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bonjour, nous envisagons d'acheter un bien immobilier à 50/50 avec ma concubine, elle ne dispose d'aucun apport personnel et s'engage donc sur 15 ans pour sa partie de l'investissement, et je dispose pour ma part, de 80% de la mienne en apport personnel, ce qui me permet d'emprunter peu, et sur une durée courte... nous nous appretions à signer un compromis devant notaire comme co-emprunteur l'un de l'autre, avec une "simple" mention de mon apport dans l'acte, mais une connaissance m'a fait part de ses doutes, quand au risque financier que je "prendrai" les premières années de ne pas récupèrer mon apport initiale, si jamais ma concubine venait à partir, voir à se déclarer insolvable.... (auquel cas, je me retrouve avec les interêts inhèrents à son emprunt à régler) étant plutôt confiant de nature, je n'avais pas envisagé un cas de figure comme celui-ci, et je me demande donc s'il a raison d'émettre de tels doutes, et si je serais réellement en position difficile dans ce cas là, sachant que l'inverse ne serait pas vrai, puisque la majeure partie de l'achat de mon coté serait payer "cash"... suis-je le seul réel co-emprunteur de l'affaire, et aurais-je plutôt interêt à placer mon capital existant, et emprunter à égalité avec mon amie, de façon à ce que nous nous retrouvions sur un pied d'égalité en matière de risque ?? et si vous estimez que la paranoia est en train de me gagner suite aux propos de cette personne, merci de me le dire aussi, car je n'ai jamais aimé les histoires d'argent, sauf quand elles sont simples... des cas similaires au nôtre doivent sans doute exister (gros apport d'un coté seulement), mais les banques que j'ai consulté m'assurent toutes que je récupèrerai ma mise de départ intégralement puisque l'acte notorié en fera état... mais sachant que dans une situation extrème, une banque se "sert" en premier, et que je n'aurai pas forcément le temps de revendre le bien au court du marché, y'a-t-il d'autres "gardes-fou" à faire notifier dans l'acte ?? (d'autant plus que je ne maitrise pas le cours de l'immobilier) merci pour vos réponses /solutions éventuelles, car depuis hier, c'est un peu le flou artistique dans ma tête (et celle de mon amie qui comprend tout à fait que je me pose des questions, elle-même n'étant pas plus qualifiée que moi pour y apporter une réponse concrète...)
Ma cousine, qui était dans la même situation que vous, avait monté une SCI, possédée à 50% par elle, à 50% par son concubin, de manière à se couvrir des risques dont on vous a parlé (elle est avocate et je lui fais confiance pour s'être "blindée") . C'est ce que vous pourriez faire, je pense. Après, à chacun des associés d'apporter sa part de capital, vous en puisant dans vos propres deniers, votre concubine en empruntant.