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Initialement posté par Prados

Revue de presse suite à la conférence de presse des Notaires:
http://www.liberation.fr/actualite/economie_terre/336110.FR.php
http://www.lemonde.fr/economie/article/2008/07/01/le-marche-de-l-immobilier-se-retourne-dans-le-neuf-et-l-ancien_1064955_3234.html
http://www.france-info.com/spip.php?article155114&theme=69&sous_theme=69
http://www.lepoint.fr/actualites-economie/immobilier-coup-de-frein-sur-les-prix-coup-de-froid-sur-les/916/0/257094
http://www.batiactu.com/data/01072008/01072008-171024.html

Vous voyez, Fanette44, que l'on peut avoir accès en .moins de 10 mn à une revue de presse personnalisée tout en vivant à 10000kms de là

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(indice = 205,2) : - 0,6 % pour les appartements et - 1,0 % pour les maisons.

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Disparités géographiques

Selon le réseau Century 21, le prix moyen d’achat ressort à 2.554 €/m2, soit une petite hausse de 0.72% par rapport au dernier semestre 2007. En revanche, les variations des prix moyens au mètre carré affichent de grandes disparités selon les régions – et à l’intérieur de celles-ci entre les centres-villes- où les prix sont souvent encore à la hausse ; et entre banlieues et grandes banlieues où les prix accusent des baisses atteignant jusqu’à 10%, estime Century 21. Le réseau explique cette situation par trois phénomènes : resserrement des critères d’octroi des prêts par les banques ; hausse des taux de crédit (+1% en un an) ; renchérissement du prix des carburants qui fait hésiter les éventuels acheteurs à s’éloigner des villes.

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Initialement posté par fanette44
quel krach !!!

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Initialement posté par fanette44
L'emplacement est primordial c'est toujours vrai

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L'emplacement ne changera rien

Les prix ont monté excessivement sur les apparts/maisons bien placés comme sur les biens mal placés.

Les biens mal placés sont naturellement mis à l'écart par les acheteurs en haut de bulle : car quitte à payer cher ... autant avoir un bien correct !

Mais une fois la baisse bien établie ... la correction atteint aussi les apparts/maisons bien placés ...

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on peut même y avoir accès depuis la chambre de son F4 dans la banlieue parisienne

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quel krach !!!

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La fin de l'état de grâce Bénédicte Alaniou et Guillaume Zambaux
mercredi 02 juillet 2008 | Le Parisien

(LPi/MARIE-AGNES PERROT)
Les prix des appartements sont à la baisse un peu partout en France et le volume des ventes a chuté de 17 % à 21 %. Seuls Paris et quelques villes continuent de voir les tarifs au mètre carré grimper, mais moins rapidement qu'avant.

COUP DE FROID sur les ventes, coup de frein sur les prix. Les chiffres émanant des notaires, comme ceux des grands réseaux d'agences, sont unanimes. Le marché immobilier est bel et bien entré dans une phase de repli.

Comme le souligne la chambre des notaires d'Ile-de-France, le volume des ventes dans Paris et dans la petite et la grande couronne sont en recul de 7,9 % au premier trimestre 2008 par rapport à la même période de 2007. Et les premières tendances pour les mois d'avril et de mai laissent présager un recul encore plus significatif, de l'ordre de 17 % à 21 %... « En France, nous prévoyons une baisse des transactions d'environ 15 % sur l'année 2008, précise Hervé Bléry, président du réseau d'agences Century 21. Au total, 540 000 biens devraient trouver preneurs. »

Du côté des prix, l'ancien, qui représente 90 % des ventes, reste orienté légèrement à la hausse, au premier semestre 2008, à 0,72 %, soit un prix moyen de 2 554 € le mètre carré. Mais, derrière ce chiffre se cachent d'importantes disparités, à l'image de la situation en Ile-de-France.

A Paris, la ferveur des acheteurs reste forte, alors que certaines communes alentour décrochent. « Les gens qui étaient prêts à acheter dans un endroit assez éloigné de leur lieu de travail commencent à revoir leur position à cause de la flambée du prix de l'essence et des problèmes de transport en commun, poursuit le patron de Century 21. Un phénomène que l'on retrouve aussi en province où les prix résistent davantage dans les centres-villes. » Outre le phénomène de prix élevés, le marché de l'immobilier est pénalisé par la hausse des taux d'intérêt. « Et toute nouvelle augmentation du loyer de l'argent ne manquerait pas de peser sur la solvabilité des ménages, à commencer par les classes moyennes, qui constituent le gros des bataillons des accédants à la propriété », relèvent les notaires parisiens.

Des banques plus strictes, des acheteurs pénalisés

Concrètement, « une hausse de 1 % des taux écarte 20 % des candidats à un premier achat », détaille Hervé Bléry. Pour ne rien arranger, les banques, secouées par la crise des subprimes, se montrent plus strictes avec les demandeurs d'un prêt. Plus question pour ces derniers de dépasser un endettement supérieur à 33 % de leurs revenus. Outre les acheteurs à faible revenu, les plus pénalisés risquent d'être les agents immobiliers eux-mêmes. Depuis dix ans, leur nombre a doublé. On compte aujourd'hui 30 000 titulaires d'une carte professionnelle en France. « Les deux ans qui viennent vont constituer une période d'ajustement et d'assainissement, durant laquelle 5 000 à 6 000 agences pourraient disparaître », prévoit Hervé Bléry.

Reste la grande question. Faut-il acheter ou vendre ? Sur quinze ou vingt ans, l'immobilier reste, jusqu'à présent, un placement sûr.

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L'emplacement est primordial c'est toujours vrai

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Peut être lors de l'autre crise mais cette fois c'est spécial, les vendeurs ne sont pas pressés quitte à renoncer à leur projet de déménagement, les biens à vendre ne sont pas en surnombre

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Tiens, voilà un argument nouveau : "cette fois-ci, c'est spécial". On nous a déjà sortis cela au moment de la Bulle Internet. Tous les indicateurs montrent l'accentuation de la baisse en cours, dans les pays voisins, la situation s'apparente à un krach, mais chez nous....

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La pierre francilienne s’affaisse
TONINO SERAFINI
QUOTIDIEN : mercredi 2 juillet 2008
Jusqu’ici, l’immobilier francilien faisait figure d’îlot de résistance dans un marché hexagonal en proie à un sérieux coup de frein depuis le second semestre 2007. Mais des chiffres publiés hier par la chambre des notaires de Paris-Ile-de-France, montrent que la forteresse francilienne commence aussi à se fissurer.
Quels sont les signes avant coureurs d’une crise en Ile-de-France ?
L’immobilier francilien marque clairement le pas. Dans leur étude, les notaires parlent d’un «coup de froid sur les ventes». Et pour cause : les chiffres collectés auprès des études d’Ile-de-France font état d’une baisse de 8,8 % du nombre de transactions au cours des trois premiers mois de 2008. Seulement 40 315 ventes ont été conclues pendant cette période contre 44 228 à la même époque l’an dernier. Ce fléchissement ne relève pas du trou d’air trimestriel. Car depuis l’activité a continué à s’affaisser. «Des indicateurs avancés» font état d’un «vrai décrochage en mai», a souligné Me Jean-Marie Montazeaud, président de la commission conjoncture de la chambre. Selon des chiffres provisoires, les transactions ont chuté de 17 % en mai dans la région francilienne (21 % à Paris et dans les départements de la petite couronne). «La baisse des volumes des ventes s’amplifie, et il faut remonter à dix ans pour trouver un tel niveau d’activité», observait un notaire. «Aujourd’hui, plus personne ne bouge», a témoigné Me Cyril Klein-Montezin, qui a son étude dans le Val-de-Marne. «Il n’y a plus de contre-offres» face aux prétentions exorbitantes des vendeurs. Des notaires ont fait état de seuils de résistance aux prix. «Au-delà de 350 000 euros pour une maison, le marché est très difficile en grande couronne», a pointé l’un d’eux.
Les prix baissent-ils du fait du recul des ventes ?
Dans les crises de l’immobilier la baisse de l’activité est un préalable à la chute des prix. Le temps que les vendeurs ajustent leurs tarifs au vu d’une demande défaillante. En Ile-de-France, les prémisses d’un recul des prix commencent à se manifester. A Paris, la hausse a sérieusement ralenti (1,1 % au premier trimestre 2008 contre 2,6 % au quatrième trimestre 2007 et 3,6 % au troisième). En banlieue, on constate déjà de légères diminutions de prix sur les appartements anciens dans les Hauts-de-Seine (- 0,7 %), ou le Val-d’Oise (- 1 %). A l’inverse, l’évolution trimestrielle a été à peine positive dans l’Essonne (+ 0,6 %), le Val-de-Marne (+ 0,3 %) et la Seine-et-Marne (+ 0,6 %). En ce qui concerne les maisons, les prix ont augmenté de 0,2 % en petite couronne et reculé de 0,4 % en grande couronne.
Comment évolue l’immobilier dans le reste de l’Hexagone ?
Les prix des logements anciens ont baissé de 0,8 % en moyenne en France au premier trimestre selon l’Insee. Century 21 fait de son côté état d’une hausse de 0,72 % sur le semestre, alors que le réseau Laforêt promet une baisse de prix «d’environ 15 % sur deux ans».

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PS1: Au fait, si la baisse au niveau national, en moyenne glissante est de -0.8%, combien est la baisse en valeur instantanée à fin Mars 2008?

PS2: N'oubliez pas que la situation a empiré depuis, en Mai puis en Juin.

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Initialement posté par Prados

Fanette44,

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PS1: Au fait, si la baisse au niveau national, en moyenne glissante est de -0.8%, combien est la baisse en valeur instantanée à fin Mars 2008?

PS2: N'oubliez pas que la situation a empiré depuis, en Mai puis en Juin.

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Alors, ces calculs? Vous voulez un petit coup de main?

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Initialement posté par fanette44

Les prix ne baisseront pas car les propriétaires vont choisir de louer à tous ces pauvres "attentistes".

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