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Inflation : 2% en moyenne depuis 2000 ....2.4 prévu jusque 2012
Smic : +35%
Salaire médian : 1250 euro en 2000 , 1600 en 2007 ..... (+22%)
Tous ces chiffres veulent tout et rien dire à la fois sur les prix de l'immobilier de nos jours , à part peut etre que +100% est enorme et que la surchauffe des prix est dût à la rareté du foncier constructible et donc sa forte hausse...
Les prix baisseront ou stagneront quelques années pour rattraper un niveau de rentabilité correcte (d'ici 2010 si les prix stagnent d'apres des analystes).
Mais pour ceux qui croient au krach , je voudrais leur faire comprendre que l'on ne reviendra jamais aux prix de 2000 et donc que la baisse de 50% dont ils parlent est purement utopique ....
L'immobilier reste une valeur prisée , sure , mais chere .... une baisse de 20% serais une correction saine mais une baisse de 10 à 15% aura deja relancé le marché des primos bloqués par la hausse des taux et durcissement des conditions d'emprunt (apport requis)
Vu ce qui precede , l'achat est aujourdhu risqué pour du locatif ou un investissement Court terme , mais sur le long terme il est evident que cela reste un investissement sur. Le francais inspire à vivre en maison avec un jardin , il achetera dès qu'il pourra se payer ce qu'il veut , il ne regardera pas la rentabilité locative , ni si aurait fait une meilleure affaire dans 3 ans ....
Mais pour ceux qui croient au krach , je voudrais leur faire comprendre que l'on ne reviendra jamais aux prix de 2000 et donc que la baisse de 50% dont ils parlent est purement utopique ....
Utopique ? Dois-je vous rappeler qu'entre 1991 et 1998, l'immobilier parisien a perdu près de 45 % de sa valeur ?
Ramer dans le sens du courant a toujours fait rire les crocodiles (proverbe africain).
Citation :que la surchauffe des prix est dût à la rareté du foncier constructible et donc sa forte hausse...
Je suis prêt à vous croire, mais pouvez-vous étayer cette affirmation ?
Pour moi, la surchauffe des prix vient :
- de l'abondance des liquidités provoquée par la baisse des taux - de comportements spéculatifs, y compris chez les particuliers, encouragés par les aides fiscales (Robien, Borloo...)
Votre explication sur la rareté du foncier constructible s'applique au neuf, pas à l'ancien. Or on a pu constater que l'ancien avait dans beaucoup de région rejoint les prix du neuf, ce qui prouve le caractère spéculatif et malsain de la situation actuelle... et démonte votre théorie, au passage.
Citation :Votre explication sur la rareté du foncier constructible s'applique au neuf, pas à l'ancien. Or on a pu constater que l'ancien avait dans beaucoup de région rejoint les prix du neuf, ce qui prouve le caractère spéculatif et malsain de la situation actuelle... et démonte votre théorie, au passage.
Et si, justement, c'était la rareté du foncier qui fait monter le prix de l'ancien ?
Quelle théorie est donc démontée ?
Mais considérons que ce n'est que l'une des causes de cette flambée des prix.
La comparaison 2000-2007 a le mérite de mettre en perspective la situation de l'immobilier. Intéressant !
Sur l'analyse, assez d'accord avec le problème du foncier. Si ce n'est pas le seul critère, il est tout de même important.
Quant à la spéculation, il suffit de voir ce qui se passe dans certaines villes où la construction a dépassé les attentes du marché pour comprendre qu'elle est réelle et pose problème.
Citation :Et si, justement, c'était la rareté du foncier qui fait monter le prix de l'ancien ?
Je m'exprime mal sans doute, mais pour moi, le foncier, c'est du terrain à bâtir.
La rareté de ces terrains n'impacte pas l'offre de logements anciens, me semble-t-il. En revanche, le prix du neuf dépend pour partie (1/3 je crois) du prix du terrain qui, rare, devient cher.
On peut aussi dire qu'une pénurie de l'offre de logements à vendre a fait monter les prix de l'ancien. C'est explicable, mais à mon avis c'est un facteur de la hausse moins déterminant que l'abondance de liquidité provoquée par la baisse des taux.
Je complèterai si vous le voulez bien par le fait que :
- Le foncier disponible dans les agglomérations et même en périphérie est rare donc cher.
- Qu'en conséquence les constructions neuves sont "rares et chères". Et ce toutes proportions gardées, sauf opérations avec habitat social sur des terrains comme par exemple de nombreux terrains militaires cédés aux villes avec opérations mixtes (social financé en partie par plus onéreux/luxueux).
- Que fait l'ancien dans tout cela. Il monte ! même si la hausse n'est plus à deux chiffres.
Et bien, d'après ce que je peux en constater auprès de moi et dans mon entourage plus éloigné il devient la seule possibilité de se rapprocher des centre villes.
Je constate, mais je ne pense pas être le seul, que les personnes d'une certain âge ont une forte tendance à abandonner leurs villas + ou - luxueuses de banlieue pour venir ou revenir en centre ville.
Pour les actifs, après l'euphorie de la maison, le jardin, les enfants heureux etc... Viens aussi la lassitude/le coût et surtout la durée des transports, en commun ou non, et le retour également vers les centre villes.
Pour ces motifs/raisons que rien dans un avenir proche ne changera vraiment... je crois que l'immobilier de ces secteurs baissera éventuellement, mais pas dans des proportions aussi énormes qu'annoncées par certains.
Reste à se mettre d'accord sur les villes concernées et ne me citez pas Montauban qui fait les choux gras de certains... Là ou la frénésie de défiscalisation acquise sans visiter à 800 kms de distance existe.. la chute sera plus sévère c'est certain.
Et, bien évidemment, je n'évoque pas Paris, je me cantonne aux villes/agglos que je connais de plus de 100 000 habitants