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Un arrêt de la chambre commerciale de la cour de cassation a condamné une banque pour un pret sur un fond de commerce a la réduction du taux d'interet à celui du taux d'intérêt légal pour avoir calculé le tableau d'amortissement sur 360 jours au lieu de 365 jours.
Quelqu'un a t-il des infos sur une possible analogie pour un pret immobilier à un particulier?
- une note d'explication sur cette problématique: http://www.afub.org/credit_TEG.PDF . Si vous consultez le site, vous serez encore plus déprimé en regardant toutes les pratiques déjà sanctionnées!
Autres exemples sur le site legifrance.gouv.fr (rubirque jurisprudence judiciaire):
Chambre commerciale Audience publique du 17 janvier 2006 Cassation
N° de pourvoi : 04-11100 Publié au bulletin
Président : M. TRICOT
REPUBLIQUE FRANCAISE
AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS
AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS LA COUR DE CASSATION, CHAMBRE COMMERCIALE, FINANCIERE ET ECONOMIQUE, a rendu l'arrêt suivant : Sur le moyen unique, pris en ses deux branches : Vu l'article 1907 du Code civil, ensemble les articles L. 313-1, L.313-2, et R. 313-1 du Code de la consommation : Attendu, selon l'arrêt attaqué, que M. X... a acquis un fonds de commerce au moyen d'un prêt d'équipement consenti par le Crédit lyonnais (la banque), le 18 février 1994 ; que l'acte de prêt mentionne un taux d'intérêt annuel de 9,78%, et un taux effectif global de 10,67 % ; que l'emprunteur a cessé de régler les échéances de ce prêt à compter du mois de novembre 1997 ; que la banque l'a alors poursuivi en paiement ; qu'il a contesté la validité de la stipulation de l'intérêt conventionnel au motif que cet intérêt n'avait pas été appliqué à une année civile de trois cent soixante cinq jours, mais à une année de trois cent soixante jours ;
Attendu que, pour se borner à ordonner la restitution des sommes trop perçues, l'arrêt retient que la banque a seulement commis une erreur dans l'application du taux d'intérêt en calculant les intérêts sur la base de 360 jours au lieu de l'année civile ; Attendu qu'en statuant ainsi, alors qu'elle avait constaté que la banque était redevable à son client d'une somme de 235,55 euros perçue par elle au titre des intérêts calculés par référence à l'année bancaire de 360 jours au lieu de l'avoir été par référence à l'année civile, ce dont il se déduisait que le taux d'intérêt indiqué n'avait pas été effectivement appliqué de sorte que les exigences légales relatives à l'indication préalable et par écrit du taux effectif global n'avaient pas été respectées, la cour d'appel, qui n'a pas tiré les conséquences légales de ses constatations, a violé les textes susvisés ; PAR CES MOTIFS : CASSE ET ANNULE, dans toutes ses dispositions, l'arrêt rendu le 29 avril 2003, entre les parties, par la cour d'appel de Paris ; remet, en conséquence, la cause et les parties dans l'état où elles se trouvaient avant ledit arrêt et, pour être fait droit, les renvoie devant la cour d'appel de Paris, autrement composée ; Condamne le Crédit lyonnais aux dépens ; Vu l'article 700 du nouveau Code de procédure civile, rejette la demande de M. X... ; Dit que sur les diligences du procureur général près la Cour de Cassation, le présent arrêt sera transmis pour être transcrit en marge ou à la suite de l'arrêt cassé ; Ainsi fait et jugé par la Cour de Cassation, Chambre commerciale, financière et économique, et prononcé par le président en son audience publique du dix-sept janvier deux mille six...
Citation :Initialement entré par IMMOBIO
Bonjour
Un arrêt de la chambre commerciale de la cour de cassation a condamné une banque pour un pret sur un fond de commerce a la réduction du taux d'interet à celui du taux d'intérêt légal pour avoir calculé le tableau d'amortissement sur 360 jours au lieu de 365 jours.
Quelqu'un a t-il des infos sur une possible analogie pour un pret immobilier à un particulier?
Un arrêt identique a été rendu le 14/02/2006 n° 04 11 887
En fait c'est, dans ces cas, le non-respect du TEG qui à l'origine de la sanction.
Il n'en reste pas moins que les calculs d'intérêts judiciaires sont couramment effectués sur la base de 360 jours pour imputer les paiements effectués sur une créance ayant fait l'objet d'une décision judiciaire. C'est l'utilisation de l'informatique qui exige cette pratique. Les banques pourraient en tenir compte pour indiquer un TEG correct