****JavaScript based drop down DHTML menu generated by NavStudio. (OpenCube Inc. - http://www.opencube.com)****
ATTENTION : Le Forum
dUniversimmo
a migré sur une nouvelle
plate-forme, sécurisée, et à la pointe de ce
qui se fait en matière de forums de discussion. Pour
découvrir le nouveau Forum : cliquez
ici - découvrez aussi le "Portail"
de cette nouvelle plate-forme Petite contrainte dont nous vous demandons de ne pas nous tenir rigueur,
liée à notre souhait de nettoyer un fichier de membres
alourdi par le temps :
la nécessité, si vous étiez déjà
enregistré(e) dans lancien forum, de vous ré-enregistrer
sur le nouveau , si possible en conservant le même identifiant
(pseudo). Ce
forum est désormais fermé, mais il restera consultable
sans limite de durée à lurl : http://www.universimmo.com/forum Les
adresses et les liens que vous avez pu créer vers ses sujets
restent bien entendu totalement opérationnels.
Par contre tous les nouveaux sujets doivent être
créés sur la nouvelle plate-forme. Pour
toutes remarques, questions ou suggestions concernant cette migration,
nous vous proposons un sujet dans la section « A
propos de ce forum »
Bon surf
! Léquipe Universimmo
Il est recommandé pour apprécier le site d'avoir une résolution d'écran de 1024x768 (pixels/inch) ou Plus..
"L’économie britannique devrait bien résister au choc immobilier"
Selon Catherine Mathieu, économiste à l’OFCE spécialiste du Royaume-Uni, ce n’est pas la chute des prix de la pierre qui menace aujourd’hui le Royaume-Uni, mais la reprise de l’inflation.
Capital : Le Royaume-Uni est aujourd’hui l’un des pays européens les plus touchés par la crise de l’immobilier. Cette bulle risque-t-elle d’éclater, comme aux Etats-Unis ?
Catherine Mathieu : Pas avec la même violence, en tout cas. Après avoir triplé en douze ans, le marché immobilier britannique est bien en train de se dégonfler, mais à petite vitesse : en un an, les prix auraient baissé d’environ 4%. Il faut en effet savoir qu’à la différence des Américains les Britanniques ont construit assez peu de logements ces dernières années, si bien que leur marché n’est pas saturé. A mon avis, les prix ne devraient pas dévisser de plus de 10% au cours des deux prochaines années.
Capital : L’économie d’outre-Manche est-elle très dépendante du secteur immobilier ?
Catherine Mathieu : Pas tant que ça. L’investissement logement y représente tout au plus 3% du PIB, contre 10%, par exemple, en Espagne. Quant au resserrement du crédit lié à la crise des subprimes, il a été bien moins brutal qu’outre-Atlantique. Résultat : la consommation des ménages a tenu le coup. Elle progresse d’ailleurs encore au rythme annuel de 2,5%, grâce aux hausses de salaires et aux nombreuses créations d’emplois.
Capital : Vous voulez dire que l’économie d’outre-Manche ne souffrira pas de la crise immobilière ?
Catherine Mathieu : Elle n’en subira que des effets limités. Sa croissance devrait atteindre 2% cette année, contre 3% en 2007.La bonne nouvelle, c’est que ce ralentissement permettra d’assainir l’économie, en mettant fin à la folle envolée du crédit. Il y a dix ans, la dette des ménages équivalait à une année de leur revenu disponible ; elle en représente aujourd’hui 160%. Désormais, le principal risque qui pèse sur le pays, c’est l’inflation !
L'économie UK n'est pas liée à la construction comme en Espagne, mais elle est très dépendante de la finance. Et quand on connait la fragilité des banques et les immenses pertes qu'elles ont subies depuis 12 mois, l'immobilier UK devrait être fragilisé. Ca baissera comme en Espagne, mais pas pour les mêmes raisons.