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De plus, étant encore en congés en France, j'ai le temps de participer un peu au forum. Mais, si je vous ennuie, dites le moi, j'essaierai de me modérer
Mais de sujets tous plus ou moins semblables quant à leurs finalités et qui ne font qu'éclater les discussions et d'engendrer des redites.
Il n'est qu'à constater ce qui s'est produit pour la citation suivante, dont vous avez été le premier à intégrer le lien Prados sur le présent sujet et en ce BRAVO, les autres ne sont que de vilains petits copieurs, NA !!!
Enfin, êtes vous tous passés par la case fond de culotte sur les bancs d'écoole ?
Une baisse de 30 à 40% signifie que si à n-3 nous étions à 80 puis à n-2 nous étions à +15% soit 92 puis à n-1 à +10% soit env. 100 à n à + 10% soit 110 nous serons aux années n+1, n+2, ...,n+5 encore en positif mais avec des progressions plus faibles de l'ordre de 30 à 40%.
C'est l'amplitude qui va baisser mais pas la valeur absolue.
Eléméntaire, d'autant plus qu'au "Certif" c'était déjà compréhensible. C'est de la même veine pour les statistiques du genre la tête dans le congélateur et les pieds dans le four, je suis moyennement bien.
Une baisse de 30 à 40% signifie que si à n-3 nous étions à 80 puis à n-2 nous étions à +15% soit 92 puis à n-1 à +10% soit env. 100 à n à + 10% soit 110 nous serons aux années n+1, n+2, ...,n+5 encore en positif mais avec des progressions plus faibles de l'ordre de 30 à 40%. C'est l'amplitude qui va baisser mais pas la valeur absolue. Eléméntaire, d'autant plus qu'au "Certif" c'était déjà compréhensible. C'est de la même veine pour les statistiques du genre la tête dans le congélateur et les pieds dans le four, je suis moyennement bien.
Heu... J'avoue ne pas avoir tout saisi... "Les prix immobiliers vont baisser de 30 à 40% sur une période de 4 à 5 ans", c'est assez clair, non ?? Ca veut dire, avec votre exemple, qu'à n+4 / n+5 on serait à environ 77 (110 moins 30%). Ce sont bien les prix qui diminueraient et non pas leur 'augmentation' (!). Ou alors j'ai loupé quelquechose ? Je vais aller mettre la tête dans le congélateur, ça viendra peut-être...
C'est les sens qu'il faut développer quand ils sont atrophiés.
La démonstration ne parle pas que les prix vont baisser. La démonstration pointe que l'augmentation des prix va baisser. Déjà c'est amorcé car c'est passé de 15 à 10. 30 à 40% de baisse signifie que si n= 100 n+1 = 107 ou 106 et non 110.
En clair c'est la pente de la courbe qui s'atténue.
Sinon le texte serait les prix vont s'effondrer entre 30 et 40%. Soit autorisation préfectorale pour pouvoir entamer les soldes et encore pendant un temps limité.:) :)
Je précise car qui comprend les 2nd et 3è degrés sur ce forum ?
Citation :Initialement entré par bouzigues...... La démonstration ne parle pas que les prix vont baisser. La démonstration pointe que l'augmentation des prix va baisser. Déjà c'est amorcé car c'est passé de 15 à 10. 30 à 40% de baisse signifie que si n= 100 n+1 = 107 ou 106 et non 110.
En clair c'est la pente de la courbe qui s'atténue.
Imaginons un peu que les prix chutent de 30 à 40% quand des études viennent de réconforter notre économie en précisant que malgré la dette de l'Etat de 2 000 MM d'euros, le patrimoine des français serait de 8 000 MM d'euros.
Une baisse de 35% ramènerait ce patrimoine d'un coup et d'un seul à 5 200 MM d'euros, soit il s'envolerait dans la nature 2 800 MM d'euros.
Les créanciers de l' Etat feraient rapidement valoir leur droit à être rembourser. Et ce serait la chienlit économique.
Vous me rassurez car j'ai lu il y a quelques jours que les capacités sexuelles masculines "baissaient de 30 à 40% entre 25 et 35 ans". Grâce à votre raisonnement, j'ai compris qu'en réalité elles augmentaient !
Prados, Ankou et Tonhomme et les autres silencieux:
Le Krach internet; Les petits porteurs Alcatel et FT, les dollars des States envolés en fumées: vous pensez aux Twin Towers (?); La New Orleans engloutie un temps par les flots (?).
Vous citez des épi phénomènes.
L'immobilier dit l'adage, quand il va tout va.
Rappelez vous que nous sommes en pré campagne Présidentielle. Si récession ce sera pour après les élections municipales soit en 2008.
Actuellement les prix qui ont décollé comme la spéculation boursière ont tendance à corriger l'azimut. Le simple fait de changer l'indicie d'indexation, ce n'est pas rien. Ceux qui ont bâti leur projet immobilier sur des prévisions annuelles de l'ordre au moins de 3% doivent faire un rictus grimaçant...
Tout un chacun ne peut pas être propriétaire en même temps soit dès avant la naissance....Même dès avant la naissance de tri aïeul.....
Et puis maintenant un local d'habitation est devnu un bien de consommation ordinaire. Si jadis la maison se transmettait entre génération, maintenant combien de maison neuve sont proposées à la vente avec des frais de notaire dits réduits? Cela démontre bien que les projets sont plus qu'interchangeables et changeants.
Le fait déclencheur sera le coût de l'argent, pas le capital demandé mais bien les capacités mensuelles de remboursement.
Prados, Ankou et Tonhomme et les autres silencieux: ........ Le fait déclencheur sera le coût de l'argent, pas le capital demandé mais bien les capacités mensuelles de remboursement.
Vous changez donc de sujet? Finis les pourcentages oiseux et vaseux? Ce que vous dites n'est pas totalement faux, c'est un des paramètres dont il faut tenir compte, mais ce n'est pas le seulunfortunately
Citation :Une baisse de 35% ramènerait ce patrimoine d'un coup et d'un seul à 5 200 MM d'euros, soit il s'envolerait dans la nature 2 800 MM d'euros.
Cet argent ne s'envole pas. Il "reste" pour beaucoup. Ce sont les remboursement des prêts tous les mois pour des millions de français. Je reprend le sujet à l'envers en ne disant justement pas que cet argent s'envole mais plutôt que cet argent a été créé (sans doute par le saint esprit on était pas très loin de Noël) avec l'immobilier. En clair : aussi vite apparu (depuis 1999) aussi vite disparu (plus fort que Garcimore !).
Pour répondre à certains argumentaires qui donnaient l'augmentation des ménages comme caractéristique qui allait accroitre la demande de logements, j'ai trouvé l'étude de l'Insee à ce sujet. La demande (selon l'Insee !) tourne autour de 300 000 logements par an entre 2000 et 2010 mais va en décroissant tout au long de ces 10 ans. Cette étude prend en compte justement l'accroissement des ménages. Pour le moment nous produisont entre 130 et 200 000 logements de plus que cela. Je ne pense donc pas que cet argument d'augmentation des ménages soit un paramètre déterminant à l'accroissement des prix de l'immobilier. D'après cette étude de l'Insee et les chiffres de production donné par le ministère, la production est supérieure à la demande.
Quelques éléments donnés par le moniteur Immo dans sa lettre internet:
Citation : Dépêche
Accueil > Actualité > Dépêche
Qui peut encore acheter de l’immobilier en France ?
IMMOBILIER - Dépêche France
Après 4 années de flambée des prix, les cadres supérieurs, professions libérales et intermédiaires représentent une part toujours plus grande parmi les acheteurs des biens immobiliers, au détriment des ouvriers et employés, de plus en plus exclus des villes chères.
En 2004, les clients étaient à 33,8% des ouvriers et employés contre 40,4% en 1999. Dans le même temps, les catégories des cadres supérieurs/professions libérales et les professions intermédiaires représentent à elles deux 61,2% contre 46,4% quatre ans plus tôt, selon des chiffres de la Fédération nationale de l'immobilier (FNAIM). Enfin, les inactifs et retraités étaient deux fois moins nombreux à acheter un bien immobilier en 2004 qu'en 1999 (3% contre 6,5%). Les agriculteurs, artisans et commerçants ont eux aussi pâti de la hausse vertigineuse des prix. Ils ne sont désormais plus que 2% à acheter contre 6,7% en 1999.
La FNAIM relève par ailleurs que les primo-accédants, ceux qui achètent un bien immobilier pour la première fois, sont de plus en plus exclus des villes chères où les niveaux des prix sont élevés. "La part des primo-accédants dans la population des accédants à la propriété est de 62,9% (contre 76% en 1998) mais ils sont toujours moins nombreux dans les zones les plus chères", a indiqué le président de la FNAIM, René Pallincourt. A titre d'exemple, ils représentent 56,1% en Ile-de-France contre 83,9% en Alsace, 75,7% en Auvergne, 74,8% en Poitou-Charente ou 70,6% en Basse Normandie.
Enfin les revenus des ménages qui réalisent des transactions progressent de 6% par an quand les revenus de l'ensemble des ménages n'augmentent que de 3%, selon la FNAIM, qui cite l'observatoire du financement des logements.
(05/01/2006)
Repères La FNAIM représente la moitié du marché des professionnels, le marché immobilier étant réparti à 65% par les professionnels et 35% par les particuliers.
De la même source maisd cette fois lorsque l'on parle d'activité :
Citation :Un certain ralentissement dans le bâtiment en 2006
ENTREPRISES DE BTP - Dépêche France
La croissance de l'activité devrait légèrement ralentir dans le bâtiment en 2006, à 2,8% contre + 3,9% en volume en 2005, mais progresser dans les travaux publics (+3% contre + 2,8%), selon les prévisions de début d'année de LCL – Le Crédit Lyonnais.
Dans le bâtiment, l'activité n'augmenterait plus que de 5,5% cette année dans le logement neuf après + 11,9% en 2005. Les experts du Lyonnais estiment en effet que "l'on se rapproche d'un haut de cycle". Elle progresserait en revanche dans le non-résidentiel neuf à + 1,7% contre – 0,7% l'an passé. Le redémarrage ne concernerait pourtant pas les bâtiments industriels. Pour l'entretien-rénovation, les prévisionnistes tablent sur une croissance de 1,5% contre 1,4% à taux de TVA inchangé (à 5,5%) et n'ont pas fait de projections dans le cas d'un scénario contraire. Dans les TP, ce sont les travaux routiers de l'Etat qui connaîtraient une légère accélération après une année 2005 qualifiée de "médiocre". FV
Au sujet d'un post plus haut: produire et réaliser et remettre en état définitif d'achèvement et non en état futur d'achèvement,ce n'est pas significativement identique.
Puis est-ce que les dits locaux d'habitation qui sont proposés sont bien en adéquation avec la demande: -untel ne peut que s'offrir un studio ou un 2 pièces. -tel autre recherche un vaste 6 pièces au dernier étage. -celui-là a besoin d'un triple garage....
Il y a pléthore de combinaisons qui permettent de dire que s'il y a tant de demandes elles ne sont pas satisfaites par tant d'offres, ce n'est pas des baguettes qui sont proposées à la vente.
Un restaurant qui propose un menu, n'en a pas pour tous les convives du jour en question.
Citation :Puis est-ce que les dits locaux d'habitation qui sont proposés sont bien en adéquation avec la demande: -untel ne peut que s'offrir un studio ou un 2 pièces. -tel autre recherche un vaste 6 pièces au dernier étage. -celui-là a besoin d'un triple garage....
Absolument Bouzigues,
Seulement lorsque je compare le volume d'offres (importante tout de même) et les disparités des demandes (s'il on fait le calcul combien de différences "notables" peut-on faire entre toutes les recherches de logements ? ), je me dis tout de même qu'il y a un gros écart. Si je cherche un T3 en dernier étage avec un garage mais que l'on me montre un énorme T2 en dernier étage avec garage est-ce qu'il va rentrer dans mes critères de recherche ? Sans doute que oui ou alors c'est que mes critères sont mal ciblé et que je cherche en fait " 3 pièces séparées en dernier étage avec garage " ? Il en est de même pour celui qui va chercher un triple garages. S'il trouve un appartement au milieu d'une résidence avec beaucoup de mouvements sur les garages, il va finir par avoir 3 garages. L'achat de l'appartement pourra donc se faire plus facilement dans ce type de résidence car il trouvera au final la solution à sa demande. Il y a tout de même des facultés pour la demande de s'adapter à l'offre (en plus ou en moins) et cela est, à mon sens, très fluctuant, au regard du bien. Le critère du prix est aussi un critère déterminant. Je cherchais par exemple un T3 mais je vis dans un T2 et mon achat se fera sans doute sur un T4. Toutefois, lorsque je cherchais un appartement, je ne visitais pas QUE des T3. Mon oeil était parfois attiré par d'autres appartements. Je suis ouvert à l'offre comme tous les acheteurs potentiels qui vont parfois voir un bien "sans conviction" mais qui finissent par l'acheter car ils sont conquis. Par contre, en effet, les appartement ne sont pas des baguettes et les données "un peu trop brut de fonderie" que j'avais donné au-dessus, le laisse sans doute trop percevoir. Avec mes excuses donc.
Citation :Si les taux ne remontent pas, l'immobilier est donc un secteur sans danger ? Jean-Pierre PETIT - L'immobilier résidentiel est dans une bulle dans de nombreux pays et la caractéristique des bulles est de se poursuivre toujours plus loin et plus fort que tout ce que les estimations les plus optimistes prévoient, tandis que les éclatements de bulles sont toujours plus amples que tout ce que les estimations les plus pessimistes peuvent prévoir. Donc, compte tenu du bas niveau des taux, je parie plutôt sur son long dégonflement. Mais lorsqu'un particulier achète un bien immobilier, il le fait pour une période d'environ dix ans. En achetant aujourd'hui, il doit être conscient que la valeur nette réelle de celui-ci pourrait être de seulement 50 à 60% de sa valeur nominale actuelle à cette échéance.