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Le marche peut-il continuer a etre aussi bullish (10/15% l'an) ? Non car nous sommes clairement en limite de solvabilite des menages. Une "forte hausse continue" finit par tuer la hausse.
La correlation du neuf et de l'ancien n'est egalement pas tout a fait normal. Ainsi, le neuf etait naturellement valorise 15 a 25% de plus qu'un bien equivalent. Hors, aujourd'hui, l'ancien equivalent a une valeur marchande equivalente au neuf VEFA (je parle de ce que je connais a savoir certaines communes du 92).
D'ou une question en decoulant, est-il plus judicieux d'acheter aujourd'hui dans du neuf par rapport a l'ancien ? J'aurais tendance a dire oui, il vaut mieux acheter dans du neuf que de l'ancien pour ceux qui veulent acheter. Ainsi, si degonglement des prix il y a, il est probable de retrouver une valorisation "normale" du neuf par rapport a l'ancien et donc avec un delta de 15/25% et donc a fortiori un degonglement plus important dans l'ancien que dans le neuf.
Bien que n'étant absolument pas un spécialiste de toutes ces questions, puis-je me permettre de faire remarquer que vos réflexions ne sont plus valables dès qu'on se projette à moyen ou long terme ? et surtout, qu'elles dépendent de la situation de celui qui compte acheter ?
En effet, je vais prendre mon exemple : je suis un primo-accédant, je signe mon acte authentique dans 3 semaines. Après avoir hésité entre un bien ancien en cours de rénovation dans le 10ème à Paris, je me suis finalement rabattu sur un petit deux pièces mieux placé, dans le 8ème, et surtout dans un immeuble de meilleur standing.
J'ai donc, certes, cherché à minimiser la perte de valeur de mon appartement en cas de baisse ; mais de toute façon, comme je compte revendre d'ici 7 à 9 ans, je me dis que même une forte baisse demain, sera suivie d'une reprise à la hausse, une fois que la bulle (éventuelle, hypothétique) se serait dégonflée.
Sachant que la partie CREDIT + ASSURANCE de mes traites est INFERIEURE à ce que me coûterait un loyer pour louer le bien équivalent, je suis de toute façon gagnant.
Sauf à ce que la baisse culmine d'ici 7-9 ans : auquel cas, je repousserait ma vente de 2-3 ans.
Mon cas n'est pas transposable à toutes les situations : je suis un locataire qui devient propriétaire. Dans cette configuration, le risque de perte est peu élevé.
Le risque le plus important serait pour un propriétaire qui déciderait de vendre aujourd'hui, se mettrait en location en attendant une baisse, qui ne viendrait pas (ou seulement dans quelques années).
De mon côté, même si mon appartement se dépréciait de 30 % en 10 ans (et essayez de trouver une telle baisse dans l'histoire de l'immobilier !), ça vaudrait dire que le revente de mon appartement, diminuée de ce qui me resterait à rembourser à la banque, me laisserait quand même 5000 euros dans la poche.
Ce qui est dérisoire, sauf si l'on considère que c'est quand même mieux que 0 euros (si j'étais resté locataire pendant 10 ans), et que c'est un scénario plus que catastrophe (guerre civile ?). Une baisse de 30 %, pourquoi pas ? Mais qui dure 10 ans, ça me paraît hautement improbable.
Donc mon conseil à tous les locataires : achetez dès que vous en avez la possibilité financière, il n'y a de vrai risque que pour ceux qui spéculent, aussi bien à la hausse qu'à la baisse.
Artus, Votre raisonnement est juste. Et votre exemple aide à la compréhension de l'un des mécanismes de la hausse des prix : plus les prix montent => plus les loyers montent => plus les locataires font le choix de l'accession => plus les prix montent...
Artus, Votre raisonnement est juste. Et votre exemple aide à la compréhension de l'un des mécanismes de la hausse des prix : plus les prix montent => plus les loyers montent => plus les locataires font le choix de l'accession => plus les prix montent...
La hausse des loyers a quand même été de moindre ampleur que celle du m² à la vente ! Peut être est ce ce différentiel qui déterminera l'ampleur de la correction éventuelle. Ici à Toulouse il est rare de voir (sur les annonces) des rendements bruts > à 5-6%, souvent bien moins. Peut être qu'une baisse des prix de l'immobilier les fera repasser à 8% brut qui me semble être le minimum acceptable.
On dirait d'ailleurs que la hausse des loyers se calme...