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Mon propriétaire a mis mon appt en vente (occupée) depuis décembre 2002 et mon bail n'arrive à échéance qu'en aout 2004. Les visites ont donc commencées (peu nombreuses) et ce, hors congé réglementaire (normalement donné en mars 2004), est-ce légal ? S'il existe un article de loi qui confirme que les visites ne doivent avoir lieu que dans le cadre du congé de 6 mois, quelqu'un peut-il m'en donner la référence ?
Le texte de référence est le a) de l’article 4 de la loi de 1989 (voir plus bas), qui fixe une règle par défaut.
Les visites pour vente peuvent intervenir tout au long du bail, le propriétaire ayant la faculté de vendre le bien occupé.
S’opposer à des visites pour vente de façon systématique et/ou exagérée pourrait amener le propriétaire à engager une action judiciaire pour entrave à son droit de mettre en vente.
Chercher à s’accorder à l’amiable (prise de RdVous préalable par téléphone sur appel émanant du proprio ou de son agence).
• Loi n° 89-462 du 6 juillet 1989 tendant à améliorer les rapports locatifs et portant modification de la loi n° 86-1290 du 23 décembre 1986 (texte via le Guide Juridique du site : http://www.universimmo.com/accueil/unijur010.asp )
Citation :Article 4
Est réputée non écrite toute clause :
a) Qui oblige le locataire, en vue de la vente ou de la location du local loué, à laisser visiter celui-ci les jours fériés ou plus de deux heures les jours ouvrables ;
b) Par laquelle le locataire est obligé de souscrire une assurance auprès d'une compagnie choisie par le bailleur ; c) Qui impose comme mode de paiement du loyer l'ordre de prélèvement automatique sur le compte courant du locataire ou la signature par avance de traites ou de billets à ordre ; d) Par laquelle le locataire autorise le bailleur à prélever ou à faire prélever les loyers directement sur son salaire dans la limite cessible ; e) Qui prévoit la responsabilité collective des locataires en cas de dégradation d'un élément commun de la chose louée ; f) Par laquelle le locataire s'engage par avance à des remboursements sur la base d'une estimation faite unilatéralement par le bailleur au titre des réparations locatives ; g) Qui prévoit la résiliation de plein droit du contrat en cas d'inexécution des obligations du locataire pour un motif autre que le non-paiement du loyer, des charges, du dépôt de garantie, la non-souscription d'une assurance des risques locatifs ; h) Qui autorise le bailleur à diminuer ou à supprimer, sans contrepartie équivalente, des prestations stipulées au contrat ; i) Qui autorise le bailleur à percevoir des amendes en cas d'infraction aux clauses d'un contrat de location ou d'un règlement intérieur à l'immeuble ; j) Qui interdit au locataire l'exercice d'une activité politique, syndicale, associative ou confessionnelle.
Par ailleurs, Néfer relève que même les locataires qui s'opposent systématiquement aux visites pendant un préavis de congé ne sont pas condamnés en pratique. Dans votre cas, vous avez donc à mon avis la plus grande latitude.
Je me souviens de cette assertion, qui ne semble pas correspondre exactement à la réalité et qui n'était d’ailleurs pas sourcée.
Un obstacle systématisé à la vente est susceptible de condamnation à dommages et intérêts si le proprio peut avancer qu’il a subi un préjudice de ce fait. Le tribunal apprécie.
La règle de bon comportement est de chercher un accord amiable entre bailleur vendeur et locataire, a fortiori bien sûr lors d’un congé pour vente.