****JavaScript based drop down DHTML menu generated by NavStudio. (OpenCube Inc. - http://www.opencube.com)****
ATTENTION : Le Forum
dUniversimmo
a migré sur une nouvelle
plate-forme, sécurisée, et à la pointe de ce
qui se fait en matière de forums de discussion. Pour
découvrir le nouveau Forum : cliquez
ici - découvrez aussi le "Portail"
de cette nouvelle plate-forme Petite contrainte dont nous vous demandons de ne pas nous tenir rigueur,
liée à notre souhait de nettoyer un fichier de membres
alourdi par le temps :
la nécessité, si vous étiez déjà
enregistré(e) dans lancien forum, de vous ré-enregistrer
sur le nouveau , si possible en conservant le même identifiant
(pseudo). Ce
forum est désormais fermé, mais il restera consultable
sans limite de durée à lurl : http://www.universimmo.com/forum Les
adresses et les liens que vous avez pu créer vers ses sujets
restent bien entendu totalement opérationnels.
Par contre tous les nouveaux sujets doivent être
créés sur la nouvelle plate-forme. Pour
toutes remarques, questions ou suggestions concernant cette migration,
nous vous proposons un sujet dans la section « A
propos de ce forum »
Bon surf
! Léquipe Universimmo
Il est recommandé pour apprécier le site d'avoir une résolution d'écran de 1024x768 (pixels/inch) ou Plus..
Coup de froid sur l'immobilier en Grande-Bretagne [ 20/11/07 ]
Ralentissement économique, taux d'intérêt élevés et crise du financement pourraient bien finir par affecter l'immobilier résidentiel britannique. « Les prix de l'immobilier devraient rester stables l'an prochain après avoir crû de 9,7 % jusqu'ici cette année », estime Nationwide, l'un des principaux prêteurs hypothécaires de Grande-Bretagne. Les premiers signes de tassement sont visibles. « Les vendeurs ont réduit de 0,7 % ce mois-ci leur prix de mise en vente de leur bien », précise une étude de Rightmove, le premier site immobilier en ligne outre-Manche, qui table également sur une stabilité du marché l'an prochain : « Nous attendons de nouvelles baisses de prix en décembre et dans la première partie de 2008, avant qu'un environnement financier plus stable et que la demande sous-jacente ne permettent de relancer les prix sur la seconde moitié de l'année. »
Principal motif de cette stagnation attendue - la première depuis dix ans -, la capacité financière des acheteurs se réduit comme peau de chagrin, sous l'effet conjugué du resserrement monétaire, de la politique restrictive des banques et de l'envolée du prix des logements. Avec des taux directeurs à 5,75 %, la Banque d'Angleterre maintient le loyer de l'argent au plus haut des pays du G7. Dans le même temps, l'explosion des prix de l'immobilier ces dernières années, nettement supérieure à la croissance des salaires, rend l'effort quasi démesuré pour de nombreux primo-accédants. Pour ces derniers, selon Nationwide, les mensualités du crédit immobilier représentent désormais 50 % du revenu disponible, contre moins de 20 % en 1996.
En 2007, notamment, la demande avait été soutenue par des investisseurs soucieux de louer. Mais la chute des rendements immobiliers, à peine supérieurs aux coûts d'emprunts, est en passe de faire disparaître cette clientèle. De nombreux programmes de construction sont suspendus. « Le marché est plus difficile », reconnaît Mark Clare, le directeur général de Barratt Developments, le numéro deux de la construction en Grande-Bretagne, qui a vu ses ventes de maisons individuelles chuter de 14 % depuis le mois de juillet.
Au final, les spécialistes prédisent un coup d'arrêt, mais pas un effondrement du marché immobilier outre-Manche, à l'image de ce qui se passe aux Etats-Unis. « La Grande-Bretagne, comparée à l'Irlande, aux Etats-Unis ou à l'Espagne, n'a pas eu un développement aussi fort en matière de construction résidentielle en réponse à la hausse des prix de l'immobilier de ces dernières années », souligne Fionnula Earley, responsable des études économiques de Nationwide. L'effet rareté explique ainsi la résilience du marché londonien, qui continue de progresser. Si les bonus de la City seront moins élevés à Noël, il restera toujours des amateurs pour s'offrir un « sweet home » à 1,6 million de livres à Chelsea ou Kensington, pied-à-terre qui valait 1 million il y a un an, selon les valeurs moyennes compilées par Rightmove. ISABELLE CHAPERO
Ramer dans le sens du courant a toujours fait rire les crocodiles (proverbe africain).
Ca y est j'ai accepté mon offre de prêt. J'attends la deuxième. Peut-être que je n'aurais pas acheté si on était en Grande Bretagne ? Mais bon, on n'y est pas.
Ca y est j'ai accepté mon offre de prêt. J'attends la deuxième. Peut-être que je n'aurais pas acheté si on était en Grande Bretagne ? Mais bon, on n'y est pas.
Tiens vous me donner une idée. Je vais aller acheter quelques saucisses pour mon bichon. Il parait que c'est une valeur sure.
Ramer dans le sens du courant a toujours fait rire les crocodiles (proverbe africain).