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Huit heures pour vendre 70 logements sur Internet

Nathalie Bougeard (Rennes)
27/11/2007 | Mise à jour : 09:38 | .

Hier, Céléos a vendu ses appartements entre 90#8202;000 et 250#8202;000 euros. Plus de mille internautes ont participé à cette opération. (Photo DR)
Le promoteur Céléos a organisé hier une vente flash d’appartements.
Ils sont partis comme des petits pains. Lancée hier matin quelques minutes après minuit, la vente sur Internet de 69 appartements (entre 90#8202;000 et 250#8202;000 euros) et de 10 terrains constructibles, tous situés dans l’Ouest, a dépassé toutes les espérances de son initiateur. «À 8 heures lundi matin, il y avait une option sur chaque appartement et nous comptions plus de 1 000 internautes en liste d’attente» , se félicite Gilles Cadoudal, PDG du promoteur immobilière breton Céléos (134 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2006). Dès que la vente a été close, une équipe d’une quarantaine de commerciaux

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Le promoteur immobilier Céléos, basé à Saint-Brieuc, organise, du 26 au 28 novembre, une "vente flash" de terrains à bâtir et de logements neufs sur plan.

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Jusque-là, rien que de très banal, mais les acquéreurs qui se décideront au cours de ces deux jours, en se connectant sur le site Achatvip.com, se verront, en outre, offrir une voiture, une Citroën C1, d'une valeur d'environ 8 000 euros. Les lauréats qui achètent pour louer peuvent aussi choisir de se faire offrir les frais de gestion du logement par Céléos et l'assurance couvrant les loyers impayés, pendant neuf ans.

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Moi qui parlais d'une ristourne de 1000€ sur 755000, et vous qui venez avec des ristournes de 8000 sur 90 à 250000

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Vous pensez que les 8000€ ne sont pas répercutés?

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Je doute de vos talents d"investisseurs aux EU.

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notamment à La Baule

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Initialement entré par Prados

Eh oui, certains AIs se décident à offrir la Taxe Foncière 2008: http://www.seloger.com/263050/31648117/detail.htm

PS: C'est, à mon humble avis, une très saine proposition. D'autant plus que les 1000€ de réduction ne sont en réalité qu'une broutille de la commission.

Mais enfin, c'est un signe. Les temps semblent devenir plus durs.

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Voulez-vous que je vous propose ce que j'ai proposé à vos amis Bibix, Phillag et René Aubry l'année dernière?

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Avez-vous réellement regardé le lien? et la maison correspondante?

100m2 sur 200m2 de terrain (donc reste 100m2 de libre .... l'allée pour le garage je suppose), mitoyenne d'un coté semble-t-il, et vue sur la maison d'en face, avec peut-être la grand rue de l'autre coté pour 755000€. Et ce que j'entrevois de l'intérieur ......

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C'est, à mon humble avis, une très saine proposition.

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http://www.capital.fr/actualite/Default.asp?source=FI&numero=66090&Cat=IMM&numpage=2

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Le temps des promesses de vente signées en un seul clic est-il venu ? Pas tout à fait. Car l’internaute intéressé par une acquisition dépose uniquement une option en ligne, accompagnée d’un règlement de 300 euros. Le promoteur s’engage ensuite à recontacter l’internaute dans un délai de douze heures, pour engager un processus de vente au sens traditionnel du terme. « Le client pourra obtenir de plus de renseignements sur le lot qui l’intéresse. S’il est convaincu, il rencontrera un de nos agents dans un point de vente. Et si ce n’est pas le cas, il lui suffira d’annuler son option pour récupérer ses 300 euros », précise Véronique Bosc, de Céléos. Les internautes qui se seront inscrits en liste d’attente sur le même lot, moyennant dix euros, seront alors contactés.

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Initialement entré par Prados
Je ne parlais en aucun cas du bien à vendre

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Initialement entré par papanoel
... Peu a peu les acheteurs prennent conscience du retournement de marché ( malgrès les efforts fournis par ....., Ankou...dans leurs contributions modestes pour le soutient des prix du marché ).

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Initialement entré par papanoel
....car personne ne voudra plus etre le dernier pigeon assez con pour acheter juste avant les soldes.

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dites moi prados, vous me paraissez bien naïf.
Vous pensez que les 8000€ ne sont pas repercutés?
Attention aux leurres......

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dimanche 31 août 2008
Le groupe Céléos touché par la crise immobilière

La crise de l'immobilier a entraîné une chute de 80 % du cours de l'action Céléos.
Le groupe immobilier breton a demandé la suspension de la cotation de son titre à la Bourse de Paris. Les salariés, inquiets, attendent les décisions de la société cette semaine.
« En raison de la réglementation boursière, je ne peux rien vous dire... Sinon, c'est le délit d'initié. Le groupe fera une déclaration la semaine prochaine. » Gilles Cadoudal, fondateur et PDG du groupe Céléos, dont le siège est à Plérin (Côtes-d'Armor), l'une des plus belles réussites économiques bretonnes de ces dernières années, a demandé vendredi matin de suspendre la cotation de son titre à la Bourse de Paris. Cette suspension durera jusqu'à « la communication », selon la formule consacrée, de la Direction dans les jours à venir.
« Des stocks d'appartements invendus »
Depuis sa création en 1996, le groupe de construction et de promotion immobilière a connu une croissance très rapide. Mais il n'est pas épargné par la crise qui secoue le marché l'immobilier. En France, les ventes de logements neufs ont reculé de plus de 33 % par rapport au deuxième trimestre 2007. Selon les statistiques du ministère de l'Écologie et du Développement durable, elles ont reculé dans toutes les régions. Cette crise a pesé sur le titre Céléos, la holding du groupe, qui a perdu plus de 80 % depuis un an. Lors de son introduction, il y a deux ans, le titre s'affichait pour sa première cotation 15,40 €. Depuis son sommet historique à 20,50 € en juin 2007, le titre n'a jamais cessé sa dégringolade, jusqu'à atteindre 2,86 € jeudi soir.
La success story démarre en 1996 avec BC Partner's. En 1999, la société compte une vingtaine de salariés et enregistre 15 millions d'euros de chiffre d'affaires. Elle réalise alors un joli coup : l'acquisition de l'ancienne Banque populaire d'Armorique, à Plérin, qu'elle transforme en un centre d'affaires au bord de la RN12.
Jusqu'en 2002, l'activité se cantonne dans les Côtes-d'Armor. Une agence de promotion est créée à Landivisiau. Succès immédiat. Le modèle est donc reproduit à Lorient, puis Dinan. En 2004, le groupe construit 550 logements neufs. Il crée également des filiales. Si bien qu'en 2005, une holding voit le jour pour chapeauter l'ensemble. Céléos est né. Depuis les ouvertures d'agences se poursuivent : Vannes, Vire, Rennes, Nantes, Lisieux, Paris...
L'an dernier, Céléos a racheté Saint-Jean immobilier, promoteur en Rhône-Alpes et Provence. Aujourd'hui, le groupe totalise 27 espaces de promotion. En 2007, 1 800 logements ont été vendus. Céléos affiche alors un chiffre d'affaires de 202 millions contre 134 millions d'euros en 2006, en hausse de près de 51 % ! Une réussite saluée par Challenge. Dans son numéro de juillet, le magazine économique classe le groupe immobilier briochin dans les 500 fortunes professionnelles françaises.
Après ces années de croissance, le ciel s'assombrit. Aujourd'hui, le groupe emploie un peu moins de 500 salariés, principalement des cadres et des employés supérieurs. Depuis quelques mois, l'effectif a commencé à fondre : des périodes d'essais n'ont pas été renouvelées et des salariés, sentant la crise, sont partis.
Ces dernières semaines, des craintes du personnel se sont exprimées. Un plan social entraînant des licenciements de 100 à 200 collaborateurs, voire plus, a été évoqué par des salariés qui attendent les décisions. « On n'en sait rien, affirmait hier un cadre. Mais ça va être important. Moi, je sais que j'ai perdu mon boulot. Les ventes ont commencé à baisser au début 2008. Il reste des stocks d'appartements invendus et des programmes de commercialisation qui n'arrivent pas à se vendre. On n'échappe pas à la crise. C'est d'autant plus difficile pour un groupe régional qui n'a pas les mêmes assises que ses concurrents qui ont une dimension nationale. »
Jean-Yves HINAULT.

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