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Citation :Selon les chiffres de la Banque de France, la production de crédits immobiliers a baissé de 5,4 %, à 146,1 milliards d'euros, en 2007, marquant des paliers à la baisse successifs. Après une progression en début d'année, elle est passée de 155,3 milliards d'euros en février à 149,2 milliards en juillet, puis 147,7 milliards en octobre en cumul sur douze mois.
Que chaque homme divise son argent en trois, qu'il investisse un tiers dans la terre, un autre dans les affaires et qu'il garde le dernier tiers en réserve.
Citation :Pourquoi le crédit immobilier n'attire plus les français ?
Alors que les banques assurent ne pas avoir durci leurs conditions d'accès au crédit immobilier, le constat dressé par la Banque de France est pourtant clair : les demandes de financement diminuent. Explications...
Répondant à un questionnaire de la Banque de France, plus de 90% des banques et autres organismes de crédit (93,9% exactement) affirment soumettre leurs clients souhaitant souscrire un prêt immobilier aux mêmes conditions d'octroi qu'auparavant. Alors que la plupart d'entre elles avouaient être tentées par une telle mise en place, le durcissement des garanties requises pour contracter un emprunt n'a donc pas eu lieu. Pourquoi alors le nombre de crédits ne cesse de diminuer depuis plusieurs mois ?
L'enquête de la Banque de France auprès des banques révèle en effet que les demandes effectuées par les particuliers afin de souscrire un crédit immobilier (il s'agit ici de demandes ayant obtenu l'accord de l'établissement prêteur) sont en régression constante depuis le début de l'année 2007. Affichant une légère hausse en début d'année, le nombre d'emprunts attribués aux particuliers n'a eu ensuite de cesse d'enregistrer des baisses successives : le cumul des fonds distribués aux emprunteurs s'élevait à 155.3 milliards d'euros en février 2007, à 149.2 milliards en juillet, à 147.7 milliards en octobre pour enfin clôturer à 146.1 milliards d'euros (soit une baisse sur l'année de 5,4%).
La hausse des taux du crédit immobilier enregistrée tout au long de l'année 2007 constitue évidemment la principale cause de la diminution d'emprunts accordés. Avec une augmentation annuelle de 0,65%, bon nombre de ménages jusqu'alors éligibles au prêt immobilier se sont vu forcés soit de revoir leurs prétentions à la baisse, soit d'augmenter la durée de leur emprunt, soit d'abandonner toute idée de crédit. « Cette seule hausse conduit à exclure 12 % des dossiers finançables », explique Geoffroy Bragadir, le fondateur du courtier en ligne Empruntis.com. Un ménage dont le revenu mensuel net s'élevait à 3.000 euros, souhaitant acquérir un logement en souscrivant un prêt immobilier d'un montant de 200.000 euros au taux de 4,3% sur 22 ans, voit la hausse des taux d'intérêt augmenter considérablement son taux d'effort (38%). Les banques refusant souvent tout crédit au-dessus d'un taux d'effort de 30 voire 33%, le couple devra dès lors soit emprunter le même crédit immobilier mais à un taux de 5,5% sur 50 ans, soit amputer le logement convoité de 12% de sa surface.
Une seconde cause de la diminution des octrois de crédit est la volonté des particuliers eux-même à souscrire un prêt immobilier. Qu'il s'agisse d'une conséquence directe ou non de la hausse des taux d'intérêt, les banques ont constaté une réduction constante des demandes de dossiers parallèlement à une augmentation de l'apport personnel dans les différentes transactions. Cette situation, estime le responsable de l'Observatoire Crédit Logement-CSA, Michel Mouillart, est essentiellement due au fait que « plus de la moitié des acheteurs immobiliers aujourd'hui sont d'anciens propriétaires ».
Les professionnels du crédit restent toutefois confiants et ne prévoient pas dans l'immédiat de modifier leurs conditions d'octroi. Michel Mouillart précise qu'il n'y a « pas d'inquiétude à avoir sur la demande. Si l'offre suit, le marché se comportera bien. »
Via lesechos.fr
Source : Le Pret Immobilier ( Hier, 00h00 )
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