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Citation :Deux des 6 banques européennes ayant passé le plus de dépréciations en 2007 sont françaises, derrière les grands établissements suisses. Les plus affectées en Europe avaient investi dans la banque de financement et d'investissement.
Si les banques françaises semblaient encore relativement préservées il y a quelques mois, leur exposition à la crise a été mise à nu avec la publication des résultats annuels de l'ensemble des établissements européens, qui s'est achevée la semaine dernière. Et elles apparaissent finalement au moins aussi exposées que leurs pairs, si l'on se réfère aux montants de dépréciations liées à la crise passés dans les comptes 2007. Au classement des banques cotées les plus affectées, sans être les plus fragilisées, les banques de l'Hexagone n'en sont pas moins à l'honneur. Très présentes dans les métiers de banque de financement et d'investissement (BFI, les banques françaises ont en effet pris de plein fouet les effets des turbulences sur les marchés de crédit, comme leurs concurrentes britanniques ou allemandes. D'abord par le biais de leurs activités de titrisation et de structuration de crédit, puis par leur exposition au rehausseurs de crédit en difficulté. Elles ont néanmoins bénéficié de leur exposition relativement faible aux financements à effet de levier. Au final, deux des six banques les plus exposées - et trois sur les dix premières - sont des établissements français. La première, qui figure à la troisième place du palmarès, est le Crédit Agricole, via sa banque de financement et d'investissement Calyon, qui a dû passer 4,1 milliards d'euros de dépréciations avant impôts, soit 2,7 milliards d'euros nets. Si l'on exclut la perte de trading de janvier, Société Générale arrive ensuite, au sixième rang, avec un impact de 2,5 milliards d'euros sur les comptes de 2007. Natixis, que l'on pensait très exposé par ses activités de titrisation aux Etats-Unis, n'a eu à déprécier « que » 1,7 milliard d'euros en prenant en compte la perte sur le rehausseur CIFG. BNP Paribas, la moins fragilisée de toutes, arrive, pour sa part, assez loin dans le classement, à la onzième position, avec environ 1,3 milliard d'euros de dépréciations avant impôts. C'est la seule des quatre banques françaises à avoir maintenu une contribution positive de sa BFI l'an dernier. Un lourd tribut Les autres grandes banques européennes n'ont pas été épargnées, les banques suisses étant sans conteste les plus secouées. Elles se sont retrouvées avec des volumes colossaux d'actifs adossés à de la dette hypothécaire américaine, invendables. UBS bat ainsi tous les records en Europe, avec plus de 18 milliards de dollars de provisions, nageant dans les mêmes eaux que les banques américaines les plus affectées. Les banques britanniques ont aussi payé un lourd tribut avec des dépréciations de 14 milliards de dollars pour HSBC du fait de sa position aux Etats-Unis, de 5,6 milliards de dollars pour Royal Bank of Scotland (RBS) et de 3,3 milliards de dollars pour Barclays. Les établissements épargnés sont finalement ceux qui ont choisi de rester à l'écart des métiers de BFI, les plus frappés par la crise. Ainsi les banques de détail italiennes ou espagnoles. Seule exception : Fortis, contraint d'afficher 4,6 milliards de dollars de dépréciations alors même qu'il est presque absent des activités de BFI.
Que chaque homme divise son argent en trois, qu'il investisse un tiers dans la terre, un autre dans les affaires et qu'il garde le dernier tiers en réserve.
NON ! Ce ne sont pas le crédits accordés par les banques françaises qui sont à l'origine des problèmes mais la conséquence de la crise des subprimes US.
C'est un problème financier (titrisation) pas le problème de l'immobilier en France.
Prados vous pourriez nous faire aussi un petit rapport sur l'état de la bourse et de l'économie dans votre pays d'accueil , bizarre vous n'en parlez plus
Citation :J'ai déjà expliqué pourquoi je prenais comme référence 2003. Mais, cet après-midi, je vais vous le redire une deuxième fois:
J'ai dit en 2003 que je passais acheteur d'actions et vendeur d'immobilier.
Maintenant, comparez donc la bourse et l'immobilier depuis mon arbritage, même avec le récent trou d'air
Que chaque homme divise son argent en trois, qu'il investisse un tiers dans la terre, un autre dans les affaires et qu'il garde le dernier tiers en réserve.
NON ! Ce ne sont pas le crédits accordés par les banques françaises qui sont à l'origine des problèmes mais la conséquence de la crise des subprimes US.
C'est un problème financier (titrisation) pas le problème de l'immobilier en France.
Les conséquences seront les mêmes : moins de cash à distribuer.