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Chacun y verra ce qu'il veut y voir, mais... le fait que des gens ne fasse, ne serait-ce que se poser la question est, pour moi, presque plus important que la conclusion que vous allez en tirer
Citation :Des appartements qui se vendent moins bien, des prix qui montent toujours, comment expliquer ce paradoxe
Ce soit disant "paradoxe" est une necessité pour la filière "vente immobilière": On communique en disant que les délais s'allongent pour inciter les vendeurs a être moins gourmands et on dit en même temps que les prix ne baissent pas afin de décourager les acheteurs d'attendre des prix meilleurs. Le point de vue de l'article est celui de Me Jean-Marie Montazeaud, président de la Commission de la conjoncture immobilière à la chambre des notaires de Paris. L'intéret des notaires est de faire des transactions: impossible donc pour eux d'admettre la baisse au risque de faire fuir les acheteurs qui bien sur en ont entendu parler mais qui n'osent pas encore y croire. Ce "paradoxe" évoqué n'existe pas: les prix baissent bien, mais comme ceux qui affichent les chiffres de tendance sont en même temps ceux qui qui n'ont surtout pas intéret a parler de baisse, alors il n' y a pas "officiellement" de baisse. Il serait aisé de mettre en place en france des statistiques fiscales pour connaitre la "vraie" tendance du marché; Mais pas de ca chez nous, il faut permettre a la fillière de l'immo de conserver le privilège de pouvoir "cuisiner" la tendance du marché selon ses intérets.
Confier le soin d'afficher la tendance du marché a ceux pour qui le volume des ventes conditionne les profits, c'est un peu comme si on confiait au bon soins des marchands de voiture d'occasion le passage de l'examen du permis de conduire, c'est aussi un peu comme si on confiait la rédaction du code de la consommation a des confédération de commercants, c'est aussi un peu comme si on laissait le medef remanier le code du travail ...
Citation :Et pour l’acheteur, ce ralentissement généralisé est plutôt une aubaine : il peut à nouveau prendre son temps pour sélectionner le bon logement. Le risque qu’il soit déjà vendu avant qu’il ait ouvert la bouche est bien moins élevé.
Dans ces conditions, ne pas hésiter a faire des propositions au rabais pour anticiper une baisse des prix ( même pour celui qui doute de la baisse, quelques dizaine de milliers d'euros économisés, c'est toujours bon a prendre )
Les professionnels de l'immo qui prétendaient qu'il n'y aurait pas de baisse nous ont menti.
2006 10 apparts de 100 000 € se sont vendus : la moyenne des prix de ventes est donc de 100 000 € 2007 1 seul appart s'est vendu mais à 150 000 € : alors les prix de l'immobilier on prix 50 % en un an !
C'est un effet pervers : les pauvres ne peuvent plus acheter des apparts de pauvres, il ne reste donc plus que les apparts de riches qui partent, ceux au prix le plus cher, ceux de bonne qualité, sans défaut, ce qui a pour effet mécanique de continuer a faire monter la moyenne des prix.
Plus pervers les prix de ces apparts "de riches" peuvent même se permettre de ne plus monter et continuer a faire MONTER la moyenne quand même ! comment ? c'est simple : si les appart de "pauvres" ne se vendent plus il sortent des statistiques, et font monter la moyenne par leur absence sans que les apparts "de riches" n'ai besoin de bouger de prix...
Cela montre l'importance de cette statistique (les stocks d'invendus) surtout en cette période, une hausse des stock d'invendus est annonciateur d'un blocage du marché. La moyenne dont tout le monde nous rabache les oreilles seule ne suffit pas, et en période d'incertitude ou de retournement, elle fausse même le résultat.
Au fait qu'entend on depuis quelques mois : - Ok les bien de mauvaises qualité vont baisser, mais les apparts sans défaut continueront... Pour une fois que haussiers et baissiers sont d'accord... pour l'instant...
Alors ? naissance d'un marché à deux vitesse ? ou effritement par le bas ?
Citation : c'est simple : si les appart de "pauvres" ne se vendent plus il sortent des statistiques, et font monter la moyenne par leur absence sans que les apparts "de riches" n'ai besoin de bouger de prix...
oui mais avec l'inflation qui repart à toute vitesse 1.81% de hausse des loyers au 1er trimestre. L'érosion monétaire des crédits en cours marche bien. Les rendements locatifs vont augmenter très vite et les riches vont être resolvabilisés. Les appartements de pauvres comme vous dites vont être achetés par les riches et loués aux pauvres. Les appartements de pauvres vont revenir dans vos statistiques sous la forme d'appartements de riches.
Qu'est ce que j'aime les remarques douteuses sur les appartements de riches et les appartements de pauvres.
Effectivement on peut se poser la question sur la vocation de phillag de louer aux pauvres qui par définition ne peuvent pas payer grand chose aux bailleurs. A moins que phillag court après les problèmes, mais ça le regarde.
Ramer dans le sens du courant a toujours fait rire les crocodiles (proverbe africain).
Citation :oui mais avec l'inflation qui repart à toute vitesse 1.81% de hausse des loyers au 1er trimestre. L'érosion monétaire des crédits en cours marche bien. Les rendements locatifs vont augmenter très vite et les riches vont être resolvabilisés.
Les 1,81% de hausse de l'IRL s'appliquent sur un an et pas sur un trimestre. On est loin de l'inflation qui tape à 3,2% sur un an.
L'érosion monétaire fait perdre de la valeur au capital. Elle n'augmente en rien les rendements locatifs... sauf si les prix de vente baissent !
Si on attend que la baisse des prix soit provoquée par l'érosion monétaire, on va attendre longtemps. En revanche, une baisse des prix en euros courants aurait pour conséquence l'augmentation plus rapide des rendements locatifs, c'est vrai. Mais je ne vous savais pas baissier...
Lorsqu'il y a inflation forte, les gagnants ne sont pas les riches propriétaires ni les bailleurs, ce sont les acheteurs qui ont payé leur bien à crédit, avec un taux très bas comme ces dernières années.
Mais inflation forte veut dire aussi montée des taux d'emprunt, c'est inévitable. Cela ne resolvabilisera pas les acheteurs sortis du marché. Donc l'inflation aura aussi pour conséquence d'accélérer la baisse des prix de vente. Et donc la perte de valeur du capital.
Citation :Effectivement on peut se poser la question sur la vocation de phillag de louer aux pauvres qui par définition ne peuvent pas payer grand chose aux bailleurs. A moins que phillag court après les problèmes, mais ça le regarde.
premier point: Je ne fait que reprendre la terminologie d'arno06 sur les "appartements de pauvres" et "appartements de riches" et je la reprend pour la relativiser et non pour l'exacerber. Je vais donc dans votre direction.
deuxième point: Les pauvres ne peuvent pas payer! mais c'est une blague. En france les vraiment pauvres ont les allocations pour payer le logement. C'est même une industrie prospère pour les bailleurs peu scrupuleux qui louent des taudis en empochant directement les allocations de la caf sur leurs comptes. Sortez un peu de votre campagne et allez voir le 20ème arrondissement de Paris. Rassurez-vous ce n'est pas mon cas mais j'ai tort car c'est milles fois plus rentable que le robien en zone A.
Troisième point: Les riches achètent leur logement, il est donc impossible de louer aux riches. Seuls les moins riches font tourner le commerce car ils sont captifs de la location. Un locataire est un client captif 9 fois sur dix.
Citation :Les 1,81% de hausse de l'IRL s'appliquent sur un an et pas sur un trimestre. On est loin de l'inflation qui tape à 3,2% sur un an.
Exact vous avez raison, je me suis trompé mais cet indice ne correspond pas à la hausse réelle des loyers car cette hausse s'effectue aux changements de locataires.
Citation : L'érosion monétaire fait perdre de la valeur au capital. Elle n'augmente en rien les rendements locatifs... sauf si les prix de vente baissent !
Elle fait perdre la valeurs des sommes à rembourser par les emprunteurs donc augmente mécaniquement leurs surfaces financières. Les banques sont donc enclin à leur prêter plus facilement. Vous voyez bien le développement des crédits in fine par exemple.
Citation :Lorsqu'il y a inflation forte, les gagnants ne sont pas les riches propriétaires ni les bailleurs, ce sont les acheteurs qui ont payé leur bien à crédit, avec un taux très bas comme ces dernières années.
Mais les riches propriétaires sont les gens qui ont le plus de ce type de crédits. Vous vous trompez.
Citation :Donc l'inflation aura aussi pour conséquence d'accélérer la baisse des prix de vente. Et donc la perte de valeur du capital.
Encore faux: L'inflation fait perdre de la valeur à la monnaie. Un maçon a besoin de vivre et il se fait payer plus si la monnaie se déprécie.