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ma sté immobilière a procédé à la vente de locaux commerciaux dans une de ses cités avec clause d'exclusivité au profit du preneur.
Cette clause d'exclusivité assure au preneur un quasi monopole dans la cité puisque le bailleur s'interdit de louer ou de vendre un local commercial à celui qui aurait la même activité (alimentation générale)
Quelle est la valeur d'une telle clause ? A défaut d'être limitée dans le temps, n'est t'elle pas abusive et anti-concurrentielle ? en cas de revente du commerce, la clause produira t'elle ses effets au profit du nouveau preneur ?
Si elle est bien rédigée une telle clause est licite, c'est une condition accessoire du bail et entant que telle elle doit s'appliquer au bénéfice du successeur dans le fonds de commerce.
Ok, la clause est peut être licite....mais ne doit-elle pas être limitée dans le temps ?
Ne rencontrons nous pas un cas d'abus de position dominante lorsque que le commercant est ainsi assuré ad vitam eternaem d'avoir le seul commerce d'alimentation de la cité ?
A mon avis elle est liée au bail, donc valable tant que le bail court ; rien n'empêche un autre propriétaire de louer ses locaux pour la même activité (cela reste peut-être théorique s'il n'y a pas d'autre propriétaire...)