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Bonjour, Nous avons acheté un appartement en VEFA, livré en juin 2003. Nous venons d’apprendre que la peinture apposée sur les murs de notre appartement est une peinture dite « en phase aqueuse ». Or la notice descriptive de l’appartement stipule « peinture glycérophtalique » et ne parle nullement « d’équivalent », à supposer que ces 2 types de peinture soient équivalents. Il s’avère que cette peinture aqueuse se tache très facilement et est difficilement lessivable. Nous n’avons jamais été prévenus par le promoteur de ce changement de type de peinture. Questionné sur le sujet, le promoteur répond que la décision d’opter pour un changement de type de peinture repose sur des recommandations européennes en matière d’hygiène, qu’une réglementation interdira un jour (?) la peinture glycérophtalique et, qu’en tout état de cause, nous avions un mois à compter de la livraison pour faire état de tout défaut de conformité. Cette réponse est-elle acceptable ? Il ne s’agit pas, à notre avis, d’un défaut apparent décelable par des non-professionnels à la livraison de l’appartement, ni pendant le mois qui suit celle-ci. S’agit-il là d’un cas de non-conformité ? Savez-vous si l’on peut parler en l’occurrence de vis caché ? Si oui, que sommes-nous en droit de demander au promoteur ? La reprise des peintures ? Un dédommagement ? Et dans quels délais devons-nous formuler cette demande ? Par avance, merci pour vos réponses et conseils. Pierre92
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Sujet fermé
Posté - 03 mars 2004 : 12:57:31
