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LeNabot
Pilier de forums
13018 réponses |
 Posté - 30 juil. 2007 : 14:23:35
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Le figaro
Le crédit à risques atteint l'Europe et déstabilise la banque allemande IKB.
L'effet domino se poursuit. Le malaise du crédit à risques se répand d'une place à une autre et gagne désormais le vieux continent. Dans un communiqué, la banque allemande IKB a annoncé sans ménagement ne pas remplir son cahier des charges. Elle a prévenu que son bénéfice d'exploitation sera « nettement » inférieur aux 280 millions d'euros attendus. La banque gérait notamment des portefeuilles immobiliers basés sur le subprime, un crédit octroyé à des ménages faiblement solvables. Ce matin sur le Dax, à la Bourse de Francfort, l'action chutait de 17.27%, à 17.77 euros, entraînant dans sa foulée tout le secteur bancaire. WestLb a également réduit son objectif de cours de 32 à 22 euros et sa recommandation de 32 à 18 euros. Pour l'analyste Phillipp HäBler, « la confiance des investisseurs est brisée. » La banque a aussitôt coupé des têtes, l'actuel patron, Stefan Ortseifen, sera remplacé par Günther Bräunig.
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Ramer dans le sens du courant a toujours fait rire les crocodiles (proverbe africain). |
Edité par - LeNabot le 30 juil. 2007 14:25:23 |
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florent1980
Pilier de forums
760 réponses |
Posté - 30 juil. 2007 : 16:49:57
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Citation :
Initialement entré par LeNabot
Le figaro
Le crédit à risques atteint l'Europe et déstabilise la banque allemande IKB.
L'effet domino se poursuit. Le malaise du crédit à risques se répand d'une place à une autre et gagne désormais le vieux continent. Dans un communiqué, la banque allemande IKB a annoncé sans ménagement ne pas remplir son cahier des charges. Elle a prévenu que son bénéfice d'exploitation sera « nettement » inférieur aux 280 millions d'euros attendus. La banque gérait notamment des portefeuilles immobiliers basés sur le subprime, un crédit octroyé à des ménages faiblement solvables. Ce matin sur le Dax, à la Bourse de Francfort, l'action chutait de 17.27%, à 17.77 euros, entraînant dans sa foulée tout le secteur bancaire. WestLb a également réduit son objectif de cours de 32 à 22 euros et sa recommandation de 32 à 18 euros. Pour l'analyste Phillipp HäBler, « la confiance des investisseurs est brisée. » La banque a aussitôt coupé des têtes, l'actuel patron, Stefan Ortseifen, sera remplacé par Günther Bräunig.
Apres les pays ou villages obscurs et inconnus touchés par la baisse, on va entrer dans une nouvelle phase pour le Paco Rabanne de l'immobilier, nous détailler les problèmes de toutes les banques obscures et inconnues de la place.
Aie aie aie, c'est dur quand meme...et pendant ce temps ca se vend encore comme des petits pains dans la Capitale mais ca bizarrement on evite d'en parler hein le nabot? |
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regsavoie
Contributeur senior
79 réponses |
Posté - 30 juil. 2007 : 17:35:41
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HSBC, c'est assez gros comme banque ?
Citation :
Le groupe bancaire, leader en Europe, a en outre enregistré une hausse de 63% de ses provisions pour créances douteuses à 6,346 milliards.
Citation :
Quant au directeur financier, Douglas Fint, il est revenu sur la hausse des créances douteuses, une évolution en ligne avec les attentes de la banque. Elle avait déjà émis un avertissement sur résultats au printemps.
Il a toutefois affirmé que la banque "approchait d'une période d'incertitude“. En cause: le grand nombre de ménages américains qui a pris des crédits immobiliers à taux fixe sur deux ans en 2005 et 2006 qui sortent de cette période et vont devoir souscrire à des prêts à des taux supérieurs, compte tenu de la hausse des coûts d'emprunts aux Etats-Unis.
Et il semblerait que d'autres "incertitudes" s'annoncent pour certaines banques bien françaises...
***Modérateur***
Intégration du lien perturbant l'affichage. |
Edité par - Laurent CAMPEDEL le 31 juil. 2007 11:28:48 |
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anille
Contributeur vétéran
125 réponses |
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LeNabot
Pilier de forums
13018 réponses |
Posté - 31 juil. 2007 : 05:35:00
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| Florent1980 ???? Ca vous va comme banques qui ne soient pas obscures ???? |
Ramer dans le sens du courant a toujours fait rire les crocodiles (proverbe africain). |
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florent1980
Pilier de forums
760 réponses |
Posté - 31 juil. 2007 : 09:53:44
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Citation :
Initialement entré par LeNabot
Florent1980 ???? Ca vous va comme banques qui ne soient pas obscures ????
C'est plus sexy qu'IKB ouaip! Maintenant des banques qui perdent de l'argent pour des mauvais investissements ca arrive. l'internationalisation des banques fait qu'elles investissent partout et donc c'est normal qu'une banque regionale allemande paume de l'argent a cause du marché US.
Je suis desole mais je vois pas le lien avec le krack francais.
Expliquez moi  |
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scaredas
Contributeur vétéran
191 réponses |
Posté - 03 août 2007 : 13:38:54
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AFP le 03/08/2007 12h50
Crise du "subprime": "pas de risque global" pour banques européennes, selon la Banque de France
La crise des prêts immobiliers américains à risques, dits "subprime", ne présente "pas de risque global" pour les banques européennes, selon l'éditorial du Bulletin mensuel de la Banque de France reçu vendredi.
"A ce jour, les informations disponibles laissent (...) penser que les montants en cause sont suffisamment limités pour ne pas présenter de risque global sur la solidité des bilans et des portefeuilles des banques", affirme-t-on dans cet éditorial, en faisant référence à l'Europe continentale.
Le subprime permet, aux Etats-Unis, de consentir des prêts immobiliers aux emprunteurs les moins solides.
"Ce marché s’est beaucoup développé ces dernières années, les émissions annuelles atteignant entre 500 et 600 milliards de dollars par an depuis 2004", rappelle-t-on dans l'éditorial.
Les difficultés du secteur ont conduit, au cours des cinq derniers mois, à la faillite de prêteurs spécialisés américains, et continuent de faire trembler les marchés.
Pour la Banque de France, en ce qui concerne l’Europe continentale, "le marché est différent et il n’y a guère d’équivalent au subprime américain".
"Il est possible que la profitabilité de certaines de ces institutions (des banques, ndlr) soit affectée, une partie significative de leurs revenus provenant d’activités de marché", juge-t-elle.
"Mais le niveau élevé de leurs fonds propres et de leur rentabilité générale devrait leur permettre d’absorber ces fluctuations", poursuit-elle.
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papanoel
Pilier de forums
1568 réponses |
Posté - 03 août 2007 : 13:58:07
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La banque de france n'est pas la pour créer la panique. Notre empereur omniprésent qui tire toutes les ficelles de l'état s'est prononcé pour le soutien du marché en prétenda&nt vouloir une france de proprios.
Ca va etre plus difficile maintenant pour les banques de titriser de la créance
de crédit immo. Les conditions d'éligibilité aux prets immo en terme de solvabilité devraient se durcir.
L'opinion a entendu les mots: "forte baisse du marché" ,"crise", "crack"...
les propos rassurants de la banque de france auront du mal a "contrebalancer" et a faire "dormir tranquille" |
Les professionnels de l'immo qui prétendaient
qu'il n'y aurait pas de baisse nous ont menti. |
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scaredas
Contributeur vétéran
191 réponses |
Posté - 03 août 2007 : 14:53:32
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"Forte baisse du marché", "crise", "crack"... comme vous dites Papanoel...
Et si "l'empereur(...) tire toutes les ficelles de l'Etat", il ne semble pas encore les tirer à l'international... voire en particulier le dernier paragraphe.
Entreprises & secteurs / Banque
La Tribune.fr - 01/08/07 à 12:34
Banque
BNP Paribas fait mieux que prévu au deuxième trimestre
Le groupe bancaire français BNP Paribas a enregistré au deuxième trimestre un bénéfice net en hausse de 20 % à 2,282 milliards d'euros et de 22,4% au premier semestre à 4, 789 milliards. Les résultats sont au dessus des attentes des analystes. Par ailleurs, BNP Paribas précise ne pas être directement impacté par la crise du "subprime" aux Etats-Unis.
A l'heure où les marchés du crédit traversent une zone de gros temps, BNP Paribas a tiré son épingle du jeu au deuxième trimestre et par conséquent au premier semestre de l'exercice 2007. Sur l'ensemble du premier semestre, le résultat net, part du groupe, s'élève à 4,789 milliards d'euros, en hausse de 22,4%. Les plus-values latentes ou différées du groupe s'élèvent à 4,9 milliards d'euros (contre 4,3 milliards un an plus tôt), dont 2,1 milliards pour BNP Paribas capital (1,7 milliard).
Au titre du deuxième trimestre, BNP Paribas a enregistré un bénéfice net en hausse de 20% à 2,282 milliards d'euros, soutenu par la banque de financement et d'investissement ainsi que par l'italienne BNL. Le produit net bancaire (PNB, équivalent du chiffre d'affaires) est lui en progression de 13,4% à 8,214 milliards d'euros.
Les deux chiffres sont, dans une moindre mesure qu'au premier trimestre, nettement supérieurs aux attentes des analystes, qui tablaient sur 2,064 milliards d'euros de bénéfice net et 7,830 milliards d'euros de PNB, selon le consensus établi par l'agence Reuters.
L'activité de banque de financement et d'investissement réalise un nouveau trimestre record, avec un PNB en croissance de 24% sur un an à 2,479 milliards d'euros, Le résultat avant impôt est lui en hausse de 27,7% à 1,244 milliard d'euros. Compte tenu du contexte, BNP Paribas précise que ce pôle n'est "pas directement impacté par la crise du subprime (les prêts immobiliers à risque, ndlr) aux Etats-Unis et n'a pas observé, à ce jour, de détérioration de son portefeuille de financement à effet de levier".
La crise des prêts immobiliers à risque aux Etats-Unis a, en effet, provoqué un resserrement des conditions de crédit, qui pourraient pénaliser, selon les analystes, les rachats par endettement (LBO), souvent initiés par des fonds d'investissement et financés par les banques. BNP Paribas indique que son portefeuille de financements à effet de levier est "largement diversifié, à 69% européen et presque exclusivement constitué de tranches senior (la partie la moins exposée au risque, ndlr)". La banque s'est félicitée de récolter les bénéfices d'une politique de risque vigilante. Le directeur général délégué, Georges Chodron de Courcel, a d'ailleurs précisé que la volatilité de la banque en la matière était très en dessous de la moyenne générale.
Second poumon de la croissance du résultat : la banque italienne BNL, acquise en 2006. Le PNB de BNL banca commerciale n'augmente que de 7,4% à 641 millions d'euros, mais en partie du fait d'une maîtrise des frais de gestion, qui n'augmentent que de 1,4%, le bénéfice avant impôt bondit lui de 56,7% à 163 millions d'euros.
L'intégration de BNL au sein du groupe BNP Paribas se poursuit à un rythme soutenu, 83% des synergies prévues pour 2007 ayant déjà été réalisées. Sur l'objectif de 480 millions d'euros de synergies d'ici 2009, 251 millions, soit 52%, ont déjà été dégagées.
Sur la banque de détail en France, particulièrement scrutée car c'est désormais le tendon d'Achille de toutes les grandes banques françaises, le PNB progresse de 3,5% hors effets PEL/CEL (reprise de provisions), à 1,496 milliard d'euros, contre 4,1% au premier trimestre. Le résultat avant impôt n'affiche lui qu'une hausse modeste de 2,7% à 456 millions d'euros. Le groupe revendique néanmoins un accroissement de 140.000 comptes à vue sur le premier semestre, soit près du double de la performance enregistrée sur la même période de 2006 (80.000). Les encours de crédits immobiliers ont également progressé de 11%.BNP Paribas souligne que la banque de détail en France, son coeur de métier, ne représente plus que 18% seulement du PNB des pôles opérationnels.
L'autre point faible du premier trimestre, à savoir la filiale américaine BancWest, se redresse légèrement, mais affiche un PNB en baisse de 10,2% sur un an au deuxième trimestre et un bénéfice avant impôt en retrait de 17,9%. BNP Paribas insiste également sur le fait que "l'exposition de BancWest au risque subprime est très faible: moins de 2% du portefeuille de crédits octroyés au public".
Un groupe devenu majoritairement international
Faute de l'avoir remarqué, "BNP Paribas est une entreprise majoritairement internationale" a souligné le directeur général de la banque, Baudoin Prot. Avec les acquisitions réalisées en Turquie, en Ukraine et plus récemment en Libye, la banque a renforcé sa position sur la scène internationale. Cette stratégie d'ouverture à l'extérieur a porté ses fruits : 56% des revenus sont réalisés hors de France et 75% de ceux générés par l'activité financement et investissement ne proviennent pas de l'hexagone. Le nombre d'agences situées hors de France a triplé en deux ans, passant de 574 à 1737 points de vente. En Turquie, TEB, la filiale turque de la BNP Paribas, qui comptait 70 agences, a ouvert 160 nouveaux locaux depuis 2005. Et, l'emploi hors de nos frontières a explosé : il est passé de 40 000 collaborateurs fin 2004 à 92 000 aujourd'hui. Baudoin Prot a ajouté être très attentif aux opportunités qui se présentaient en matière d'acquisitions même si la capacité du groupe à se développer de façon rentable est déjà bien établie.
latribune.fr
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quelboulot
Modérateur
6445 réponses |
Posté - 03 août 2007 : 15:36:02
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Ouais, Sacredas,
Mais après tout La Tribune ce n'est pas une référence par rapport aux propos de "papa m'a dit", enfin et pardon de la faute de frappe "papanoel".
Mais comme l'un comme l'autre semblent être dans la même mouvance... à quelques années de distance le premier des "papa" étant hors concours de nos jours. Citation :
http://www.jeuneafrique.com/jeune_afrique/article_jeune_afrique.asp?art_cle=LIN06023papamsirppa0
Papa m'a appris
FRANCE - 6 février 2001 - par DOMINIQUE LUPIN PARIS, FRANCE
Apres avoir été surnommé « Papa m'a dit », J.-C. Mitterrand peut désormais être appelé « Papa m'a appris ». On pourrait dire que papa lui a appris non seulement les magouilles, les trafics, les relations douteuses, les mensonges, mais aussi un sentiment d'impunité et une haine de la justice et des juges. Heureusement que les choses évoluent, que les mentalités changent. La Françafrique se meurt petit à petit, elle est dénoncée et jugée.
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Christophe
Location - Loi n°89-462 du 6 juillet 1989 - Décret n° 87-713 du 26 août 1987 - Décret n°87-712 du 26 août 1987 - Copropriété - Loi n°65-557 du 10 juillet 1965 - Décret n°67-223 du 17 mars 1967 |
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scaredas
Contributeur vétéran
191 réponses |
Posté - 03 août 2007 : 15:59:13
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Il semble en tout cas que la majorité des banques européennes ne soit pas si exposée au problème US. Peut-être faudrait-il encore mentionner les résultats récord du Credit Suisse, également plus que présent surles marchés internationaux...
Quand la DB perd 1.49 %, le Dax baisse pour sa part de 2.1 % indique l'article.
En ce moment (03/08/2007 - 15:45), le Dax perd 1.49 %, DB ne cède que 0.17 %
Deutsche Bank affiche un bon 2e trimestre malgré le subprime
mer 01 aou, 10h17
FRANCFORT (Reuters) - La crise du segment des crédits immobiliers à risque (subprime) aux Etats-Unis n'a pas empêché Deutsche Bank de réaliser le meilleur deuxième trimestre de son histoire, grâce à de solides revenus de trading.
La première banque allemande cotée a fait état mercredi d'un bénéfice net en hausse de 31% pour ces trois mois, à 1,8 milliard d'euros, et son président du directoire s'est dit certain de pouvoir poursuivre sur cette lancée en dépit de l'agitation actuelle sur les marchés du crédit.
"Certains segments des marchés du crédit pourraient continuer de connaître des turbulences", reconnaît Josef Ackermann dans le communiqué de résultats. "Notre business model (...) doit nous permettre de continuer à bien performer face à ces défis."
Ces déclarations n'ont pas suffi à rassurer les investisseurs et le titre Deutsche Bank perd 1,49% à 99,40 euros en début de séance à la Bourse de Francfort, dans un marché échaudé par l'annonce de nouvelles victimes du "credit crunch" - deux fonds australiens, un nouveau fonds de Bear Stearns et un établissement de crédit aux Etats-Unis.
L'institution bancaire surperforme toutefois l'indice Dax-30 des grandes valeurs allemandes qui cède 2,1% à ce stade.
Les analystes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un résultat de 1,56 milliard d'euros, après celui de 1,35 milliard au deuxième trimestre 2006.
Le produit net bancaire a progressé de 27% à 8,8 milliards d'euros, reflétant une croissance dans toutes les divisions.
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scaredas
Contributeur vétéran
191 réponses |
Posté - 03 août 2007 : 16:24:34
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Et encore un petit dernier.
Pour mémoire, la Hypo-Vereinsbank (HVB) avait été rachetée par Unicredit suite à de gros problèmes de trésorerie rencontrés dès 2004 (manque de couverture par rapport aux encours de crédit, résolu en partie par la vente de sa filiale de gestion de fortune Bank von Ernst SA à Coutts (Suisse) SA en octobre 2004).
Il semble que la situation actuelle soit un peu meilleure !
Unicredit a augmenté son bénéfice de 6,8% au 2e trimestre
03/08/2007-14h04
MILAN (Reuters) - La banque italienne UniCredit fait état contre toute attente d'une hausse de 6,8% de son bénéfice net au deuxième trimestre grâce à des réductions de coûts et une hausse d'activité dans toutes ses divisions.
Unicredit a déclaré un résultat net de 1,827 milliard d'euros alors que dix analystes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un résultat net en baisse à 1,635 milliard d'euros, contre 1,711 milliard un an plus tôt.
En outre, le bénéfice net du deuxième trimestre 2006 intégrait un gain exceptionnel de 367 millions d'euros issu de la vente de sa filiale croate Splitska.
Au deuxième trimestre sous revue, Unicredit a inscrit un gain exceptionnel de 70 millions d'euros provenant de la cession d'une part dans l'assureur Munich Re.
Le groupe transalpin, qui a racheté la banque allemande HVB en 2005, deviendrait le deuxième établissement bancaire de la zone euro par la capitalisation boursière une fois achevée son rachat de Capitalia pour 18 milliards d'euros, fusion approuvée le 30 juillet par les actionnaires.
"Ces résultats sont impressionnants", a déclaré un expert du secteur financier souhaitant garder l'anonymat. "Ils ont réduit les coûts de manière drastique et la qualité de leurs actifs s'est améliorée."
Le ratio coûts/bénéfice est tombé à environ 49% contre 54,2% il y a un an.
Le ratio Tier 1 est monté à 6,09% à la fin juin contre 5,82% à la fin 2006.
Le titre Unicredit gagne 1,23% vers 12h00 GMT, à 6,32 euros, à la Bourse de Milan.
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mitjayo
Pilier de forums
315 réponses |
Posté - 03 août 2007 : 16:38:11
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ce qui est formidable chez Papanoel, c'est sa maniere (finalement grossière) de chercher a rendre ses propres posts comme s'il s'agissait des faits averés et objectifs...
En gros : "objectivement la banque centrale est dirigée par un magouilleur, et donc objectivement, il ne dit que des betises, car objectivement, il est corrompu par la fnaim"...
ou encore a affirmer des dires completement erronnés comme si c'etait des faits avérés : "florent1980 est un AI, c'est un fait incontestable"
"l'immobilier chute, c'est un fait"...
Désolé, mais voici un veritable fait avéré : Papanoel, vous ne dites que des sornettes...
On pourrait meme croire que c'est LeNabot qui se cache derriere votre pseudo, car, j'ai le sentiment qu'il doit se sentir un peu seul ces derniers temps...
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scaredas
Contributeur vétéran
191 réponses |
Posté - 03 août 2007 : 17:12:18
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Pour en rester juste au sujet de ce fil, je veux bien admettre que quelques banques en Europe puissent avoir ou vont avoir des difficultés plus ou moins importantes liées au problème des crédits à risques.
Mais tenter de faire croire à une crise majeure destabilisant une à une les plus grandes banques européennes ("effet domino" cité dans l'article), j'estime que cela est tout à fait ridicule.
Pour ma part, je pense que le scénario/recommandations du dernier "Investor's guide" de l'UBS sont plus réalistes - désolé, c'est en anglais (encore un effet domino / nous sommes décidemment tous victimes des USA !)
Et sur ce, je souhaite un excellent week-end à toutes et tous !
12 UBS investor’s guide 3 August 2007
Equities: Strategy
Subprime woes provide new opportunities
During the last few weeks, concerns about subprime mortgage markets in the
US have led to a decline of global equity markets of around 5%. This implies that
more than 1500 billion USD in market value has been annihilated. We think this
is overdone given the probably limited impact of the subprime crisis, and use
this opportunity to increase our equity overweight, focused on EMU and Swiss
stock markets.
Equities: Strategy
We think that concerns about the US and
global credit markets are currently overdone.
Even though it is hard to estimate the
final impact of the increased default rates
in US mortgages on financial companies’
earnings, we think that markets have overreacted.
In our base scenario we calculate
that the losses due to current stress in credit
markets should not exceed 5% of earnings
for US financials and probably less for European
financials. Compared to these numbers,
a sell-off of global equities and financial
stocks as we have seen appears overdone,
in our view (see also the focus text on
page 6 of this publication).
Valuations have become attractive
and Financials should recover
Looking at the risk premia that can be
earned by investing in equities as compared
to bonds we see that declining real bond
yields have made risk premia more attractive
in the US, EMU and Switzerland (Fig. 2).
For Financial stocks the situation looks even
more interesting as they have suffered more
than other sectors in reaction to events in
US subprime and credit markets in general.
Use the opportunities to increase
overweight in equities
Given the solid earnings outlook and the
attractive risk premia we thus advise clients
to increase their overweight in equities vs.
bonds globally. Furthermore, we focus our
equity overweight on markets that show
the most attractive valuations and have suffered
the most in the recent market correction.
We thus increase our EMU overweight
to a regular overweight and introduce an
overweight position in Swiss equities. The
Swiss stock market is concentrated in globally
diversified financial stocks, health care
stocks and consumer staples which are
among our most favoured sectors. Swiss
equities in the past three months have
underperformed global stock markets so
that excess returns that can be expected in
this market are now even higher than for
the EMU. On the other hand, we have
increased the underweight in Australia and
Canada. We think a recovery of the global
equity market should lead to an underperformance
of these commodity-related markets.
Regarding style, we have a preference
for larger companies (large caps) over small
and mid-sized companies. We think large
companies are better positioned to perform
in a more mature cyclical environment,
which is characterized by tighter liquidity
conditions, higher volatility, and more normal
(e.g. slower) overall earnings growth.
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Edité par - scaredas le 03 août 2007 17:15:52 |
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LeNabot
Pilier de forums
13018 réponses |
Posté - 15 oct. 2008 : 12:41:50
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Citation :
Initialement posté par scaredas
Il semble en tout cas que la majorité des banques européennes ne soit pas si exposée au problème US.
Encore un Paco Rabanne. |
Ramer dans le sens du courant a toujours fait rire les crocodiles (proverbe africain). |
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scaredas
Contributeur vétéran
191 réponses |
Posté - 15 oct. 2008 : 14:32:53
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C'est vraiment ridicule, ceci date d'août 2007.
Depuis quand prévoyez-vous, vous-même, un écroulement de l'immobilier ? (Qui , soit dit en passant, n'est toujours pas visible dans mon secteur !!)
C'est clair que tout le monde finit par avoir raison, avec cette manière de faire.
Notez bien ceci : (et c'est de moi) "Les marchés boursiers vont retrouver un jour leur niveau de fin 2007 - moment où les banques européennes n'étaient pas encore affectées par la crise actuelle..."
Je peux même prédire une victoire des Démocrates aux USA ... même si elle n'arrive pas cette année, vous verrez, je finirai bien un jour par avoir raison !
Par contre, je suis incapable de visualiser un calendrier à la fin de la bêtise humaine...
Si seulement il pouvait également y avoir même un mini-krach, quel soulagement quelques instants !
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LeNabot
Pilier de forums
13018 réponses |
Posté - 15 oct. 2008 : 14:58:15
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Citation :
Initialement posté par scaredas
Par contre, je suis incapable de visualiser un calendrier à la fin de la bêtise humaine...
Normal. Vous y figurez tous les jours. |
Ramer dans le sens du courant a toujours fait rire les crocodiles (proverbe africain). |
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scaredas
Contributeur vétéran
191 réponses |
Posté - 15 oct. 2008 : 15:09:07
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Ah, c'est pour cela.
Merci de me faire partager votre expérience dans le domaine ! |
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[Le Figaro] Le crédit à risques atteint l'Europe.
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