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J'ai tenté de chercher la réponse à ma question dans le forum, mais je ne l'ai pas trouvée et le module de recherche a tendance à "planter", donc soyez indulgents si la question a déjà été abordée...
Voici mon souci : je quitte mon logement début juin, j'ai donc adressé mon préavis à l'agence immobilière mandatée pour la gestion du bien.
Le bail stipule que "le preneur sera tenu durant toute la période de préavis de faire visiter la chose louée" etc. Pas de souci sur la question des jours ouvrables, mais c'est l'expression "faire visiter" qui me gêne... Je travaille à mon domicile, je peux donc être présent pendant les visites, mais est-il légal de me demander de faire visiter (moi-même) les lieux aux locataires potentiels ? N'est-ce pas là le travail de l'agence ? Qu'en est-il des bons de visite ?
Si cela est légal, tant pis, mais l'agence immobilière étant du genre à limiter ses attributions à l'encaissement de sa marge, et rien d'autre (du genre, "débrouillez-vous" quand un problème survient), je n'ai pas vraiment l'intention de faire leur travail si cette clause n'est pas recevable...
Pas d'inquiétude, vous n'avez pas à "faire visiter" le logement au sens propre. Je pense qu'il s'agit d'une erreur de rédaction.
On ne peut pas que vous obliger à laisser l'accès à votre logement (pas plus de deux heures par jour, pas les jours fériés). L'agence ne peut pas vous imposer autre chose: ce serait rajouter une obligation au locataire qui n'est pas prévu par la loi.
Par ailleurs, je ne crois pas que l'agence laisserai des locataires jouer le rôle de commercial ( vous imaginez si le locataire en profitait pour dénigrer le logement...)
Oui, je rajoute aussi que si vous souhaitez quitter votre logement la journée ou quelque jours vous êtes dans l'obligation de laisser vos clefs pour que l'agence puisse faire les visites normalement. Mais par mesure de sécurité c'est toujours mieux d'être pressent.
« [….] si vous souhaitez quitter votre logement la journée ou quelque jours vous êtes dans l'obligation de laisser vos clefs pour que l'agence puisse faire les visites normalement [….] », a écrit Tulipe2305.
Non, non, ceci est erroné.
Il faut se référer, en ligne avec ce qu’indique justement Sand12 mais sans citer la disposition législative sur laquelle il s’appuie pour émettre son propos, à l’article 4 de la loi de 1989 :
Citation :Article 4
Est réputée non écrite toute clause :
a) Qui oblige le locataire, en vue de la vente ou de la location du local loué, à laisser visiter celui-ci les jours fériés ou plus de deux heures les jours ouvrables ; b) Par laquelle le locataire est obligé de souscrire une assurance auprès d'une compagnie choisie par le bailleur ; c) Qui impose comme mode de paiement du loyer l'ordre de prélèvement automatique sur le compte courant du locataire ou la signature par avance de traites ou de billets à ordre ; d) Par laquelle le locataire autorise le bailleur à prélever ou à faire prélever les loyers directement sur son salaire dans la limite cessible ; e) Qui prévoit la responsabilité collective des locataires en cas de dégradation d'un élément commun de la chose louée ; f) Par laquelle le locataire s'engage par avance à des remboursements sur la base d'une estimation faite unilatéralement par le bailleur au titre des réparations locatives ; g) Qui prévoit la résiliation de plein droit du contrat en cas d'inexécution des obligations du locataire pour un motif autre que le non-paiement du loyer, des charges, du dépôt de garantie, la non-souscription d'une assurance des risques locatifs ; h) Qui autorise le bailleur à diminuer ou à supprimer, sans contrepartie équivalente, des prestations stipulées au contrat ; i) Qui autorise le bailleur à percevoir des amendes en cas d'infraction aux clauses d'un contrat de location ou d'un règlement intérieur à l'immeuble ; j) Qui interdit au locataire l'exercice d'une activité politique, syndicale, associative ou confessionnelle.
Pour que le locataire se mette en tort, il faudrait que la non possibilité que le propriétaire a eu de faire visiter son bien pour le relouer lui ait causé un préjudice qu'il chiffrerait et porterait à l'appréciation du juge qu'il saisirait à cet effet tout en apportant la preuve que le locataire a fait obstacle volontaire et malicieux actif ou passif aux visites que lui il avait à faire et qu’il n’a pas pu faire ce qui lui a fait louper une affaire de location avec le roi du Pérou, et que le juge reconnaisse la validité de tout cela. C'est dire que de telles affaires sont vraiment difficiles à prouver, et que tout est dans la mesure...