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gallou
Nouveau Membre
8 réponses |
Posté - 01 juin 2005 : 19:23:14
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je fais construire en Bretagne et je souhaite récupérer l'eau de pluie pour le jardinage et les sanitaires, lavaage linge et vaisselle. quelqu'un s'est-il intéresser au matériel à mettre en oeuvre et au prix de revient? La "rentabilité" se fait sur combien d'années en moyenne? merci
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vince5962
Contributeur senior
94 réponses |
Posté - 01 juin 2005 : 21:07:58
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La réutilisation de l'eau de pluie pour usage sanitaire est interdit en france (code de la santé publique). Seul certain lieux peuvent obtenir une dérogation de la ddass (type collège pour l'alimentation des wc). Vous pouvez tj utiliser l'eau récupérer pour l'arrosage. En effet selon l'article R1321 et suivant, cette eau est destinée à la consommation humaine (Toutes les eaux qui, soit en l'état, soit après traitement, sont destinées à la boisson, à la cuisson, à la préparation d'aliments ou à d'autres usages domestiques, qu'elles soient fournies par un réseau de distribution, à partir d'un camion-citerne ou d'un bateau-citerne, en bouteilles ou en conteneurs, y compris les eaux de source ;)
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Marc 75017
Pilier de forums
2496 réponses |
Posté - 01 juin 2005 : 22:28:53
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Vince5962,
La lecture des articles R1321-1 et suivants du Code de la santé publique ne semble pas permettre de soutenir ce que vous dites, à savoir que l'eau de pluie ne pourrait pas légalement être utilisée à des fins sanitaires.
Pourriez vous revoir cela et préciser ce que vous voulez dire ?
Code de la santé Publique - Nouvelle partie Réglementaire : http://www.legifrance.gouv.fr/WAspad/UnCode?&commun=CSANPU&code=CSANPUNR.rcv
Marc |
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quelboulot
Modérateur
6445 réponses |
Posté - 01 juin 2005 : 23:31:02
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Il est vrai Vince que les références données sont applicables aux eaux destinées à la consommation humaine et que le Code de la Santé Publique n’interdit pas expressément l’usage de l’eau de pluie.
La récupération des eaux de pluies est un sujet qui m’intéresse également et les DDASS ne sont guère favorables au développement de réseaux différenciés au sein des habitations privées ce qui suppose une séparation physique entre réseau alimentant les wc/machine à laver le linge (pour les lave-vaisselle, non) et autres alimentations sanitaires.
http://www.2eaux.fr/faq/affiche.php?op=15
Cet article intéressant
http://eau.apinc.org/article.php3?id_article=192
permet de comprendre les « réticences » pour le moins importantes de nos lobby nationaux en matière de traitement des eaux.
Et ce n’est pas Jérome Monod avec son passé de patron de la Lyonnaise des Eaux et son présent de conseiller présidentiel qui pourra faire avancer le schmilblic dans le bon sens.
Il n’est qu’à essayer de rechercher les éventuelles subventions ou primes accordées dans ce domaine pour les particuliers au niveau de l’Etat, des Agences de bassins, des Régions ou des Départements .
Résultat ZERO POINTE (à l’exception notable du monde agricole : le premier qui rit a perdu )
A comparer à la multitude d’aides ou de subventions en tous genres pour la production d’électricité avec des sources d'énergies renouvelables !!!!
Cherchez l’erreur ! (EDF était dans le giron de l’Etat, le traitement des Eaux, non)
Gallou, pour le matériel et les diverses méthodes il existe X sites sur le net. Quant au prix de revient tout dépend de l'autonomie que vous souhaitez avoir et de la durée des périodes de sécheresse. En Bretagne vous aurez besoin de capacités de stockage inférieures à celles des ressortissants du sud-est je suppose.
Mais le coût sera de toutes façon important et la rentabilisation financière ne doit pas être le seul facteur décisionnel. Pour ma part, et dans une région ou les coupures d'eau ou les diverses restrictions d'utilisation sont de plus en plus fréquentes, l'autonomie de gestion m'apparait comme étant primordiale dans le choix que je me déciderai à effectuer un jour ou l'autre.
Christophe |
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Pégase
Pilier de forums
3665 réponses |
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Mouloute
Nouveau Membre
9 réponses |
Posté - 02 juin 2005 : 14:54:58
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Hello,
J'ai fais installer une fosse de 3000 litres celle-ci alimente mes WCs, ma machine à laver (par mesure de sécurité et de propreté j'ai aussi alimenté ma machine à laver avec l'eau de ville) et un tuyau dans le garage pour l'arrosage et lavage voiture. Bien évidement j'ai 2 circuits indépendant: un pour l'eau de la fosse (eau de pluie) et l'autre pour l'eau de ville car on n'a pas le droit de mixer. En cas de sécheresse (plus d'eau dans la fosse), un système d'éléctro-vanne et de flotteur enclenche le remplissage partiel de la fosse et comme ça j'ai toujours de l'eau pour mes WCs et pour l'arrosage car à la différence de la machine à laver ceux-ci n'ont que l'eau qui provient de la fosse.
Prix de l'installation avec la pose 1900€ (12000fr)
Le Breton |
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jmguerin
Contributeur vétéran
155 réponses |
Posté - 02 juin 2005 : 18:30:36
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Bonjour,
Quelques réflexions que je me permets de vous livrer en vrac.
Tout d'abord, éviter l'eau de pluie pour le lave vaisselle, les quantités de plomb, de potassium et autres substances indésirables pouvant être importantes, surtout après passage sur votre toit, elles vont se déposer sur votre vaisselle et par précaution, j'éviterais.
Un lien intéressant sur la qualité des eaux de pluie : www.senat.fr/rap/l02-215-1/l02-215-14.html
La rentabilisation financière d'un tel système est difficile. Si on prend le cas de Mouloute, par exemple, et en prenant pour hypothèse que l'économie maximum que son système lui apporte est de 50 % (chasse d'eau, jardin, machine à laver le linge, c'est l'ordre d'idée), qu'il est gros consommateur d'eau (allez 350 m3 par an), et qu'il est dans une région où l'eau coûte très cher (3,6 euros le m3), son économie annuelle est de 175x3.6 = 630 euros. Dans cette hypothèse, très très optimiste, il lui faut quand même trois ans pour amortir. En pratique, il faut compter le double à peu près, en comptant l'entretien de l'installation et les consommables (courant pour la pompe, produits de filtration/conservation).
Un autre danger risque de survenir : dans le prix de l'eau, la proportion servant à financer le traitement des eaux usées augmente de plus en plus. Ce sont donc les taxes assises sur la consommation d'eau potable qui servent à financer le traitement des eaux noires. Plus la récupération d'eau de pluie s'intensifie, moins il y aura d'argent pour traiter les eaux usées.
La parade : il suffit de mesurer le volume d'eaux usées passant en tout à l'égout, et dissocier le prix de l'eau potable du coût de traitement des eaux sales. Je sens bien venir, dans les années à venir, l'obligation d'avoir un compteur d'eaux usées !!
Voilà mes quelques réflexions, merci de votre indulgence.
JM GUERIN |
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vince5962
Contributeur senior
94 réponses |
Posté - 02 juin 2005 : 18:35:06
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Comme je travaille pour ces "lobby nationaux", je ne change pas ma position cependant vous pouvez lire cet article :
http://www.carteleau.org/fmenu8.htm
Si vous déposez un permis de construire en précisant le type d'alimentation, j'ai bien peur que vous obteniez un refus. |
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vince5962
Contributeur senior
94 réponses |
Posté - 02 juin 2005 : 18:37:35
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Désolé pour le lien. Il faut cliquer sur le lien et taper dans recherche: eau de pluie et cliquer sur "la valorisation des eaux pluviales" |
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quelboulot
Modérateur
6445 réponses |
Posté - 06 juin 2005 : 21:35:14
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Prenant connaissance des posts de jmguerin et vince je joint le lien de ce dernier Citation : La valorisation des eaux pluviales Mise à jour : Novembre 2001 C@RTEL
Le code civil permet a toute personne d'utiliser comme il l'entend l'eau de pluie qui tombe sur son terrain (sous réserve de ne pas causer de dommage à autrui cf fiche précédente).
Cependant certains usages supposent que l'eau dont on se sert soit de très bonne qualité. Ces exigences de qualité restreignent donc les usages que l'on peut faire des eaux pluviales
A l'heure actuelle il n'existe pas de réglementation spécifique régissant l'utilisation d'eau pluviale, il faut donc se référer aux règles existantes et notamment aux normes sanitaires établies par le code de la santé publique, par le règlement sanitaire départemental type ou par le décret n°89-3 du 3 janvier 1989 (modifié) relatif aux eaux destinées à la consommation humaine.
Les usages pour lesquels il est possible d'utiliser de l'eau pluviale L'usage d'eau pluvial pour l'arrosage ou le nettoyage des voitures :
Certains usages comme l'arrosage des espaces verts, le lavage des sols ou des voitures ne nécessitent pas de disposer d'une eau dont la qualité atteigne celle des eaux destinées à la consommation humaine.
Pour ces usages il semble possible d'utiliser l'eau de pluie, un traitement minimum (sous forme d'une filtration mécanique par exemple) peut être nécessaire en fonction de la qualité de l'eau de pluie et en fonction de l'usage à laquelle on la destine.
Dans tous les cas il faut veiller à ce que les conditions de stockage de cette eau n'en dégradent pas la qualité.(éviter la prolifération bactérienne ou le développement d'algues, de mousses ou champignons).
L'alimentation de WC par les eaux pluviales
L'alimentation des WC à partir d'eau pluviale impose la réalisation d'un réseau d'alimentation en eau qui doit être distinct de celui amenant l'eau potable.
Il faut impérativement empêcher les retours d'eaux pluviales dans le réseau d'eau potable par l'installation par exemple d'un clapet anti-retour d'eau.
Pour pouvoir être utilisée pour l'alimentation des WC l'eau doit subir un traitement très poussé. Il faut en effet que cette eau ne soit ni agressive ni corrosive pour les équipements et les utilisateurs. En outre il faut que cette eau soit biologiquement saine (pour s'en assurer on peut se référer aux critères microbiologiques fixés pour l'eau destinée à la consommation humaine)
I : Les DDASS ne sont pas favorables à la réalisation de WC alimentés par de l'eau pluviale, elles refusent presque toujours de les autoriser.
Les usages pour lesquels il ne semble pas possible d'utiliser de l'eau pluviale Peut-on aller plus loin dans l'utilisation d'eau pluviale et s'en servir pour alimenter un lave linge, pour prendre sa douche ou même pour la consommation courante ?
Font partie de la catégorie des " eaux destinées à la consommation humaine " :
- les eaux destinées à des usages alimentaires (boisson, préparation d'aliments) - les eaux destinées à des usages sanitaires (nettoyage corporel, nettoyage du linge et des produits et objets destinés à être placés en contact avec des denrées alimentaires)
La réglementation est extrêmement stricte sur la qualité de ces eaux (voir fiche du guide des services sur " les normes de qualité de l'eau potable " ).
Ainsi l'usage d'eau de pluie à des fins alimentaires ou sanitaires ne semble pas possible car il faudrait pouvoir la traiter de telle sorte qu'elle respecte les critères requis pour la qualité des eaux destinées à la consommation humaine.
Or à l'heure actuelle un tel traitement semble difficile à obtenir et très coûteux dans le cadre d'une installation domestique.
Pour ma part je serais plutôt dans les conditions d'utilisation surlignées en bleu...
Quant au compteur d'eaux usées envisagé par jmguerin, il est bien certain que si l'utilisation des eaux de pluie se généralise, il y aura sûrement une taxation supplémentaire, forfaitaire ou non, qui sera instaurée...nous ne seront pas à la première dans ce style
Il est toutefois plaisant à remarquer, pour moi qui possède une habitation secondaire dans une zone avec assainissement individuel ne pouvant être raccordé au réseau collectif, qu'en dehors des frais de raccordement demandés aux bénéficiaires de ce réseau, nous payons tous le même prix du M3 d'eau.... alors que je ne coûte rien en traitement des eaux usées au fournisseur.
Si je devais suivre ce que nous indique jmguerin, en l'inversant, pourquoi mon fournisseur d'eau potable ne me propose pas actuellement une ristourne ?
Christophe |
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Pégase
Pilier de forums
3665 réponses |
Posté - 06 juin 2005 : 23:41:59
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A propos de l'assainissement individuel, il est intéressant de noter que depuis quelques temps dans ma communauté de communes, les autorités essayent de faire en sorte que ceux en individuel se raccordent au collecteur local. Pour ce faire, des aides subtantielles (40 à 60% des coûts financés par la collectivité plus 20 à 30% financé par la société d'assainissement) sont proposées.
Les raisons aparemment invoquées sont d'ordre écologiques car il est vrai que le contrat rivières local sort souvent des rapports alarmant sur les effets dévastateurs causés par le non entretien des fosses septiques et autres puits perdus.
Bien que j'entretienne régulièrement ma fosse et que je n'ai pas de problème particulier, je vais sérieusement réfléchir à cette proposition car il est vrai que d'un point de vue écologique, la quantité de produits déversés tels quels dans la nature ne sont certainment pas bons pour nos rivières ou nappes phréatiques... D'autant plus si les frais sont quasi nuls.
Cordialement,
Pégase |
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J-Luc
Nouveau Membre
1 réponse |
Posté - 11 août 2005 : 13:24:55
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Si vous voulez vous affranchir complètement (ou presque) de l'eau de distribution, polluer moins et être en meilleure santé, je vous conseille de consulter le site suivant, fastidieux à lire mais hyper complet:
www.eautarcie.com
Cordialement,
JL |
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fb56
Nouveau Membre
3 réponses |
Posté - 30 juin 2006 : 10:53:28
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Bonjour,
depuis le 2 Mars 2006, la position du ministere de la santé et des solidarités est enfin claire:
l'utilisation de l'eau de pluie est autorisée pour alimenter les WC et les robinets de puisage pour l'arrosage du jardin et cela avec un réseau d'alimentation spécifique. L'eau potable doit donc alimenter le reste de la maison dont lave-vaisselle , douches, lavabos et plus surprenant le lave linge.(En allemagne et en belgique, le lave linge est autorisé depuis plus de 10 ans...). Par contre l'utilisation de l'eau de pluie lorsqu'elle est branchée avec un secours sur l'eau de ville répond à des regles tres stricte de disconnection afin de ne pas polluer bactériologiquement l'eau de ville. Un simple by-pass manuel est donc interdit. Il existe d'ailleurs des pompes qui répondent aux spécifications de la DDASS (disconnection par surverse intégrée , norme EN1717) , j'ai trouvé par exemple sur ksb.fr la pompe Hya-rain. Il convient aussi de faire un schéma de l'installation (afin d'eviter des perçages futurs ou mauvais piquages)et de mettre une signalisation sur les points d'eau concernés(ex:"eau non potable"), il est recommandé de mettre des systemes inviolables (ex:robinets de puisage avec tête carré).
Une déclaration en mairie doit être faite pour information à la société qui traite les eaux usées (quand traitement collectif). Ce qui à terme pourrait déboucher sur une taxe spéciale. Ce qui n'est pas le cas actuellement. Cela fait tres longtemps que l'on parle d'une taxe ou d'un montage d'un compteur à la sortie de la maison sans que cela n'aboutisse sur rien. Cela permettrait aux compagnies fermieres (saur, generales des eaux...) de pouvoir facturer le traitement de l'eau de pluie des WC. En effet le calcul du traitement de l'eau est fait à partir du volume d'eau consommé (compteur d'eau à l'entrée). Remarque personnelle: Dans une installation classique sans récupération d'eau de pluie, cela ne dérange pas les compagnies fermieres de facturer le traitement de l'eau potable qui sert à arroser le jardin et qui ne part donc pas à l'egout...
Quant à la rentabilité, elle s'améliore et cela pour plusieurs raisons: le cout pour une installtion est de l'ordre de 4000€ (pose , fourniture et installation de la cuve de la pompe et des réseaux). 1/ l'eau coute de plus en plus cher 2/ un credit d'impot de 40% sur le cout du materiel sera appliqué à compter du 1/1/2007.
Ci-joint les textes officiels:
1/ POSITION SANITAIRE RELATIVE A L’UTILISATION DES EAUX DE PLUIE POUR DES USAGES DOMESTIQUES (extrait de la note du 2/3/6 du ministere de la santé):
1- l’utilisation d’eau de qualité dite « potable » doit être impérative pour les usages domestiques alimentaires (boisson, préparation des aliments et lavage de la vaisselle) et ceux concernant l’hygiène corporelle (lavabo, douche, bain et lavage du linge) ; 2- s’agissant de l’utilisation d’eau de pluie (non potable) pour d’autres usages (évacuation des excréta, lavage des sols et des véhicules, arrosage des espaces verts) : b) impliquant la présence d’un double réseau à l’intérieur des bâtiments, considérant : - les risques de piquage sur les réseaux d’eau non potable et d’interconnexion avec les réseaux d’eau potable, Compte tenu de ces éléments et dans l’attente des conclusions du CSHPF, l’utilisation d’eau de qualité dite « potable » doit être impérative pour ces usages domestiques dans des bâtiments d’habitation collectifs ou individuels. Dans le cas où l’intérêt d’un ou plusieurs projets serait démontré, l’eau de pluie collectée en aval de toiture ne pourra être utilisée que sous réserve de la mise en œuvre des dispositions minimales suivantes : · Séparation et distinction des différents réseaux. · Inviolabilité des installations d'eau non potable. · Disconnexion totale entre l'installation eau pluviale et le réseau eau potable si l'alimentation d'appoint est assurée par le réseau d'eau potable. è La Norme EN 1717 recommande, dans le cas d'un fluide présentant un risque biologique, une protection du réseau d'eau potable de type AA (surverse totale – cf. norme NF P43-020) ou AB (surverse avec trop plein – cf. norme NF P 43-021) ; · A l'intérieur des bâtiments, les points d'usage d'eau pluviale autres que l'alimentation des WC devront être placés dans des locaux techniques. Ils seront strictement différenciés et non utilisables par une personne non habilitée. (pictogramme, clef de commande spécifique). · L'entretien des installations : L’entretien est un point sensible de la prévention des risques sanitaires : il doit être contrôlé par un tiers agréé. · L’information / la traçabilité / les analyses de surveillance : · Création d'un chapitre spécial du carnet sanitaire pour ce type d'installation, · Plan, · Procédure de mise à jour.
2/ credit d'impot: La commission a d’autre part adopté un amendement visant à créer un crédit d’impôt de 40% destiné aux particuliers. L’objectif : favoriser l’installation de système de récupération des eaux pluviales, avec un plafond de 5.000 euros. Ce crédit d’impôt, dont le texte avait été adopté en première lecture au Sénat le 14 avril 2005, concernera les travaux payés entre le 1er janvier 2007 et le 31 décembre 2011. "
Esperant avoir été le plus complet possible.
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fb56
Nouveau Membre
3 réponses |
Posté - 21 sept. 2006 : 16:59:31
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Citation : Initialement entré par gallou
je fais construire en Bretagne et je souhaite récupérer l'eau de pluie pour le jardinage et les sanitaires, lavaage linge et vaisselle. quelqu'un s'est-il intéresser au matériel à mettre en oeuvre et au prix de revient? La "rentabilité" se fait sur combien d'années en moyenne? merci
Sur www.pluie.new.fr il y a un exemple en bretagne... |
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fb56
Nouveau Membre
3 réponses |
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thoveyrat
Pilier de forums
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