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Posté - 05 avr. 2011 : 20:50:47
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Il était une fois
un vendeur de maison comme moi après le décès subit de mon père, qui souhaitait que la transaction se passe au plus vite afin d’accélérer mon deuil.
Après avoir consulté le Net, je trouve une offre intéressante chez Diagamter, spécialiste du diagnostic, et sans mauvaise presse sur le web, aussi je me lance ,
et le rendez vous est pris sans tarder avec M. Bertrand Leprévost, diagnostiqueur.
Celui-ci me fait bonne impression lors de sa visite, il farfouille dans tous les coins, passe bcp de temps, à tel point que nous l’invitons à manger.
Au terme de son passage, il me dit que je vais probablement recevoir un courrier de recommandations d’un service de je ne sais plus quoi, comme certaines portes extérieures contiennent de la peinture au plomb et qu’il signale que le plancher du salon nécessite des travaux.
En guise de recommandations, nous recevons un courrier en AR du maire de Francueil, nous stipulant que notre maison était susceptible d’effondrement, et que l’ARS, agence régionale de sécurité, lui conseillait de prendre un arrêté de péril.
J’en informe immédiatement M. Leprévost, qui me dit que le diagnostic a été mal interprété et qui me demande les coordonnées du maire.
Je n’aurais plus jamais de nouvelles de M. Leprévost….
Il s’en suit que le maire saisit le tribunal administratif, poussé par sa secrétaire qui visiblement n’y connaît rien dans cette matière, et qu’un expert est diligenté pour mentionner que certaines solives sont à remplacer… .
Il s’avère que nous avons des acheteurs qui sont des professionnels du bâtiment et parmi eux on trouve notamment un contrôleur bâtiment du conseil régional, et un conducteur de travaux Ils ont largement pu estimer les travaux à réaliser dans la maison et prendre leur décision en connaissance de cause.
Le maire prend quand même un arrêté de péril simple, c’est à dire simplement que la maison risque de s’effondrer sur la voie publique !!!
Pour en revenir à M. Leprévost et Diagamter, Il n’a pas compris que nous sommes son client, qu’il doit agir dans notre intérêt et que LUI n’est pas certifié dans un diagnostic de charpente, nous l’avons mandaté pour un diagnostic plomb, amiante, électricité.. .
M. Leprévost n’a pas compris qui le payait et n’a pas du tout saisi que le fait qu’il mette une croix à un certain endroit dans la synthèse du diagnostic pouvait conduire à léser son client et à faire échouer une vente.
A bon entendeur
Jean-Marc
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Posté - 05 avr. 2011 : 22:31:43
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Ppourquoi le diagnostic est-il allé chez le maire, surtout que vous parlez d'un diagnostic charpente que l'artisan en question ne fait pas?
J'avoue ne rien comprendre. |
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Posté - 06 avr. 2011 : 07:46:11
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une autre expliaction possible à la position de la mairie : votre bien n'est-il pas dans une zone de préemption... en ce cas, la mairie agit non pas par rapport au diagnostic qu'elle n'a aucune raison de recevoir, mais par rapport à ce droit de préemption. |
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vazy
Contributeur vétéran
1380 message(s) Statut:
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3
Posté - 06 avr. 2011 : 20:15:47
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Avez-vous demandé à la mairie sur quel éléments ils s'appuyaient pour vous envoyer le premier courrier ? |
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