'agence que je n'irai pas au civil mais au pénal, qu'ils avaient un mandat pour vente simple et pas un contrat pour m'abattre.....
Qu'en pensez vous de ce cas pratique et non théorique ?