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Citation :Les promoteurs considèrent que les conditions de rachat de programmes par les HLM ne sont pas très généreuses.
La tension monte d'un cran entre les promoteurs et les organismes HLM. Après l'enthousiasme suscité par l'annonce de l'Élysée d'un programme de rachat aux promoteurs de 30 000 logements à prix décoté, les discussions semblent se corser. Au cœur du problème, le taux de la décote que sont prêts à consentir les promoteurs pour se débarrasser de certains de leurs programmes non engagés, faute d'acquéreurs solvables.
Dès le départ, les organismes HLM - la Société nationale immobilière (SNI, filiale de la Caisse des dépôts) en tête - n'ont pas caché leur intérêt pour cette mesure. Une quinzaine d'entre eux (3F, ICF, Solendi, etc.) ont publié leur appel à projets sur le site de la Fédération des promoteurs constructeurs (FPC). Un moyen pour eux de gagner du temps, les permis de construire de ces logements ayant déjà été obtenus.
Ce lundi, la Fédération des promoteurs constructeurs a émis «les plus expresses réserves sur la décote moyenne indiquée [par la SNI] de 35 % du coût de revient». Un chiffre évoqué par André Yché, président du directoire de SNI et que Jean-François Gabilla, président de la FPC juge « déraisonnable » ; «En ces périodes particulièrement difficiles, explique-t-il au Figaro, la FPC regrette vivement de tels propos susceptibles de jeter un trouble supplémentaire dans l'esprit des acquéreurs potentiels.»
Nexity finit par conclure
À ce jour, la SNI a conclu des négociations portant sur la vente de 4 200 logements, soit environ 10 % des dossiers qu'elle a présélectionnés. Elle espère toujours parvenir au rachat de 10 000 logements d'ici à la fin de l'année. Seul à faire de la résistance, Nexity, le premier promoteur français : il avait présenté une liste de 2 500 logements, soit la totalité des 119 programmes auxquels il a renoncé cette année. En proposant un prix moyen de 2 600 euros du m², il se retrouvait avec une décote d'environ 20 % rendue possible grâce aux économies de frais commerciaux et à la baisse de la TVA. La SNI lui en proposait 2 000 euros. « Nous pouvons nous contenter d'une marge faible, mais nous ne sommes pas dans une situation telle qui justifie que nous vendions à perte», explique au Figaro Alain Dinin, PDG de Nexity. «Je n'ai pas de difficultés de trésorerie», insiste le promoteur qui a engagé un plan social portant sur 190 personnes.
Finalement, Nexity et la SNI se sont entendus ce lundi sur un partenariat sur trois à quatre ans. Nexity pourrait produire chaque année entre 500 et 1 000 logements pour le compte de la SNI. Des logements sur-mesure dont l'emplacement et la configuration auraient été pensés en amont et en concertation avec les collectivités locales, qui donnent l'accord final aux logements sociaux. Ils pourraient être inclus dans les 10 000 logements que la SNI s'est engagée à racheter. Alain Dinin poursuit par ailleurs les discussions avec l'organisme HLM 3F et des bailleurs régionaux. Il y voit un moyen de faire fonctionner son outil de production alors que l'immobilier s'apprête à vivre des années difficiles. Pendant ce temps, d'autres promoteurs à l'image de Bouygues Immobilier et de Kaufman & Broad poursuivent leurs négociations avec la SNI. Guy Nafilyan, PDG de Kaufman & Broad, qui espère vendre 400 logements, assure, lui aussi, qu'il ne vendra pas à perte.
Apres le réaménagement de l'imprimerie nationale par Bouygues pour un prix inconnu du contribuable, les promoteurs vont ils construire des "HLM" en zappant les procèdures habituelles d'appel d'offres ?
Les professionnels de l'immo qui prétendaient qu'il n'y aurait pas de baisse nous ont menti.