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Initialement entré par Lise

Bonjour, mon ami a travaillé gratuitement pendant un an pour une agence immobilière de Rennes, sous le statut d'agent commercial mais avec des horaires de permanence obligatoires à l'agence et un pseudo chef. Quand il a commencé à faire quelques petites ventes, ils ont commencé à se conduire mal avec lui, et quand il a décidé de ne plus faire sa permanence à l'agence ils lui ont dit verbalement de ne plus revenir et ils ont même changé les serrures, et ont dit à ses clients qu'il était parti. Il est allé aux prud'hommes demander la requalification mais ils se sont jugés incompétents. Il y avait pourtant bien un lien de subordinnation avec des horaires obligatoires, des ordres et une dépendance du fait qu'il se retrouvait dans l'incapacité totale de travailler après. Résultat c'est moi, une serveuse de 25 ans à l'époque qui faisait vivre mon ami pour qu'il rapporte un maximum de produits à ces rapaces avant qu'il se fasse jeter comme un malotru, l'esclave n'était pas assez docile, et c'est moi aussi qui ai payé un avocat pour réclamer justice, et ça n'aura servi qu'à se faire voler encore plus mais on ne lache pas et on dépose un contredit aux prud'hommes donc il faut repayer l'avocat. Si on n'obtient pas justice je fais un massacre, assez de ces négriers et de cette justice de classe. Si quelqu'un à des conseils pour obtenir réparation je suis preneuse.

lise

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Initialement entré par jacques de paris

En effet, il me semble que dans la vie d'un agent commercial, il est prévue qu'il fassent ces affaires n'importe où, et n'importe quand !
Où alors ce n'est plus un "contrat Agent commercial" ...

Donc dès lors, qu'il répond a une adresse, des horaires de bureaux, un règlement interne tels que des conditions pas mentionné dans le contrat de collaborations entre le futur agent commercial et la société, ce n'est plus, au sens de la loi un agent commercial, mais bien un salarié, et donc peut prétendre à des idemnités etc., etc.
Petit conseil, essayé de voire du côté de la cour de cassation ce qu'ils fait actuellement jurisprudences et revenez au T.I, sans avocat, puis si les juges botte en touches, ce qu'ils feront, faites appels avec un avocat dit "un avoué" et là plus de surprise, vous serez en face de la vérité ... Mais vous pouvez d'ores et déjà trouver des coupures de presses etc., sur des requalifications, c'est pas nouveaux, ou sinon aller aussi du côté de l'Urssaf, dans bien des cas, ils ont redressés les bretelles de quelqu'uns dans l'immobilier. Voilà je vous ais trouver plusieurs pistes. Mais une chose qui relève du sûre" c'est que vous êtes dans votre bon droit. Salut

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Initialement entré par Lise

Bonjour, mon ami a travaillé gratuitement pendant un an pour une agence immobilière de Rennes, sous le statut d'agent commercial mais avec des horaires de permanence obligatoires à l'agence et un pseudo chef. Quand il a commencé à faire quelques petites ventes, ils ont commencé à se conduire mal avec lui, et quand il a décidé de ne plus faire sa permanence à l'agence ils lui ont dit verbalement de ne plus revenir et ils ont même changé les serrures, et ont dit à ses clients qu'il était parti. Il est allé aux prud'hommes demander la requalification mais ils se sont jugés incompétents. Il y avait pourtant bien un lien de subordinnation avec des horaires obligatoires, des ordres et une dépendance du fait qu'il se retrouvait dans l'incapacité totale de travailler après. Résultat c'est moi, une serveuse de 25 ans à l'époque qui faisait vivre mon ami pour qu'il rapporte un maximum de produits à ces rapaces avant qu'il se fasse jeter comme un malotru, l'esclave n'était pas assez docile, et c'est moi aussi qui ai payé un avocat pour réclamer justice, et ça n'aura servi qu'à se faire voler encore plus mais on ne lache pas et on dépose un contredit aux prud'hommes donc il faut repayer l'avocat. Si on n'obtient pas justice je fais un massacre, assez de ces négriers et de cette justice de classe. Si quelqu'un à des conseils pour obtenir réparation je suis preneuse.

lise

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jacques

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faites appels avec un avocat dit "un avoué"

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