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Un arrêté constatant l'état de catastrophe naturelle sur certaines communes a été publié au JO du 26/8/2004.
Or je suis dans une situation très particulière. Notre copropriété a constaté des désordres qui touchent les murs etc...
Mais voila le JO précise que :
Citation : Article 1 En application des dispositions de l'article 1er de la loi du 13 juillet 1982 susvisée, l'état de catastrophe naturelle est constaté pour les dommages causés par les mouvements de terrain différentiels consécutifs à la sécheresse et à la réhydratation des sols survenus dans les départements et aux dates désignés en annexe.
Article 2 L'état de catastrophe naturelle constaté à l'article 1er du présent arrêté peut ouvrir droit à la garantie des assurés contre les effets des catastrophes naturelles sur les biens faisant l'objet des contrats d'assurance visés à l'article 1er, alinéa 1, de la loi du 13 juillet 1982 susvisée, lorsque les dommages matériels directs qui en résultent ont eu pour cause déterminante l'effet de cet agent naturel et que les mesures habituelles à prendre pour prévenir ces dommages n'ont pu empêcher leur survenance ou n'ont pu être prises.
En outre, si l'assuré est couvert par un contrat visé à l'article 1er, alinéa 2, de la loi du 13 juillet 1982 susvisée, l'état de catastrophe naturelle constaté peut ouvrir droit à la garantie précitée, dans les conditions prévues au contrat d'assurance correspondant. Article 3 La franchise applicable est modulée en fonction du nombre de constatations de l'état de catastrophe naturelle intervenues pour le même risque, au cours des cinq années précédant la date de signature du présent arrêté, dans les communes qui ne sont pas dotées d'un plan de prévention des risques naturels prévisibles pour le risque concerné.
Pour ces communes, le nombre de ces arrêtés figure entre parenthèses dans l'annexe. Il prend en compte non seulement les arrêtés antérieurs pris pour un même risque, sauf l'arrêté du 29 décembre 1999, mais aussi le présent arrêté. Article 4 Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
ANNEXE
Mouvements de terrain différentiels consécutifs à la sécheresse
et à la réhydratation des sols de juillet à septembre 2003
Mon problème est le suivant : Nous avons changé d'assureur le 1er Octobre 2003, soit postérieurement à la période visée.
Mais faut-il entendre le terme "consécutif" qui concerne les mouvements de terrain, comme étant "postérieurs" à cette dernière date ou celle-ci constitue-t-elle une limite à l'apparition des désordres.
La sécheresse a mon sens a duré jusqu'à fin septembre et la réhydratation des sols n'a donc pu avoir lieu qu'après, pendant l'automne.
Bien entendu l'assureur auquel j'ai adressé le courrier recommandé "botte en touche" et me renvoie vers l'assureur précédent, auquel je n'ai plus le temps de m'adresser dans les formes requises LR AR dans les 10 jours de publication de l'arrêté.
Qu'en pensez-vous ?
J'avoue être suspendu à vos avis, et même à vos opinions personnelles tellement le sujet m'apparaît pointu.
Il me semble évident que le seul assureur pouvant intervenir est celui en place à l'époque du sinistre.
Question importante : est-ce le syndicat qui a résilié la police ou l'assureur ?
Dans le premier cas la décision a été particulièrement inopportune. On ne change pas d'assureur tant qu'un sinistre important n'a pas été réglé. Si en plus c'était pour une réduction de 120 euros sur la prime, la décision a ét& plus qu'inopportune.
Si c'est l'assureur qui a résilié, c'est différent mais l'observation initiale me parait rester valable.
Sauf avis contraire de spécialistes plus qualifiés en matière d'assurance.
La résiliation est bien du fait de la copropriété.
Mais.... d'une part il n'était pas question encore de sinistre au mois de juin lorque la LR AR de résiliation a été adressée, et d'autre part, et c'est bien là la question : quelle est la date de "naissance du sinistre" ?
Est-ce après la réhydratation des sols de l'automne ou avant le 30 Septembre date prise en compte dans l'arrêté ministériel ?
Les dégats ne sont devenus apparent qu'après réhydratation, lorsque la poussée des terres réhydratées s'est faite sentir, c'est à dire dans le courant de la fin de l'année.
Et puis nous touchons là à l'utilisation d'un fonds d'Etat qui à son origine était géré par l'Etat, mais dont il a concédé la perception aux assureurs qui gèrent cette manne comme si elle leur appartenait, c'est à dire avec une avarice non dissimulée.
L'ambiguité du texte me laisse indécis, et les différentes lectures qu'on peut en faire inquiet.
Sinon je souscris bien volontiers à vos propos sensés pour ce qui est de l'inoportunité de résiliation en cours de réglement d'un sinistre.
J'espère donc une intervention de spécialistes en Assurance.