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Je n’ai pas la source de ces chiffres, ils sont donc donnés sous toutes réserves. Leur contenu m’est inconnu, tant géographiquement (mais en France) que par la nature des biens (anciens/neuf ? appartements/maisons ?), ce qui est assez fâcheux.
Ceci étant, restent les évolutions, qui sont étudiables :
- on constate une durée des phases de hausse allant de 7 années à 11 années, phase actuelle exceptée (9 ans acquis actuellement). - les phases de baisse (l’immo ça ne baisse jamais, c’est bien connu !) vont elles de 3 à 6 ans. La baisse 81-84 correspond à une crise générale sévère, ce qui n’est pas le cas de la suivante. La corrélation n’est donc pas stricte entre activité économique d’ensemble et immobilier. - les hausses sont plus progressives, plus douces, que les baisses dans le temps. Celle de la période 70-81 s’est effectuée en période de crise commençante, mais où l’inflation rendait les emprunts plus indolores que maintenant. - en revanche l’effet des baisses ne corrige pas les hausses précédentes : en ce sens, oui, « l’immo ça ne baisse jamais » mais sur un cycle complet. - l’immobilier se conçoit donc dans une autre perspective que d’autres placements, tant par sa durée, qui doit intégrer plusieurs phases, que dans son but (rendement dans le cas d’un investissement locatif, usage du logement sans loyer si résidence propre) qui assure un revenu non pris en compte dans ces chiffres. - la bulle actuelle a un caractère tout à fait nouveau (dans sa géographie aussi) par son ampleur. On ne peut dire encore si cela promet une correction plus sévère, ou si au contraire il y a eu un changement tel dans l’appréhension de l’investissement immobilier que la crise – sans doute inévitable - puisse en être par là moins forte.
Allez, maintenant la bagarre peut commencer. De quel côté va-t-on tirer le premier et avec quelle vision de mes propres positions ?