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début 1996, je rachète un droit au bail commercial pour y installer ma nouvelle société. Je deviens locataire de murs commerciaux au rdc d'un immeuble ancien de ville (qui comporte 4 niveaux). Lorsque j'ai repris ce local, existait une sorte de chauffage archaïque (style: chauffage avec résistance électrique qui chauffe de l'eau qui est ensuite envoyée vers des radiateurs).Donc système hyperconsommateur d'électricité et inefficace. Puisque l'immeuble est équipé du gaz de ville et qu'un conduit de cheminée extérieur (adossé le long du pignon arrière)existe, je demande l'autorisation au propriétaire d'installer à mes frais une chaudière murale gaz, ce qui est fait par un plombier chauffagiste à l'automne 1996.l'installateur la fixe et envoie les gaz dans le conduit qui n'est pas tubé.(ce conduit ne dessert que le local commercial, les autres appartements n'y ont pas accés). En 1999, lors d'un entretien par un autre artisan, ce dernier s'aperçoit, que le conduit est bouché en tête de cheminée par un bouchon de mortier. Il enlève le bouchon, installe une trappe de ramonage, ainsi qu'une trappe de ventilation basse obligatoire, tout ceci à mes frais et avec l'accord préalable du propriètaire. Janvier 2001, nous déménageons la société vers des locaux plus grands. A cette date , nous revendons le droit au bail à une autre société, aujourd'hui toujours en place, et qui a conservé le chauffage tel quel. Le propriétaire habite occasionnellement l'appartement du 1er étage et loue les deux étages supérieurs. Il s'agit d'un immeuble très ancien (probablement du XIXe siecle) régulièrement entretenu par le proprio, mais l'immeuble est quand même vétuste!(dernièrement, la société qui m'a succédé à dû fermer quelques jours l'accés au local, pour pouvoir poser un IPN et soutenir le plancher du 1er étage). Récemment je reçois un courrier du propriétaire en recommandé m'informant que des traces d'humidité apparaissent sur le mur de l'appartement qu'il occupe, au voisinage du conduit de cheminée. Il affirme que ces tâches sont imputées à la condensation qui se produit dans le conduit non tubé et qui diffuse à travers le mur. Le propriétaire me conseille de me rapprocher de mon installateur et de nos assurances respectives. Voila l'histoire!!.
une chaudière de petite capacité (adapté au chauffage d'un local de moins de 100m2) peut-elle produire suffisamment de condensation pour traverser un mur?. L'installation date de 1996 et c'est maintenant que les trâces apparaissent.Cela me paraît tardif!!.
Donc,on arrive à la recherche de responsabilité: -Comment savoir si l'humidité provient bien de la condensation à l'interieur du conduit ou plutôt d'une infiltration d'eau de pluie.(cela se passe en normandie!!).Je sais, par expérience, qu'il est toujours trés difficile de trouver les origines d'infiltration. Doit-on faire intervenir un expert?, et si oui, qui doit le faire intervenir?. Ses honoraires seront à la charge de qui?. -s'il s'avère que ces trâces proviennent bien de la condensation, la solution du tubage s'impose. Comme la cheminée existait auparavent, à qui incombe la prise en charge?