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Citation :Immobilier: Challenges prend ses désirs pour des réalités L'hebdomadaire économique fait sa une sur la hausse des prix de l'immobilier mais explique en pages intérieures que le marché est à la baisse. Décryptage d'un message brouillé.
La couverture de Challenge Dans son numéro daté du 13 mars, Challenges titre : «Spécial immobilier. Prix : encore des hausses». Mais le lecteur curieux qui s'aventure à ouvrir le journal peut lire dès les premières lignes du dossier, page 62 : «…les derniers chiffres des banques, des notaires et des courtiers en prêts (…) montrent que les prix sont désormais clairement orientés à la baisse.» Simple cafouillage? L'article est pourtant clair, qui constate : «des baisses de prix sporadiques», dans certaines villes comme Lille et Toulouse. Ou encore : «le marché s'est (…) clairement retourné en faveur des acheteurs.»
Dans l'interview d'Alain Dinin, président du promoteur immobilier Nexity, une explication apparaît : dans le neuf, les prix continuent de monter et la baisse paraît «quasi impossible», tandis que dans l'ancien il y a «un ralentissement des prix (…), voire une baisse». Le bilan est donc contrasté. Ce que cache habilement le titre de une. Mais pourquoi? Peut-être Challenges a-t-il voulu brosser dans le sens du poil son lectorat - constitué de propriétaires et de professionnels de l'immobilier, plus que de ménages en quête d'accession à la propriété. De fait, qui a envie de lire dans son hebdo préféré qu'il vient de perdre des milliers d'euros sur le marché immobilier ?
Mercredi 19 Mars 2008 - 07:57 Pauline Delassus
La photo de la une de Challenges sera probablement un collector
Que chaque homme divise son argent en trois, qu'il investisse un tiers dans la terre, un autre dans les affaires et qu'il garde le dernier tiers en réserve.
Citation :Le bilan est donc contrasté. Ce que cache habilement le titre de une. Mais pourquoi? Peut-être Challenges a-t-il voulu brosser dans le sens du poil son lectorat - constitué de propriétaires et de professionnels de l'immobilier, plus que de ménages en quête d'accession à la propriété. De fait, qui a envie de lire dans son hebdo préféré qu'il vient de perdre des milliers d'euros sur le marché immobilier ?
C'est vrai que les propriétaires sont parfois irrités quand on leur parle de la baisse des prix de l'immobilier. Mais en général, le choix des médias de relayer avec complaisance la version rassurante des pros de l'immo au détriment des arguments en faveur de la baisse est due a d'autres raison que le brossage du poil du lectorat: Souvent les pros de l'immo sont annonceurs du journal, donc aucune chance d'avoir la vérité sur la tendance du marché. L'éditeur du numéro spécial immobilier bourré de pub de promoteurs ne peut se permettre de parler de baisse des prix au risque de déplaire a ses annonceurs qui bien sur n'aiment pas qu'on incite leur clientèle a reporter leur achat pour attendre des prix plus bas.
Que chaque homme divise son argent en trois, qu'il investisse un tiers dans la terre, un autre dans les affaires et qu'il garde le dernier tiers en réserve.