****JavaScript based drop down DHTML menu generated by NavStudio. (OpenCube Inc. - http://www.opencube.com)****
ATTENTION : Le Forum
dUniversimmo
a migré sur une nouvelle
plate-forme, sécurisée, et à la pointe de ce
qui se fait en matière de forums de discussion. Pour
découvrir le nouveau Forum : cliquez
ici - découvrez aussi le "Portail"
de cette nouvelle plate-forme Petite contrainte dont nous vous demandons de ne pas nous tenir rigueur,
liée à notre souhait de nettoyer un fichier de membres
alourdi par le temps :
la nécessité, si vous étiez déjà
enregistré(e) dans lancien forum, de vous ré-enregistrer
sur le nouveau , si possible en conservant le même identifiant
(pseudo). Ce
forum est désormais fermé, mais il restera consultable
sans limite de durée à lurl : http://www.universimmo.com/forum Les
adresses et les liens que vous avez pu créer vers ses sujets
restent bien entendu totalement opérationnels.
Par contre tous les nouveaux sujets doivent être
créés sur la nouvelle plate-forme. Pour
toutes remarques, questions ou suggestions concernant cette migration,
nous vous proposons un sujet dans la section « A
propos de ce forum »
Bon surf
! Léquipe Universimmo
Il est recommandé pour apprécier le site d'avoir une résolution d'écran de 1024x768 (pixels/inch) ou Plus..
Pour le calcul de la TLE l'assiette est différente selon que l'on considère la construction comme étant individuelle ou collective. dans le cadre d'un bâtiment d'habitation comportant 4 logements duplex non superposés, avec entrée individuelle, la DDE nous taxe dans la catégorie maison individuelle. Je pensais que notre construction correspondait à la catégorie "immeubles collectifs". Comment puis-je savoir qui a raison? le montant de la taxe n'est pas du tout la même. est-on imposé à l'horizontale ou à la verticale ( je plaisante) L'interprétation d' "immeubles collectifs" peut-elle être différente selon les départements? y-a-t-il un texte réglementaire à ce sujet?
La TLE, pour ce qui est de son assiette et de son montant, est affaire de la commune. Il convient donc de vous adresser à la mairie pour connaître les bases de votre imposition à ce titre.
Citation :Code Général des Impôts, article 1585 A
Une taxe locale d'équipement, établie sur la construction, la reconstruction et l'agrandissement des bâtiments de toute nature, est instituée : 1º De plein droit : a) Dans les communes de 10.000 habitants et au-dessus ; b) Dans les communes de la région parisienne figurant sur une liste arrêtée par décret (1). Le conseil municipal peut décider de renoncer à percevoir la taxe. Cette délibération est valable pour une période de trois ans à compter de la date de son entrée en vigueur; 2º Par délibération du conseil municipal dans les autres communes. Les délibérations par lesquelles le conseil municipal institue la taxe ou ultérieurement la supprime sont valables pour une durée de trois ans minimum à compter de la date de leur entrée en vigueur. La taxe est perçue au profit de la commune. Elle a le caractère d'une recette extraordinaire. (1) Décret nº 72-988 du 5 octobre 1972, art. 1er.
merci Joseph pour la réponse tout à fait exact. Le soucis est que la construction est dans une petite commune de 221 habitants. Le maire délègue à la DDE et ne sait pas répondre sur ce point précis. Quand j'ai demandé à la DDE pourquoi nous étions imposé dans la catégorie 5°1:construction maison individuelle et ses annexes et non dans la catégorie 5°2: locaux des immeubles collectifs, il m'a été répondu " parce que ce ne sont pas des appartements supperposés et ils ont chacun leur entrée" ces appart sont sur une même propriété foncière et ont leur entrée individuelle. Quant à la réponse du géomètre à ma question, il a pensé que je descendais de mars et m'a dit "collectif... par opposition à individuelle..." c'était si évident qu'il s'agissait d'un collectif qu'il ne savait pas comment prouver le contraire. Voilà pourquoi mes questions précédentes : Les DDE décident à leur bon vouloir dans quelle catégories vous appartenez et interprètent comme elles l'entendent l'article 1585 D " catégories des constructions" du code général des impôts.? quelle histoire!!!!
Si votre ensemble est bien statutairement collectif (copropriété ou autre avec parties communes), posez une réclamation, en collant sous le pif des services le 5° du I de l'article 1585 D et une copie de votre titre de propriété dans lequel apparaît ce caractère collectif.
La taxe étant communale, le maire est l'autorité responsable, même si il confie à la DDE du coin le soin de dresser les catégories avant de les passer aux services de recouvrement.
Citation :Article 1585 D
I. L'assiette de la taxe est constituée par la valeur de l'ensemble immobilier comprenant les terrains nécessaires à la construction et les bâtiments dont l'édification doit faire l'objet de l'autorisation de construire. Cette valeur est déterminée forfaitairement en appliquant à la surface de plancher développée hors oeuvre une valeur au mètre carré variable selon la catégorie des immeubles.
A compter du 1er janvier 2002, cette valeur est la suivante : CATEGORIES / Plancher hors oeuvre (en euros) 1º Constructions légères non agricoles et non utilisables pour l'habitation, y compris les hangars autres que ceux qui sont mentionnés au 3º ci-dessous : 73 euros 2º Locaux des exploitations agricoles à usage d'habitation des exploitants et de leur personnel ; autres locaux des exploitations agricoles intéressant la production agricole ou une activité annexe de cette production ; bâtiments affectés aux activités de conditionnement et de transformation des coopératives agricoles, viticoles, horticoles, ostréicoles et autres : 134 euros 3º Entrepôts et hangars faisant l'objet d'une exploitation commerciale, industrielle ou artisanale ; garages et aires de stationnement couvertes faisant l'objet d'une exploitation commerciale ou artisanale ; locaux à usage industriel ou artisanal et bureaux y attenants ; locaux des villages de vacances et des campings : 220 euros 4º Locaux d'habitation et leurs annexes construits par les sociétés immobilières créées en application de la loi nº 46-860 du 30 avril 1946 ; foyers-hôtels pour travailleurs ; locaux d'habitation et leurs annexes bénéficiant d'un prêt aidé à l'accession à la propriété ou d'un prêt locatif aidé ; immeubles d'habitation collectifs remplissant les conditions nécessaires à l'octroi de prêts aidés à l'accession à la propriété ; locaux d'habitation à usage locatif et leurs annexes mentionnés au 3º de l'article L. 351-2 du code de la construction et de l'habitation qui bénéficient de la décision favorable d'agrément prise dans les conditions prévues aux articles R. 331-3 et R. 331-6 du même code à compter du 1er octobre 1996 / 192 euros 5º 1. Construction individuelle et ses annexes à usage d'habitation principale : - pour les 80 premiers mètres carrés de surface hors oeuvre nette : 273 euros - de 81 à 170 mètres carrés : 399 euros 2. Locaux des immeubles collectifs et leurs annexes à usage de résidence principale, par logement : - pour les 80 premiers mètres carrés de surface hors oeuvre nette : 192 euros - de 81 à 170 mètres carrés : 273 euros 6º Parties des bâtiments hôteliers destinés à l'hébergement des clients : 386 euros 7º Partie des locaux à usage d'habitation principale et leurs annexes, autres que ceux entrant dans les 2è et 4è catégories et dont la surface hors oeuvre nette excède 170 mètres carrés : 524 euros 8º Locaux à usage d'habitation secondaire : 524 euros 9º Autres constructions soumises à la réglementation des permis de construire : 524 euros
Ces valeurs sont majorées de 10 p. 100 dans les communes de la région d'Ile-de-France telle qu'elle est définie à l'article 1er de la loi nº 76-394 du 6 mai 1976. Ces valeurs, fixées à la date de promulgation de la loi de finances rectificative pour 2001 (nº 2001-1276 du 28 décembre 2001) sont modifiées au 1er janvier de chaque année en fonction du dernier indice du coût de la construction publié par l'Institut national de la statistique et des études économiques.
II. Lorsqu'après la destruction d'un bâtiment par sinistre le propriétaire sinistré ou ses ayants droit à titre gratuit procèdent à la reconstruction sur le même terrain d'un bâtiment de même destination, la surface de plancher développée hors oeuvre correspondant à celle du bâtiment détruit n'est pas prise en compte pour le calcul de la taxe, à la double condition : a) Que la demande de permis de construire relative à la reconstruction soit déposée dans le délai de quatre ans suivant la date du sinistre; b) Que le sinistré justifie que les indemnités versées en réparation des dommages occasionnés à l'immeuble ne comprennent pas le montant de la taxe locale d'équipement normalement exigible sur les reconstructions. Ces dispositions s'appliquent, dans les mêmes conditions, aux bâtiments de même nature reconstruits sur d'autres terrains de la même commune, lorsque les terrains d'implantation de locaux sinistrés ont été reconnus comme extrêmement dangereux et classés inconstructibles.